Le groupe BCR, entreprise nationale de production de boulonnerie, coutellerie et robinetterie, ambitionne d'atteindre, selon son Président-directeur général, M. Mohamed-El Hadi Louadfel, un taux annuel de croissance de 10%, à l'horizon 2014. Ce résultat est sous-tendu, a-t-il ajouté, par l'augmentation attendue du chiffre d'affaires, actuellement de l'ordre de 2,4 milliards de dinars, et qui devrait croître de 01 milliard de dinars au terme des 4 prochaines années. Un "nouveau plan stratégique de développement" visant à améliorer l'outil de production, vient d'être adressé aux instances concernées, a encore indiqué M. Louadfel, soulignant que BCR a réussi, durant trois décennies, à se faire un nom dans le paysage industriel national, en dépit des nombreuses contraintes, citant par ailleurs l'exemple de la contrefaçon. Celle-ci, souligne l'interlocuteur fait perdre à l'entreprise nationale environs 500 millions de DA annuellement. Ces faux produits BCR perturbent, un tant soit peu, le fonctionnement de l'entreprise. D'ailleurs, à cet effet, le premier responsable affirmera que cette somme représente «un budget très important et qui est en mesure de soulager l'entreprise d'une dette qui ne cesse de perturber son cycle de développement». Cette machine industrielle, qui fabrique annuellement, entre autres, 8.000 tonnes de boulonnerie et 1.600 tonnes de robinetterie, de quoi équiper 100.000 logements, en plus de la réalisation de 28 millions de pièces au moyen d'un seul poste, semble se tourner vers le partenariat. M. Louadfel a indiqué à ce propos que des discussions étaient en cours avec ''un opérateur espagnol, présent dans une cinquantaine de pays, et qui désirerait s'allier au groupe''. Cette solution permettra à BCR d'atténuer les effets dévastateurs de la contrefaçon et offrira au groupe l'opportunité de passer à la phase de développement du design de ses produits tout en préservant leur qualité, a assuré le P-DG. S'agissant du marché de la sous-traitance, les secteurs de la charpente métallique, du chemin de fer, du logement, et des structures de l'armée et des hôpitaux lui offrent une bouffée d'oxygène, mais les besoins en argent frais de l'entreprise sont estimés à quelque 985 millions de dinars, sans compter sa dette évaluée à 3 milliards de dinars. Les responsables de BCR souhaitent aujourd'hui une ''décision politique'' des pouvoirs publics, à même de ''sauver définitivement'' leur entreprise de l'asphyxie financière. Dans ce contexte, M. Louadfel a indiqué que le plan de développement 2010-2014 devrait être validé par l'Etat après examen par le Conseil des participations de l'Etat (CPE) du dossier de relance présenté par la BCR, celle-ci sollicitant notamment des taux préférentiels pour son programme d'investissement. Cette solution permettra à BCR d'atténuer les effets dévastateurs de la contrefaçon et offrira au groupe l'opportunité de passer à la phase de développement du design de ses produits tout en préservant leur qualité, a encore assuré le P-DG. En attendant une ''solution heureuse'' au problème financier. M. Louadfel assure que le groupe a toutes les capacités pour répondre aux besoins du marché national et de l'exportation. Des capacités qui sont le produit du savoir-faire d'Algériens qui ont su faire front face à une multitude de contraintes. Le groupe BCR, entreprise nationale de production de boulonnerie, coutellerie et robinetterie, ambitionne d'atteindre, selon son Président-directeur général, M. Mohamed-El Hadi Louadfel, un taux annuel de croissance de 10%, à l'horizon 2014. Ce résultat est sous-tendu, a-t-il ajouté, par l'augmentation attendue du chiffre d'affaires, actuellement de l'ordre de 2,4 milliards de dinars, et qui devrait croître de 01 milliard de dinars au terme des 4 prochaines années. Un "nouveau plan stratégique de développement" visant à améliorer l'outil de production, vient d'être adressé aux instances concernées, a encore indiqué M. Louadfel, soulignant que BCR a réussi, durant trois décennies, à se faire un nom dans le paysage industriel national, en dépit des nombreuses contraintes, citant par ailleurs l'exemple de la contrefaçon. Celle-ci, souligne l'interlocuteur fait perdre à l'entreprise nationale environs 500 millions de DA annuellement. Ces faux produits BCR perturbent, un tant soit peu, le fonctionnement de l'entreprise. D'ailleurs, à cet effet, le premier responsable affirmera que cette somme représente «un budget très important et qui est en mesure de soulager l'entreprise d'une dette qui ne cesse de perturber son cycle de développement». Cette machine industrielle, qui fabrique annuellement, entre autres, 8.000 tonnes de boulonnerie et 1.600 tonnes de robinetterie, de quoi équiper 100.000 logements, en plus de la réalisation de 28 millions de pièces au moyen d'un seul poste, semble se tourner vers le partenariat. M. Louadfel a indiqué à ce propos que des discussions étaient en cours avec ''un opérateur espagnol, présent dans une cinquantaine de pays, et qui désirerait s'allier au groupe''. Cette solution permettra à BCR d'atténuer les effets dévastateurs de la contrefaçon et offrira au groupe l'opportunité de passer à la phase de développement du design de ses produits tout en préservant leur qualité, a assuré le P-DG. S'agissant du marché de la sous-traitance, les secteurs de la charpente métallique, du chemin de fer, du logement, et des structures de l'armée et des hôpitaux lui offrent une bouffée d'oxygène, mais les besoins en argent frais de l'entreprise sont estimés à quelque 985 millions de dinars, sans compter sa dette évaluée à 3 milliards de dinars. Les responsables de BCR souhaitent aujourd'hui une ''décision politique'' des pouvoirs publics, à même de ''sauver définitivement'' leur entreprise de l'asphyxie financière. Dans ce contexte, M. Louadfel a indiqué que le plan de développement 2010-2014 devrait être validé par l'Etat après examen par le Conseil des participations de l'Etat (CPE) du dossier de relance présenté par la BCR, celle-ci sollicitant notamment des taux préférentiels pour son programme d'investissement. Cette solution permettra à BCR d'atténuer les effets dévastateurs de la contrefaçon et offrira au groupe l'opportunité de passer à la phase de développement du design de ses produits tout en préservant leur qualité, a encore assuré le P-DG. En attendant une ''solution heureuse'' au problème financier. M. Louadfel assure que le groupe a toutes les capacités pour répondre aux besoins du marché national et de l'exportation. Des capacités qui sont le produit du savoir-faire d'Algériens qui ont su faire front face à une multitude de contraintes.