«Très heureux et la conscience tranquille» Arrivé à la mi-saison, l'entraîneur khroubi, Rachid Terraï, a tenté sa première aventure avec les seniors de l'ASK. Son bilan final est très positif, comme le montrent ces chiffres, en réalisant son objectif, tout en assurant aussi une bonne gestion de l'effectif. En effet, rappelé à la rescousse, après le départ prématuré de Merzekane, Terraï a toujours développé le même discours, en disant : «J'ai accepté la mission de driver l'ASK pour aider mon club de cœur, moi et mon adjoint, Redjimi, on ne pouvait refuser l'appel de la direction, malgré les difficultés qui existaient en hiver dernier, où on a hérité d'un groupe mal en point sur le plan physique et très affecté moralement, sans compter sa position inconfortable au classement. Mais avec notre petite expérience, on a essayé de redresser la situation. Ainsi, nos efforts ont fini par redonner au club la joie de jouer, en enchaînant avec les victoires, ce fut une belle aventure très réussie pour nous, et Dieux merci, on a bien relevé le défi, l'équipe reste en Ligue 2.» «Très heureux et la conscience tranquille» Le coach Terraï et son adjoint Redjimi ont été bien honorés, jeudi dernier, par la direction, qui leur a discerné des attestations de reconnaissance et d'honneur. Ainsi, ce geste a énormément touché Terraï, qui part avec le sentiment du devoir accompli. Mais comme annoncé, précédemment, dans ces mêmes colonnes, Terraï ne continuera pas le travail avec l'ASK, comme il l'avait dit dès son intronisation, en expliquant : «On a été bien remerciés par l'administration et on part la conscience tranquille. Depuis le début, l'administration nous a juste demandé de rendre service au club et ne pas l'abandonner sans staff technique. Ainsi, on a réussi notre mission, à présent, la direction doit recruter un grand technicien qui pourra aider l'ASK à réussir ses futurs objectifs.» «Yaâkoub est immature» La période de Terraï a été entachée par quelques cas d'indisciplines, dont le pire était celui du joueur Yaâkoub, qui a fini par dépasser la ligne rouge avec son entraîneur. Ainsi, cet élément ne fait ni chaud ni froid à Terraï : «Un entraîneur a des choix à faire pour le bien et la bonne marche de l'équipe, des cas comme celui de Yaâkoub existent bien dans le foot. Ce dernier est encore très jeune et manque de maturité. Il veut avoir du temps de jeu pour décrocher de bons contrats, ce qui est tout a fait normal, mais à l'ASK, j'avais de bons éléments qui étaient toujours en super forme, et je ne pouvais chambouler mes plans. D'ailleurs, je n'ai aucun problème avec Yaâkoub et je ne lui tiens pas rancune, après ce qu'il a fait. Quand il sera grand, Yaâkoub comprendra que le métier d'un entraîneur n'est pas si facile comme il le pensait.» «Le Buteur a toujours joué un rôle excellent avec l'ASK» Pour l'entraîneur khroubi, notre journal constituait un bon outil de travail. D'ailleurs, il n'a pas raté l'occasion de nous remercier pour tout le travail accompli durant cette saison et durant toutes les autres années. Ses propos nous réjouissent et nous donnent envie de continuer sur notre lancée, afin d'offrir toujours le meilleur à nos lecteurs. ------------------ La direction fait la fête avec les juniors ! Parfois, les responsables de nos clubs font des choses étranges et très mal calculées. Avant-hier, la direction de Khettabi a organisé une fête à l'honneur des juniors «A» et «B». Pour infos, ces deux catégories n'ont rien offert à l'ASK, cette saison, et leur parcours en championnat est juste moyen. Et là, on se demande pourquoi les U21 n'ont pas eu le droit au même traitement, lesquels ont terminé la saison sur le podium. En effet, ils étaient renvoyés d'une manière peu chevaleresque. D'ailleurs, même les seniors méritent d'être considérés, en sauvant le club de la relégation, sans toucher le moindre centime depuis six mois. Ainsi, cette fête a perdu de son charme, où une somme d'argent a été déboursée dans les gâteaux et les confiseries, juste pour faire plaisir à certaines personnes. Celle-ci s'est déroulée dans une ambiance et la bonne humeur, en présence de Khettabi and Co.