L'accélération de la croissance et le développement économique, sont désormais conciliables afin d'améliorer la " renaissance " de l'industrie et de l'agriculture, c'est-à-dire la poursuite de la création d'opportunités pour la croissance solide et la création d'emplois. A l'occasion de la célébration du 56é anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale, il y a une grande conviction qui se dessine, les Algériens sont capables et ont les moyens de relever les défis du XXIè siècle, et d'user de leur meilleure volonté pour " négocier " avec résultat les problèmes du quotidien, y compris en ce qui concerne l'économie. Donc, il s'agit de saisir la moindre opportunité que les acquis de la décennie ont offert à la société. La conduite de ce développement, à une échelle plus élevée, exige que chacun s'attelle à sa tâche et à ses missions afin d'assurer de manière plus efficace ce processus de reconstruction initié par le président Abdelaziz Bouteflika, mais ne l'oublions pas, l'Etat a véritablement œuvré pour concrétiser ses engagements faits au peuple. Toutefois, et cela n'est en rien étonnant, il est évident qu'il reste beaucoup à faire à cet égard, de l'aveu même du Gouvernement. Etant donné, cette réalité, l'Exécutif en identifiant les priorités et les " immédiats " à utiliser et à exploiter dans son action comme " catalyseurs " pour accélérer les réalisations des objectifs tracés et que le peuple attend, s'est engagé fermement à continuer à progresser dans cette direction pour la satisfaction des aspirations cruciales des populations pour une vie meilleure. La mise en œuvre rapide de cette politique, se révèle déjà à travers le programme quinquennal 2010/14. Tous les rouages et les responsables de l'Etat du sommet à la base ont été instruits par le Président, à s'engager donc, dans ce quinquennat, et à faire davantage d'efforts pour assurer cet impératif de développement au profit des populations. La référence à cette forte détermination du chef de l'Etat, pour que la vie des populations s'améliore, c'est toute une nouvelle accélération du développement et de la croissance, qui sont visées, et pour le renforcement de l'impact de chaque opération orientée vers les domaines cruciaux qui intéressent et qui comblent les déficits des populations et des régions. 56 ans après, la Révolution libératrice, au Premier novembre 2010, l'Algérie est entrée dans une ère de cohésion totale, dans laquelle a été retrouvé le chemin, certain, stable, assailli par la garantie et la quiétude sur le présent et l'avenir, particulièrement que les fondamentaux politiques, économiques et sociaux sur lesquels s'est appuyé le programme présidentiel ces dix dernières années pour aller de l'avant vers les réalisations et les acquis reste en place. Au bout de ce parcours, " nul ne peut nier que l'Algérie est en train de renouer avec la paix et avec le développement, même si des difficultés demeurent à résoudre ". Le chômage commence à reculer, la crise du logement s'allége, l'investissement s'accroît et la croissance se renforce. En un mot, l'espoir est de retour. Chiffres et faits d'actualités à l'appui, l'Algérie montre comment elle se transforme tout à la fois à " produire " l'égalité et la justice sociale. Pour retrouver ces motifs d'espoir, il n'y a qu'à se reporter au " recueil " des intitulés et des chapitres du programme quinquennal. La mise en avant de cet espace politique, désigne sans le moindre doute, la capacité du pays à mettre en œuvre des raisonnements internes entre les divers intérêts de la population et les diverses visions du développement global, prônant des dispositions et des mesures notamment, sur la sauvegarde sociale des citoyens. B. Chellali