A l'instar de l'ensemble des communes algéroises, Douera a, selon l'un de ses responsables locaux, tracé un riche programme pour mener à bien sa lutte contre la précarité et l'informel à travers son territoire. Après le commerce informel contre lequel les services locaux mènent une lutte de tous les instants, c'est au tour de l'éradication de l'habitat précaire et anarchique. Pour cela un projet de réalisation de trois mille logements a été lancé par les responsables locaux. Sadek Mokadem, président de l'assemblée populaire communale nous explique que ce projet vise à mettre fin à la précarité des mille deux cents familles recensées au sein des quatre grands bidonvilles qu'abrite Douéra, dont El Ramdania et Ouled Mendil existent depuis très longtemps. "L'APC s'est ainsi lancé le défi de réaliser ces logements dans un délai qui ne devrait pas excéder trente-six mois", nous assure M. Mokadem, il reste à souhaiter que tout suive et qu'il n'y ait pas d'arias pour venir retarder cette réalisation très attendue. Les aléas les plus récurrents étant, tout le monde en convient, l'augmentation des matériaux de construction, particulièrement celle du ciment. A l'instar de l'ensemble des communes algéroises, Douera a, selon l'un de ses responsables locaux, tracé un riche programme pour mener à bien sa lutte contre la précarité et l'informel à travers son territoire. Après le commerce informel contre lequel les services locaux mènent une lutte de tous les instants, c'est au tour de l'éradication de l'habitat précaire et anarchique. Pour cela un projet de réalisation de trois mille logements a été lancé par les responsables locaux. Sadek Mokadem, président de l'assemblée populaire communale nous explique que ce projet vise à mettre fin à la précarité des mille deux cents familles recensées au sein des quatre grands bidonvilles qu'abrite Douéra, dont El Ramdania et Ouled Mendil existent depuis très longtemps. "L'APC s'est ainsi lancé le défi de réaliser ces logements dans un délai qui ne devrait pas excéder trente-six mois", nous assure M. Mokadem, il reste à souhaiter que tout suive et qu'il n'y ait pas d'arias pour venir retarder cette réalisation très attendue. Les aléas les plus récurrents étant, tout le monde en convient, l'augmentation des matériaux de construction, particulièrement celle du ciment.