La JSK pourrait encaisser 2 milliards Essaïd Belkalem devrait quitter la JSK cet hiver. Selon toute vraisemblance, le défenseur international jouera face au MCA, ce vendredi, son dernier match sous le maillot de son club formateur. Libre en juin prochain, le stoppeur, retenu dans la liste des 23 d'Halilhodzic pour la prochaine CAN, ne devrait pas attendre la fin de son contrat pour partir, son transfert étant plus rentable pour la JSK cet hiver. Sa prochaine destination ? Voilà une question qui taraude les esprits de milliers de fans de la JSK et dont on pense avoir la réponse ici. Sauf revirement de situation. En effet, Essaïd Belkalem atterrira à l'Espérance de Tunis. Le club tunisois avait tenté une approche l'été dernier, mais les négociations avec les dirigeants de la JSK ont été rompues d'un coup, avant de reprendre il y a une semaine. Accord imminent Comme la fois précédente, l'Espérance de Tunis, par le biais de son président, Ryad Bennour, est entrée directement en contact avec la direction de la JSK. Aux dernières nouvelles, les pourparlers avancent sereinement et sauf revirement de situation, un accord devrait intervenir d'ici peu. Selon les éléments d'informations qui nous sont parvenus, l'Espérance de Tunis n'attendait que le retour du président de la JSK, parti en France, pour conclure. Après quoi, l'EST pourrait négocier directement avec Belkalem les modalités du contrat. La JSK pourrait encaisser 2 milliards Essaïd Belkalem n'est pas contre l'idée de partir cet hiver, car désireux de faire bénéficier son club formateur de son départ. S'il part ce mois-ci, la JSK pourrait encaisser une indemnité. Quelque deux milliards, si l'on croit une source proche du dossier. Une coquette somme dont le club pourrait se servir pour renforcer le groupe. On sait qu'au moins deux attaquants sont attendus au mercato. Le départ de Belkalem libérera, en outre, la place à Djamel Benlamri qui sera reversé dans l'axe aux côtés d'Ali Rial, après avoir occupé différents postes de la défense. Cela nonobstant le fait que la JSK chercherait à faire signer un défenseur central. Les noms d'Amine Aksas et Adel Maïza ont été cités, sans suite. Une clause libératoire, après 6 mois Entre Essaïd Belkalem et les dirigeants de l'Espérance de Tunis, les négociations sont focalisées sur un détail : une clause libératoire, après six mois. En effet, le défenseur central voudrait, en effet, saisir toute opportunité qui lui viendrait de l'Europe en imposant une clause dans le contrat qui le libérerait, si besoin est. Sur le principe, l'Espérance de Tunis n'est pas contre, à la condition d'y mettre le prix que fixera l'EST. La réussite de la transaction repose sur ce détail : si l'EST venait à mettre la barre très haut, Belkalem se désistera.