Avec certains indicateurs des plus forts, l'Algérie a toutes les chances d'être plus innovatrice, plus productive et compétitive. Ils démontrent que l'économie nationale est toujours robuste et résiste malgré la crise financière mondiale. Les effets de cette crise ont été minimes dans le pays, malgré la spirale à la baisse des prix du pétrole sur le marché mondial. Tout cela n'a eu que peu d'implication sur les équilibres macroéconomiques et les perspectives de croissance. L'activité économie continue de se développer raisonnablement. Les analyses de certains experts mondiaux constituent une des références principales pour les investisseurs étrangers et d'aide à la décision, " les bonnes perspectives des cours du pétrole et la reprise attendue de l'économie mondiale favoriseront l'Algérie en lui permettant d'engager des investissements robustes, d'avoir une demande interne plus importante et une production d'hydrocarbures en hausse ". Ainsi, le secteur des hydrocarbures en Algérie devrait, pour la première fois depuis plusieurs années, contribuer à l'augmentation de la croissance économique en 2010, la croissance économique globale sera ainsi tirée davantage vers le haut. C'est là, le résultat de politiques économiques, budgétaires et fiscales mises en place pour renforcer la compétitivité de l'économie nationale pour l'obtention de plus d'investissements. Le gouvernement, en s'engageant avec succès dans cette gestion rigoureuse des finances publiques, ce qui, additionné à un taux de croissance en hausse, a donné lieu à un redressement macroéconomique réussi avec moins d'importation et l'augmentation " souple " de la demande locale. Maintenant, il s'agit de garantir ce " tracé " économique et de veiller à maintenir un secteur financier robuste et bien financé, réduire la vulnérabilité aux chocs et renforcer la base de la croissance. Ce qui va également se traduire par le renfoncement de la cohérence à tous les niveaux pour inscrire un développement économique durable et la réduction des disparités. A ce sujet, il est constaté que l'agenda des pouvoirs publics, constitue un point de non retour en ce qui concerne la question de la répartition des revenus sur le développement et sa pérennité fondamentale en vue d'une acceptation sociale. Bien que les précédents programmes de développement ont contribué également à rehausser les " échelles " de la croissance, il résulte encore des faiblesses à combler pour réduire les inégalités sous la forme de nouvelles possibilités d'activités économiques.