Relancer le développement au sein de toutes les régions du pays, est aujourd'hui un enjeu majeur et une impérieuse nécessité. C'est indispensable pour la préparation de l'avenir des populations. La crise économique et financière mondiale a justifié l'approche de l'action du gouvernement pour rendre " urgent " l'instauration d'un principe budgétaire qui replace la dépense publique au service de l'intérêt des populations, un modèle qui permet de mieux répartir les richesses nationales. Ce nouveau canevas est, pour tous, l'enjeu des cinq années à venir. Les gestionnaires et les ordonnateurs de la finance publique seront-ils capables de le gouverner ? Cela ne dépendra que de leur compétence et de leur conception du travail et d'élaboration. Le maillon essentiel du développement en question tend à " retisser " les liens socio-économiques afin de donner une véritable traduction politique aux attentes du peuple, grâce aux nombreuses " passerelles " établies et qu'offre le programme présidentiel pour réduire tous les écarts, faire en sorte que l'économie occupe une place majeure dans la vie sociale. Une politique de la raison qui se nourrit d'engagement, qui obéit aux préoccupations multiples de la société. Ses fondements politiques au sens large, mettent au jour les enjeux du présent : rehausser les arguments sous-jacents et les choix impératifs, dont l'éventail est à chaque fois réactualisé en parallèle avec la réalité économique et sociale du pays, une démarche reposant sur la priorité et la cohérence formelle qui permettent d'emblée la survie à toutes les turbulence, l'amélioration de la qualité de vie et la croissance. Les acteurs en question chargés de ce développement, se devraient de considérer la dynamique économique du pays comme points de convergence pour la valorisation sociale, la pleine satisfaction des besoins de tous. Un fondement d'une politique nationale " humanisante ", d'un développement durable, socialement juste et tourné vers la satisfaction rationnelle des nécessités de chacun et de tous les citoyens du pays, et pour la poursuite d'une voie de développement durable, à travers les générations et en faveur de l'amélioration du bien-être à la fois social et économique. La valeur " centrale " de cette option économique impose des rapports de collaboration et d'inclusion solidaires inspirés par des principes qui envisagent le citoyen comme " sujet " et finalité de ce développement durable. Pour ce qui concerne les effets internes et leurs implications sur le quotidien du citoyen, il est beaucoup plus facile d'identifier totalement les retombées de cette politique nettement plus sociale et économique et qui gagne en matière de croissance. On peut déceler dans les orientations actuelles un ensemble de réflexions et de logiques qui sont fondamentalement favorables au développement du pays. Cette responsabilité de l'Etat dans l'évolution nationale est perçue comme une prise de conscience afin d'éviter de " tomber " dans les faiblesses du dispositif économique mondial négatif, et qui a " happé " les ressources monétaires internationales et " asséché " le marché financier sur lequel les pays endettés ne se sont pas préparées ni pourront plus trouver les devises pour faire face à leurs obligations financières.