Résumé de la 7e partie n Alors que des étudiants l'ont vu à la bibliothèque universitaire, le gardien soutient que le professeur Slimane est toujours absent pour cause de maladie. C'est incroyable ! dit Sofiane. — Si au moins nous n'avions pas été deux à l'avoir vu ! Nous aurions pu parler d'une hallucination… Mais nous l'avons bien vu ! Sofiane ricane. — C'est à croire que c'est l'homme invisible ! — Ce gardien est aveugle ! Les deux garçons sont sur le campus. Ils ont perdu une bonne partie de la matinée, mais si le professeur Slimane a repris ses cours, il y a de fortes chances qu'ils travaillent avec lui, cette année. Une camarade les salue. Ils bavardent avec elle. — Tu sais que le professeur Slimane est de retour ? — C'est vrai ? ça, c'est une bonne nouvelle ! — Nous l'avons vu à la bibliothèque de l'université, il y travaillait comme du temps où il était en bonne santé ! — Vous lui avez parlé ? dit la jeune fille. — Malheureusement, nous l'avons raté ! A ce moment-là, arrive une jeune fille, très triste. — Que se passe-t-il, Fazia ? — Vous n'êtes pas au courant ? Le professeur Slimane est mort aujourd'hui ! — Quoi ! s'écrie Riadh. — Ce n'est pas possible ! s'écrie Sofiane. Aussitôt Sofiane se reprend. — C'est un accident de la circulation ? — Non, dit Fazia, c'est sa maladie ! Riadh regarde Sofiane. — Non, c'est impossible ! C'est au tour de Fazia de ne pas comprendre. — Je ne comprends rien… — Nous l'avons vu, gémit Riadh, pas plus tard que ce matin… il y a une heure ! — ce n'est pas possible ! Son fils, qui a apporté la nouvelle, a dit qu'il a été transporté dans la nuit, à l'hôpital, en urgence ! Fazia trouve l'explication. — Vous l'avez confondu, avec quelqu'un ! — Non, il nous a parlé ! — Quand nous nous sommes approchés de lui, pour le saluer, il nous a réclamé le silence ! — Nous sommes ensuite repartis pour lui proposer un café et il s'est volatilisé… disparu ! — Il est vrai que nous avons demandé au gardien de la bibliothèque s'il avait vu le professeur, il nous a dit qu'il ne l'avait pas vu ! — C'est extraordinaire ! (à suivre...)