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Dzaïr and friends
Une scène tout en partage
Publié dans Info Soir le 17 - 04 - 2008

Concert n Dzaïr and friends est l'intitulé du spectacle de Dzaïr lors d'une soirée tout en sons et en sonorités électriques et percutantes.
Le dixième anniversaire de la présence de Dzaïr, une formation de rock algérien alliant l'esprit rock soft à des textes en arabe dialectal, dans le paysage musical, a été couronné, mercredi, d'un concert événement à l'auditorium du complexe culturel Laâdi-Flici.
Le spectacle de trois heures qui avait pour titre Dzaïr and friends s'est déroulé en trois parties.
La première consistait en une projection d'un film – un reportage – retraçant en 15 mn l'aventure du groupe, ses tournées ainsi que ses scènes et ses répétitions…
Le reportage proposait également des témoignages d'amis ou d'artistes proches du groupe. Ensuite, et dans un deuxième temps, le groupe a fait son entrée sur scène et a aussitôt entamé son show par une nappe musicale. Puis, et au fil des chansons qui s'égrenaient dans un mouvement rythmique réfléchi et coordonné, Hakim, le leader de Dzaïr et aussi le chanteur, a invité des artistes, jeunes comme confirmés, à monter sur scène, soit pour l'accompagner dans ses chansons, soit pour jouer simplement d'un instrument sur un morceau qui est une composition de la formation ou une adaptation. Hamidou a ouvert le bal en interprétant aux côtés de Hakim Ya Dzaïr de Ahmed Ouahbi et reprise par le groupe dans un esprit authentiquement rock. L'adaptation était réussie, originale…
Vient ensuite le tour de Jo Batori qui a contribué par sa présence avec un air de gnaoui, ou Yacine Dehan avec un accent de flamenco, ou encore Mohamed Reouan avec son style jazz-casbah. D'autres artistes, pour la plupart de jeunes talents, sont montés sur scène comme Nadjib à la basse, Hassen à la batterie, Aminos à la guitare…
Plus tard, et en troisième partie, le groupe Dzaïr a consacré le dernier tournant de son show à des reprises des standards de rock en invitant également des artistes, notamment les jeunes talents, «des talents prometteurs», en reprenant les propos de Hakim, à l'exemple de Moncef Bachtarzi. La soirée de mercredi était tout en sons, des sonorités électriques, percutantes. La musique de Dzaïr est une musique algérienne actuelle. Elle mêle des instruments modernes, performants à des paroles simples, inspirées de la vie algérienne et qui, du coup, touche la sensibilité de chacun. Elle se met au diapason avec la jeunesse algérienne dans laquelle elle se reconnaît et s'identifie.
Influencée par le rock progressif des années 1970 et des groupes comme Yes, Pink Flyod ou Marillion, elle intègre un rock électrique à des nappes de synthétiseur et des envolées de guitare, le tout mêlé à un chant mélodieux dans un esprit authentiquement algérien.
Les textes sont inspirés du vécu quotidien et s'attachent à dénoncer l'injustice, la violence et l'intolérance. Les chansons se veulent aussi des témoignages d'une Algérie bouleversée et surtout bouleversante.
Il est à souligner que le spectacle d'hier était privé. C'est seulement sur invitation. Mais celui du 25 avril est ouvert au grand public.


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