«Si j'avais parlé avec lui, on n'en serait jamais arrivés là» Dans une intervention en direct dans l'émission «Safha riyada» présentée par le journaliste et le docteur Yasser Ayoub sur la chaîne câblée Nil Sport, Samir Zaher est revenu sur les sanctionnes qui ont été prises par la FIFA en punissant l'Egypte de deux matchs hors du Caire et d'une amende de 71 000 euros. C'est vrai que la sanction est très minime par rapport à la gravité des incidents qui se sont produits lors de l'arrivée de l'EN au Caire le 12 novembre de l'année 2009. A ce sujet, Zaher a nié d'avoir exprimé sa satisfaction en prenant connaissance de ces sanctions : «Qui vous a dit que j'étais heureux ? Ce n'est pas vrai, ce ne sont que des rumeurs. Je pense que ces sanctions n'étaient pas aussi sévères, c'est le plus important.» «Si j'avais parlé avec lui, on n'en serait jamais arrivés là» «Je pense que j'ai commis une seule faute : je n'ai pas parlé avec Mohamed Raouraoua le jour de l'agression du bus transportant les joueurs de l'Equipe nationale d'Algérie. Personnellement, j'ai voulu parler avec la délégation algérienne, mais je n'ai pas pu. Je considère que c'est ma seule l'erreur.» Et de revenir sur les sanctions : «Ces sanctions seront gravées dans nos mémoires. Je demande à tout le monde d'oublier cette affaire qui fait partie du passé. Franchement, je considère l'affaire Algérie-Egypte comme une leçon.» «S'il vous plaît, oubliez cette affaire !» Samir Zaher a préféré conclure son intervention en lançant un message à l'adresse des journalistes : «S'il vous plaît, oubliez cette affaire ! C'est une histoire ancienne, il ne faut pas la rabâcher à chaque fois. Maintenant, place à l'avenir, c'est plus intéressant.»