En ce mois sacré de Ramadhan, je voudrais demander pardon à tous ceux que j'aurais pu offusquer lors de mes précédents sujets. En ce mois sacré de Ramadhan, je voudrais demander pardon à tous ceux que j'aurais pu offusquer lors de mes précédents sujets. Qu'ils sachent tous que mon intention n'a jamais été nuisible, bien au contraire. J'ai toujours voulu être constructive en dénonçant les pratiques qui me paraissaient contraires à la logique. Faire bouger les inertes et les fainéants, ceux qui retardent les bons producteurs d'aller vers l'avant. Car il existe beaucoup de gens en Algérie qui rêvent de voir le pays prospérer à tous les niveaux. Ce qui me gêne dans nos pratiques, c'est ce blocage qu'on a parfois devant la réalité des choses et qui nous pousse à ne pas avouer nos erreurs et, surtout, ne pas reconnaître à temps, que les autres ont raison. C'est justement le cas de cette Ligue 1 qui est en bonne voie grâce à l'impulsion donnée par les responsables du football national et une volonté politique palpable qui a poussé des industriels à s'engager dans la bataille. Il est vrai que ce n'est pas encore gagné et les défauts sont plus nombreux que les qualités. Mais je dois avouer que c'est la toute première saison qu'on a déboursé autant de milliards au mercato. La preuve que notre championnat commence à se «normaliser», c'est cet afflux impressionnant de coachs étrangers et de joueurs issus de l'émigration, tous payés mieux qu'en Europe. Quoi de plus révélateur de la bonne santé d'un championnat ? Il reste juste à ce beau monde de confirmer tous les espoirs fondés sur eux et de nous mener là où on les a empêchés d'aller ailleurs... Je voudrais leur dire comme Aznavour : «Emmenez-moi au bout de la Terre, emmenez-moi au pays des merveilles. Il me semble que la misère, serait moins pénible au soleil... » [email protected]