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La modernisation de la police, un autre défi
C'était l'une de ses priorités
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 02 - 2010

Voir des policiers sur des scènes de crimes, en combinaisons blanches et équipés d'un matériel des plus sophistiqués, fait plaisir à voir. L'Algérie a sa police scientifique et c'est tant mieux. Comme nous rend fier le fait de voir les policiers dotés de détecteurs de métaux à tous les barrages qui quadrillent nos villes. Autant d'instantanés qui effacent le cliché d'une police algérienne archaïque. La modernisation de la police et le professionnalisme des hommes qui la composent, étaient les maîtres mots de l'homme qui, 15 ans durant, aura dirigé la DGSN. Des convictions que Ali Tounsi affichait à chacune de ses sorties médiatiques, ou lors de l'inauguration de telle ou telle structure de la sûreté nationale. Pour ce faire, il avait mené plusieurs actions et était derrière de louables initiatives telles que l'ouverture de la DGSN sur le monde technique et scientifique ainsi que le rapprochement police-citoyen. D'ailleurs, M. Ali Tounsi ne manquait jamais de louer le travail de la police scientifiques, affirmant que 70 % des succès dans la résolution des affaires criminelles ou autres a été obtenu grâce aux progrès de cette structure. Ainsi, nous n'avons rien à envier aux autres polices dans le monde; la police scientifique suscite de plus en plus l'interêt de nos jeunes qui veulent y adhérer, attirés par la formation moderne dispensée et les nouveaux équipements mis à leur disposition. Ce résultat, l'ancien DG le menait à bien en installant de nouveaux établissements de formation comme l'ouverture dernièrement de l'Académie des technologies de l'information de la sureté nationale, une aubaine pour la nouvelle génération de policiers d'acquérir une formation large et précise dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC). Et les préparer ainsi à faire face à la cybercriminalité. M. Ali Tounsi abordait souvent certains fléaux ou de nouveaux types de criminalité dans le but d'y faire face avant leur éventuelle apparition dans le pays. Rappelons à ce titre, le séminaire de formation qu'avait abrité l'Ecole supérieure de Police de Châteauneuf, sur les drogues de synthèse, une formation pour anticiper contre ce fléau et renforcer et améliorer notamment les connaissances des personnels de laboratoires de police scientifique, ou encore l'envoi d'un groupe de techniciens pour un stage de formation de six mois en Suisse pour mieux maîtriser et lutter contre la cybercriminalité. «La science au service de la police et la police au service du citoyen», «bien s'instruire pour mieux servir», ce sont là quelques slogans choisis par la direction pour donner une nouvelle image du policier car, pour Ali Tounis, la clef de la réussite réside dans l'amélioration de son système de formation et du niveau de ses formateurs, en les faisant bénéficier de l'expertise des polices de pays frères et amis dans les domaines qui intéressent la Police algérienne.
K. H.
Voir des policiers sur des scènes de crimes, en combinaisons blanches et équipés d'un matériel des plus sophistiqués, fait plaisir à voir. L'Algérie a sa police scientifique et c'est tant mieux. Comme nous rend fier le fait de voir les policiers dotés de détecteurs de métaux à tous les barrages qui quadrillent nos villes. Autant d'instantanés qui effacent le cliché d'une police algérienne archaïque. La modernisation de la police et le professionnalisme des hommes qui la composent, étaient les maîtres mots de l'homme qui, 15 ans durant, aura dirigé la DGSN. Des convictions que Ali Tounsi affichait à chacune de ses sorties médiatiques, ou lors de l'inauguration de telle ou telle structure de la sûreté nationale. Pour ce faire, il avait mené plusieurs actions et était derrière de louables initiatives telles que l'ouverture de la DGSN sur le monde technique et scientifique ainsi que le rapprochement police-citoyen. D'ailleurs, M. Ali Tounsi ne manquait jamais de louer le travail de la police scientifiques, affirmant que 70 % des succès dans la résolution des affaires criminelles ou autres a été obtenu grâce aux progrès de cette structure. Ainsi, nous n'avons rien à envier aux autres polices dans le monde; la police scientifique suscite de plus en plus l'interêt de nos jeunes qui veulent y adhérer, attirés par la formation moderne dispensée et les nouveaux équipements mis à leur disposition. Ce résultat, l'ancien DG le menait à bien en installant de nouveaux établissements de formation comme l'ouverture dernièrement de l'Académie des technologies de l'information de la sureté nationale, une aubaine pour la nouvelle génération de policiers d'acquérir une formation large et précise dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC). Et les préparer ainsi à faire face à la cybercriminalité. M. Ali Tounsi abordait souvent certains fléaux ou de nouveaux types de criminalité dans le but d'y faire face avant leur éventuelle apparition dans le pays. Rappelons à ce titre, le séminaire de formation qu'avait abrité l'Ecole supérieure de Police de Châteauneuf, sur les drogues de synthèse, une formation pour anticiper contre ce fléau et renforcer et améliorer notamment les connaissances des personnels de laboratoires de police scientifique, ou encore l'envoi d'un groupe de techniciens pour un stage de formation de six mois en Suisse pour mieux maîtriser et lutter contre la cybercriminalité. «La science au service de la police et la police au service du citoyen», «bien s'instruire pour mieux servir», ce sont là quelques slogans choisis par la direction pour donner une nouvelle image du policier car, pour Ali Tounis, la clef de la réussite réside dans l'amélioration de son système de formation et du niveau de ses formateurs, en les faisant bénéficier de l'expertise des polices de pays frères et amis dans les domaines qui intéressent la Police algérienne.
K. H.


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