L'environnement de l'investissement en Algérie est en amélioration continue, au point de susciter l'intérêt de grands pôles économiques mondiaux en matière de partenariat et de coopération économique. Fictivement. Ces opportunités d'affaires en Algérie séduisent le patron des investissements britanniques, Lord Marvin Davies. Ce dernier, en visite en Algérie depuis quelque jours, a affirmé, lundi à Alger, leur volonté pour l'élargissement et le renforcement de la coopération bilatérale dans tous les domaines, tout en oubliant le cadre traditionnel des hydrocarbures dans le partenariat avec l'Algérie, pour s'ouvrir sur d'autres secteurs comme la production des énergies renouvelables, des produits pharmaceutiques, et s'élargir au services et au tourisme. M. Davies s'est félicité également du nombre important d'opérateurs de son pays travaillant en Algérie. De son côté, M. Hamid Temmar ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, a évoqué la possibilité de créer "un partenariat entre la Sonatrach et une société britannique dans la production d'énergies renouvelables." Il a invité les entreprises britanniques à participer en force à la prochaine Foire internationale d'Alger (FIA) prévue juin . Il a également annoncé qu'une "délégation d'hommes d'affaires algériens se rendra prochainement à Londres dans le but d'étudier les formes de partenariat et de promouvoir les investissements britanniques en Algérie ". De plus, dans une déclaration à l'APS, en marge de sa visite mardi dans la wilaya d'Oran, le ministre britannique du Commerce et de l'Investissement, Lord Marvin Davies, a souligné que la Grande-Bretagne accorde un grand intérêt au rythme d'évolution de l'économie algérienne qui connait "une ouverture remarquable", à la faveur de la levée de plusieurs entraves commerciales, tout en faisant remarquer que le marché algérien constitue désormais "une grande priorité pour l'économie britannique". Lord davies a exprimé, en outre, son optimise quant au développement de la dynamique commerciale entre l'Algérie et la Grande- Bretagne dans une prochaine étape, tout en soulignant que le volume des transactions entre les deux pays a atteint plus d'un milliard de livre sterling en 2008. La crise économique mondiale a imposé aux grands pays, à l'instar de l'Angleterre, de s'orienter vers des marchés importants à l'exemple de l'Algérie afin de redresser leur économie, a-t-il encore indiqué. Pour sa part, l'ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Andrew Hendersen a exprimé sa conviction quant au développement du volume de partenariat et d'investissement britannique en Algérie, en soulignant que ceci est palpable à travers l'intérêt accordé par les grands pôles économiques à l'investissement dans divers créneaux dans ce pays, particulièrement en matière d'énergies renouvelables, d'industrie pharmaceutique, de technologie de la santé, de prestations, de banques et de assurances entre autres. Par ailleurs, le ministre britannique a visité, hier après-midi, la société SSK, spécialisée dans la fabrication des lubrifiants, qui est une société mixte algéro-britannique, créée dans le cadre d'un partenariat entre "British Petroleum" (BP) et "Petroser-SPA". Il s'est rendu également à la société "Uniliver", spécialisée dans la fabrication de détergents, de produits cosmétiques et autres produits et leur commercialisation dans le cadre d'un partenariat avec un groupe britannique spécialisé. Les deux entreprises visitées sont implantées à Hassi Ameur à l'est d'Oran. Nassim I