Alors que les fonctionnaires communaux sont nombreux à répondre favorablement au mot d'ordre de la grève à l'intérieur du pays, le suivi demeure mitigé sur la wilaya d'Alger. Alors que les fonctionnaires communaux sont nombreux à répondre favorablement au mot d'ordre de la grève à l'intérieur du pays, le suivi demeure mitigé sur la wilaya d'Alger. La grève nationale des fonctionnaires municipaux a été maintenu en ce deuxième jour de contestation, paralysant ainsi l'ensemble des communes particulièrement à l'intérieur du pays. Selon le porte-parole du Conseil national du secteur des communes (CNSC), Ali Yahia, que nous avons joint hier par téléphone, le taux de suivi de la grève, estimé à plus de 80%, a évolué par rapport au premier jour du débrayage, du fait de l'adhésion de nombreuses wilayas, à l'instar de la wilaya de Sétif, Tizi-Ouzou et Skikda. «L'évolution du taux de suivi de la grève est de l'ordre de 10% en ce deuxième jour. Ce qui est satisfaisant pour nous», a-t-il indiqué. Alors que les fonctionnaires communaux sont nombreux à répondre favorablement au mot d'ordre de la grève à l'intérieur du pays, le suivi demeure mitigé sur la wilaya d'Alger. «La réticence des communaux de la wilaya d'Alger s'explique par les mesures répressives brandies par leurs responsables. Nos adhérents d'Alger sont victimes de menaces et autres sanctions, ce qui les contraint à assurer leurs tâches habituelles», a-t-il souligné. A ce propos, le syndicaliste a regretté la soumission de ces travailleurs face aux menaces de leurs administrations respectives. «Il est désolant de voir ces travailleurs ne connaissant pas leur droit constitutionnel à la grève», a-t-il dit. Néanmoins, les communes de Rouiba, Baba Hassen et Birtouta ont affiché les pancartes de grève, a-t-il affirmé. Cependant, notre interlocuteur a affirmé qu'aucune réaction n'est affichée de la part des pouvoirs publics en dépit de cette protestation pourtant «largement suivie». Pour dénoncer cet état de fait, le CNSC compte protester aux côtés des adhérents du Syndicat national autonomes des praticiens de l'administration publique (Snapap), en participant à leur rassemblement prévu le 2 mai prochain devant la direction de la Fonction publique. Cela dit, une réunion extraordinaire est prévue juste après ledit sit-in, et qui a pour but d'élargir la protestation à d'autres secteurs de la Fonction publique. «La grève de trois jours, renouvelable chaque semaine, sera élargie à d'autres secteurs, notamment, les wilayates, daïrates, services agricoles et ceux de la santé publique, affiliés au Snapap», a-t-il ajouté. Pour rappel, les revendications socioprofessionnelles des protestataires sus-cités sont inhérentes à l'ouverture des négociations portant sur le statut particulier de la corporation ainsi que sur le dossier du régime indemnitaire. La grève nationale des fonctionnaires municipaux a été maintenu en ce deuxième jour de contestation, paralysant ainsi l'ensemble des communes particulièrement à l'intérieur du pays. Selon le porte-parole du Conseil national du secteur des communes (CNSC), Ali Yahia, que nous avons joint hier par téléphone, le taux de suivi de la grève, estimé à plus de 80%, a évolué par rapport au premier jour du débrayage, du fait de l'adhésion de nombreuses wilayas, à l'instar de la wilaya de Sétif, Tizi-Ouzou et Skikda. «L'évolution du taux de suivi de la grève est de l'ordre de 10% en ce deuxième jour. Ce qui est satisfaisant pour nous», a-t-il indiqué. Alors que les fonctionnaires communaux sont nombreux à répondre favorablement au mot d'ordre de la grève à l'intérieur du pays, le suivi demeure mitigé sur la wilaya d'Alger. «La réticence des communaux de la wilaya d'Alger s'explique par les mesures répressives brandies par leurs responsables. Nos adhérents d'Alger sont victimes de menaces et autres sanctions, ce qui les contraint à assurer leurs tâches habituelles», a-t-il souligné. A ce propos, le syndicaliste a regretté la soumission de ces travailleurs face aux menaces de leurs administrations respectives. «Il est désolant de voir ces travailleurs ne connaissant pas leur droit constitutionnel à la grève», a-t-il dit. Néanmoins, les communes de Rouiba, Baba Hassen et Birtouta ont affiché les pancartes de grève, a-t-il affirmé. Cependant, notre interlocuteur a affirmé qu'aucune réaction n'est affichée de la part des pouvoirs publics en dépit de cette protestation pourtant «largement suivie». Pour dénoncer cet état de fait, le CNSC compte protester aux côtés des adhérents du Syndicat national autonomes des praticiens de l'administration publique (Snapap), en participant à leur rassemblement prévu le 2 mai prochain devant la direction de la Fonction publique. Cela dit, une réunion extraordinaire est prévue juste après ledit sit-in, et qui a pour but d'élargir la protestation à d'autres secteurs de la Fonction publique. «La grève de trois jours, renouvelable chaque semaine, sera élargie à d'autres secteurs, notamment, les wilayates, daïrates, services agricoles et ceux de la santé publique, affiliés au Snapap», a-t-il ajouté. Pour rappel, les revendications socioprofessionnelles des protestataires sus-cités sont inhérentes à l'ouverture des négociations portant sur le statut particulier de la corporation ainsi que sur le dossier du régime indemnitaire.