Il y a une lésion organique ou un dysfonctionnement se manifestant par des perturbations physiques mesurables. Il n'y a pas en principe de choix inconscient de l'organe touché. La localisation dépendrait essentiellement des prédispositions biologiques sous-jacentes du patient. Il y a une lésion organique ou un dysfonctionnement se manifestant par des perturbations physiques mesurables. Il n'y a pas en principe de choix inconscient de l'organe touché. La localisation dépendrait essentiellement des prédispositions biologiques sous-jacentes du patient. Pour confirmer le diagnostic, il faut au moins quatre symptômes douloureux (tête, dos, poitrine, miction…), deux symptômes gastro-intestinaux (nausées, ballonnement, vomissements, diarrhée…), un symptôme sexuel (douleur, désintérêt, irrégularité des règles…) et un symptôme pseudoneurologique (évanouissement, trouble de l'équilibre, de la coordination..) Il ne faut pas confondre les maladies psychosomatiques et… - La simulation : il n'y a pas de problème organique, le malade le sait et se sert du symptôme qu'il simule dans un but bien précis ; - L'hypocondrie : il n'y a pas de lésion mesurable malgré les plaintes du patient qui est réellement convaincu d'avoir une maladie ; - L'hystérie : le symptôme a une fonction psychique symbolique dans la névrose hystérique et n'est pas vécu dans l'angoisse ; - Les pathologies organiques : la cause des symptômes vient d'une maladie physique. Comment explique-t-on ces maladies ? Certains attribuent un rôle déclenchant à des évènements de vie stressants ou encore à des conflits affectifs. D'autres insistent sur une plus grande vulnérabilité de ces patients à extérioriser leurs émotions. D'après Laborit, "l'inhibition de l'action" jouerait un rôle primordial dans la genèse de ces affections psychosomatiques. Comment évoluent les maladies psychosomatiques ? Le trouble psychosomatique évolue pour son propre compte une fois qu'il est installé. La prise en charge psychologique pourra aider à diminuer les crises mais ne changera pas le terrain sous-jacent. Le trouble entraîne souvent un retentissement socioprofessionnel et affectif qui est disproportionné par rapport aux symptômes présentés. A retenir Les maladies psychosomatiques sont caractérisées par des atteintes objectivables d'un organe ou de son fonctionnement. La cause de ce dérèglement est de nature psychique mais l'organe touché était certainement prédisposé biologiquement à être perturbé. La prise en charge psychologique pourra aider à diminuer les crises mais ne changera pas ce terrain sous-jacent. Source : santé a-z Pour confirmer le diagnostic, il faut au moins quatre symptômes douloureux (tête, dos, poitrine, miction…), deux symptômes gastro-intestinaux (nausées, ballonnement, vomissements, diarrhée…), un symptôme sexuel (douleur, désintérêt, irrégularité des règles…) et un symptôme pseudoneurologique (évanouissement, trouble de l'équilibre, de la coordination..) Il ne faut pas confondre les maladies psychosomatiques et… - La simulation : il n'y a pas de problème organique, le malade le sait et se sert du symptôme qu'il simule dans un but bien précis ; - L'hypocondrie : il n'y a pas de lésion mesurable malgré les plaintes du patient qui est réellement convaincu d'avoir une maladie ; - L'hystérie : le symptôme a une fonction psychique symbolique dans la névrose hystérique et n'est pas vécu dans l'angoisse ; - Les pathologies organiques : la cause des symptômes vient d'une maladie physique. Comment explique-t-on ces maladies ? Certains attribuent un rôle déclenchant à des évènements de vie stressants ou encore à des conflits affectifs. D'autres insistent sur une plus grande vulnérabilité de ces patients à extérioriser leurs émotions. D'après Laborit, "l'inhibition de l'action" jouerait un rôle primordial dans la genèse de ces affections psychosomatiques. Comment évoluent les maladies psychosomatiques ? Le trouble psychosomatique évolue pour son propre compte une fois qu'il est installé. La prise en charge psychologique pourra aider à diminuer les crises mais ne changera pas le terrain sous-jacent. Le trouble entraîne souvent un retentissement socioprofessionnel et affectif qui est disproportionné par rapport aux symptômes présentés. A retenir Les maladies psychosomatiques sont caractérisées par des atteintes objectivables d'un organe ou de son fonctionnement. La cause de ce dérèglement est de nature psychique mais l'organe touché était certainement prédisposé biologiquement à être perturbé. La prise en charge psychologique pourra aider à diminuer les crises mais ne changera pas ce terrain sous-jacent. Source : santé a-z