Des commissions ont été installées dans un premier temps dans dix communes pour étudier les dossiers des postulants selon un cahier de charge bien défini. S'ensuivra une seconde étude des dossiers par les services de la DAS pour leur approbation. Des commissions ont été installées dans un premier temps dans dix communes pour étudier les dossiers des postulants selon un cahier de charge bien défini. S'ensuivra une seconde étude des dossiers par les services de la DAS pour leur approbation. Après l'annonce faite par le directeur de la Direction de l'action sociale (DAS) de Chlef faisant état de l'octroi par le ministère de la Solidarité d'un premier quota de 1790 postes d'emploi, les guichets de 10 communes sur les 35 que compte la wilaya ne se désemplissent pas de jeunes chômeurs venus déposer leurs dossiers de candidature. Selon M. Hadj Bouchoucha, directeur de la DAS, des commissions ont été installées dans un premier temps dans dix communes pour étudier les dossiers des postulants selon un cahier de charge bien défini. S'ensuivra une seconde étude des dossiers par les services de la DAS pour leur approbation. M. Bouchoucha fera remarquer que les bénéficiaires percevront une indemnité de 6000DA/mois et devront participer à un travail effectif d'utilité publique. Ce programme concerne les non diplômés. Quant aux universitaires et techniciens supérieurs, un premier quota de 658 postes d'emploi a été dégagé par le ministère. Ces postes seront, selon le directeur de la DAS, affectés suivant les besoins exprimés par les organismes publics ou privés activant dans la wilaya et se feront dans la transparence la plus totale. Toutefois, M. Bouchoucha tient à préciser que ce quota (658) est insignifiant devant le nombre total de demandeurs d'emploi inscrit à la DAS et qui s'élève à 14.780 chômeurs universitaires. Il faut savoir que ce programme destiné aux universitaires permet à ces derniers leur insertion professionnelle dans le monde du travail, suivant un contrat de travail de 1+ 3 ans. La première année (année-test), la nouvelle recrue bénéficiera d'une prime de 12.000 DA allouée par l'Etat, sans aucune contribution de l'entreprise ou de l'établissement employeur. Après cela, si l'employeur désire garder le jeune diplômé au sein de son organisme, il signera un nouveau contrat de 3 ans et l'employé bénéficiera alors de 20.000 DA le mois, dont 12.000 DA à la charge de l'Etat le reste (8 000 DA) à celle de l'employeur. Pour la deuxième année, le salaire sera le même, mais l'employeur participera, cette fois-ci, avec 12 000 DA et l'Etat avec 8.000 DA, et la troisième année 14.000 DA seront payés par l'employeur et 6.000 par l'Etat. Passés les trois ans, le travailleur intégrera définitivement l'organisme employeur. B. O. Après l'annonce faite par le directeur de la Direction de l'action sociale (DAS) de Chlef faisant état de l'octroi par le ministère de la Solidarité d'un premier quota de 1790 postes d'emploi, les guichets de 10 communes sur les 35 que compte la wilaya ne se désemplissent pas de jeunes chômeurs venus déposer leurs dossiers de candidature. Selon M. Hadj Bouchoucha, directeur de la DAS, des commissions ont été installées dans un premier temps dans dix communes pour étudier les dossiers des postulants selon un cahier de charge bien défini. S'ensuivra une seconde étude des dossiers par les services de la DAS pour leur approbation. M. Bouchoucha fera remarquer que les bénéficiaires percevront une indemnité de 6000DA/mois et devront participer à un travail effectif d'utilité publique. Ce programme concerne les non diplômés. Quant aux universitaires et techniciens supérieurs, un premier quota de 658 postes d'emploi a été dégagé par le ministère. Ces postes seront, selon le directeur de la DAS, affectés suivant les besoins exprimés par les organismes publics ou privés activant dans la wilaya et se feront dans la transparence la plus totale. Toutefois, M. Bouchoucha tient à préciser que ce quota (658) est insignifiant devant le nombre total de demandeurs d'emploi inscrit à la DAS et qui s'élève à 14.780 chômeurs universitaires. Il faut savoir que ce programme destiné aux universitaires permet à ces derniers leur insertion professionnelle dans le monde du travail, suivant un contrat de travail de 1+ 3 ans. La première année (année-test), la nouvelle recrue bénéficiera d'une prime de 12.000 DA allouée par l'Etat, sans aucune contribution de l'entreprise ou de l'établissement employeur. Après cela, si l'employeur désire garder le jeune diplômé au sein de son organisme, il signera un nouveau contrat de 3 ans et l'employé bénéficiera alors de 20.000 DA le mois, dont 12.000 DA à la charge de l'Etat le reste (8 000 DA) à celle de l'employeur. Pour la deuxième année, le salaire sera le même, mais l'employeur participera, cette fois-ci, avec 12 000 DA et l'Etat avec 8.000 DA, et la troisième année 14.000 DA seront payés par l'employeur et 6.000 par l'Etat. Passés les trois ans, le travailleur intégrera définitivement l'organisme employeur. B. O.