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Probabilité de création de nouvelles wilayas
Projet de découpage administratif
Publié dans Le Maghreb le 06 - 03 - 2010

En marge de la session plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, M. Daho Ould Kablia, ministre délégué chargé des Collectivités locales, a déclaré avant-hier à Alger que le projet de découpage administratif "n'est ni mort ni enterré" et constitue même un des nombreux objectifs de l'actuel mandat et qu'il relève de la réforme de l'Etat ; un objectif à moyen terme qui permettra au moins de sortir avec un début de solution. Aussi, il a rappelé que "le président de la République n'a cité dans ce cadre aucun nombre de wilayas". Estimant qu'il ne s'agit pas d'un problème "aussi aisé qu'on l'imagine", le ministre a indiqué que transformer le visage de l'administration algérienne "n'est pas chose facile"."Il faut une étude extrêmement approfondie avec tous les effets et toutes les conséquences qui pourraient en être induites", a-t-il relevé, estimant "contre productif" de créer une nouvelle wilaya sans les résultats escomptés. Dans le même sens, M. Ould Kablia a rappelé que l'objectif des pouvoirs publics est de "rapprocher l'administration de l'administré". "C'est pour cela qu'il faut examiner tous les aspects financiers, structurels et humains, y compris les problèmes ethnosociologiques", a-t-il poursuivi, illustrant son propos par la question des Arouchs (tribus) qui surgit dans de pareilles situations. En outre, il a observé que la perception que l'on a du découpage administratif est "subjective", en ce sens que chaque Arch se voit érigé en wilaya. "La population l'aborde sous l'aspect subjectif, alors que l'Etat le fait avec une approche objective", a-t-il souligné. M. Ould Kablia a énuméré auparavant, lors de son intervention en plénière, en réponse à une question orale, les facteurs plaidant en faveur du nouveau découpage administratif, citant, entre autres, les "limites" de l'actuel découpage à cause de l'éloignement des centres de décision dans quelques wilayas à l'instar de celles du Grand Sud. "La gestion de proximité est devenue difficile à réaliser dans ce genre de cas", a-t-il expliqué, constatant que cette situation a généré un "déséquilibre criant" sur le plan administratif et financier d'une wilaya à l'autre.
Il a, par ailleurs, indiqué que ce projet doit répondre à la nécessité de consolider la souveraineté de l'Etat au niveau des zones frontalières, comme les wilayas du Grand Sud "où des activités parasitaires ont été enregistrées", évoquant aussi l'équilibre de la densité de la population à travers toutes les régions du pays. Concernant les textes de loi relatifs à l'indemnisation des victimes de la tragédie nationale, ils sont "perfectibles" à la lumière de l'apparition de cas non prévus dans ces textes, a indiqué le ministre. Il a d'ailleurs cité, dans ce cadre, le cas des veuves et ayant-droit de victimes de la tragédie nationale dépassant l'âge de la retraite (60 ans) et non salariées, qui n'ont plus droit à cette indemnisation au-delà de cette limite d'âge. "Dans ce cas-là, comme il n' y a pas de dispositions adéquates dans les textes de loi, il va falloir rectifier", a-t-il précisé ajoutant qu'"il s'agit d'un point qu'il va falloir examiner". Il a précisé cependant, concernant le système institutionnel de l'Etat, qu'"à n'importe quel moment, le ministère de l'Intérieur peut retirer ou geler l'agrément d'une association dans le cas d'activités contraires à son statut ou portant atteinte à la nature du système institutionnel en vigueur, à la souveraineté nationale, à l'unité nationale et à la langue nationale". Ajoutant que l'association portant également atteinte à l'ordre public et à l'éthique sera "réprimée" conformément à la réglementation en vigueur. S'agissant de l'agrément des associations étrangères, le ministre délégué a expliqué que les étrangers résidants légalement en Algérie et ayant un permis de travail sont soumis à la même réglementation en matière de création d'association imposée aux nationaux. M. Ould Kablia a, dans ce contexte, indiqué que l'adhésion du Rotary Club Algérie au Rotary Club international, le 15 octobre 1991, s'est faite conformément à la loi algérienne, précisant que "les services du ministère de l'Intérieur n'ont été destinataires d'aucun rapport ou renseignements dénonçant des activités contraires à la législation algérienne". Il a affirmé, à ce sujet, que Rotary Club envoie régulièrement les bilans de ses activités de bienfaisance aux services du ministère de l'Intérieur. Enfin, le ministre délégué a conclu, en parlant des dons étrangers qui sont fait au profit des associations, en disant que "ce genre d'activités est soumis à des investigations "rigoureuses" en concertation avec les institutions spécialisées de l'Etat".

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