Les 134 étudiants constituant la première promotion du département des sciences politiques, qui sortira à la fin de cette année, ne sont pas tous obligés de préparer des mémoires de fin d'études. L'administration a accordé un avis favorable à une vingtaine d'étudiants seulement pour préparer un mémoire de fin d'études car ayant obtenu la moyenne requise. Si les étudiants ne sont pas contre cette mesure, ils trouvent toutefois «anormal qu'ils n'en aient pas été informés dès le début de leur cursus». «L'administration ne nous a pas informés de cette mesure lors de notre entrée à l'université. Si nous étions au courant dès le début, nous aurions fait plus d'efforts durant notre cursus pour atteindre les résultas exigés», déclarent deux étudiants voulant présenter un travail de recherche, mais qui n'ont pas le droit de le faire à cause de cette mesure qui semble motivée par le manque de promoteurs. Lire demain notre dossier : «Cités universitaires à Tizi Ouzou : précarité et grande anarchie»»