Les membres de la Fédération Zambienne de Football qui sont venus à Alger superviser les installations hôtelières et le stade Tchaker de Blida ont été fortement satisfaits des commodités qui seront mises à la disposition de leur délégation le 6 septembre prochain. Non accompagnés par aucun membre officiel de la FAF, en dehors du chauffeur mis à leur disposition, les éclaireurs de la Fédération zambienne ont été agréablement surpris en visitant le stade Tchaker dans son ensemble. Mais ce qui leur a le plus plu, ce sont les vestiaires et la pelouse qu'ils ont trouvés au-delà des espérances. «C'est nettement meilleur que ce qu'on connaît en Zambie, surtout lorsqu'on fait une comparaison avec le stade du match aller. Nous nous empresserons d'annoncer ces bonnes nouvelles à notre arrivée en Zambie», nous a confié l'un des responsables zambiens. Kalusha Bwalya les a appelés au téléphone Au moment où les Zambiens étaient en train de visiter le stade Tchaker, le téléphone du chef de la délégation a sonné et la discussion en anglais a révélé le nom de l'interlocuteur. Il s'agissait bien de Kalusha Bwalya, le président de la Fédération zambienne de football, qui semblait impatient de savoir si son équipe allait trouver les commodités espérées à Blida. Son interlocuteur a été ravi de lui apprendre qu'il n'a aucun souci à se faire quant à la qualité du terrain et du stade dans son ensemble. C'est même avec le sourire aux lèvres qu'on lui détaillait les infrastructures qu'ils ont trouvées en place. Ils ont voulu s'établir à Blida Heureux d'avoir trouvé ce qu'ils espéraient au stade Tchaker, les éclaireurs zambiens ont cherché la perfection en voulant établir leurs quartiers dans la ville des Roses. Ils ont demandé s'il y avait un hôtel de qualité aux alentours pour loger leurs joueurs. Mais à leurs grands regrets, ils n'ont pu trouver leur total bonheur. Le seul établissement qui aurait pu les satisfaire étant l'hôtel militaire situé pas loin du stade. Mais devant l'impossibilité de l'avoir, ils ont dû se résigner à accepter de faire quelques kilomètres de plus en retournant à Alger où le choix est plus grand.