Si l'hygiène et le bien-être des clients dans les cafés algérois est le dernier souci des propriétaires, la rentabilité et le gain rapide sont leurs premières préoccupations. Les patrons des cafés maures profitent de la fréquentation de leurs cafés, selon leur situation et leur emplacement. Si le café est bien fréquenté, ils n'hésitent pas à augmenter les prix. Par exemple, la majorité des cafés de la rue Hassiba Ben-Bouali vendent le café à 20 DA, alors que dans les autres, il est toujours à 15 DA. Les jus qui sont servis dans ces cafés sont préparés par le premier venu. On ne respecte même pas les dosages et souvent leur goût est douteux. Au client, on avance que cette boisson est à 100% naturelle et un verre de jus n'est pas cédé à moins de… 35 DA.