Depuis plusieurs années, les habitants de Bardou, une localité sise dans la commune de Terraï Beïnen, souffrent le martyre à cause du manque d'eau sans que personne ne trouve à redire. Ils ont eu beau se plaindre, rien ne semble vouloir changer, car ils continuent de s'alimenter auprès des colporteurs d'eau au prix de un dinar le litre et payent la citerne de 2.500 litres au prix de 700 dinars ; c'est à prendre ou laisser. L'eau ne coule dans dans certains quartiers de cette localité que deux ou trois fois par mois pendant deux ou trois heures, avec cette particularité que les citoyens habitant les rez- de-chaussée remplissent tous leurs récipients tandis que ceux des étages supérieurs attendent que ces derniers daignent fermer leurs robinets pour pouvoir s'approvisionner à leur tour. Les citoyens désespérés et désemparés ne savent plus à quel saint se vouer et interpellent les responsables locaux pour mettre fin à leur calvaire qui n'a que trop duré. Depuis plusieurs années, les habitants de Bardou, une localité sise dans la commune de Terraï Beïnen, souffrent le martyre à cause du manque d'eau sans que personne ne trouve à redire. Ils ont eu beau se plaindre, rien ne semble vouloir changer, car ils continuent de s'alimenter auprès des colporteurs d'eau au prix de un dinar le litre et payent la citerne de 2.500 litres au prix de 700 dinars ; c'est à prendre ou laisser. L'eau ne coule dans dans certains quartiers de cette localité que deux ou trois fois par mois pendant deux ou trois heures, avec cette particularité que les citoyens habitant les rez- de-chaussée remplissent tous leurs récipients tandis que ceux des étages supérieurs attendent que ces derniers daignent fermer leurs robinets pour pouvoir s'approvisionner à leur tour. Les citoyens désespérés et désemparés ne savent plus à quel saint se vouer et interpellent les responsables locaux pour mettre fin à leur calvaire qui n'a que trop duré.