n A Alger, alors que l'on déplore la pollution sous toutes ses formes, l'on signale surtout «les accrocs de taille rencontrés dans l'élimination des ordures ménagères et des déchets industriels ainsi que l'insuffisance des espaces verts». Dans la capitale, qui est considérée à juste titre d'ailleurs comme le plus grand centre urbain, les ordures ménagères des quartiers, qui peuvent être source de plusieurs pathologies comme les allergies et l'asthme, atteignent plus de 2 millions de tonnes. Les résidus minéraux s'élèvent annuellement à plus de 1,5 tonne au moment où plus de 500 millions de dinars sont dégagés par la totalité des APC pour la prise en charge de ces déchets. En outre, des responsables de l'environnement ont, à chaque fois que l'occasion leur a été donnée, mis en garde contre «le danger» que constituent les dizaines de centrales électriques situées pour la plupart en pleine agglomération.