La principale motivation de cette action demeure la «demande de départ du doyen actuel de la faculté de médecine» qui a été nommé à ce poste par la tutelle, chose que les contestataires refusent, car ils auraient préféré que cela se fasse par le truchement d'une élection interne. La principale motivation de cette action demeure la «demande de départ du doyen actuel de la faculté de médecine» qui a été nommé à ce poste par la tutelle, chose que les contestataires refusent, car ils auraient préféré que cela se fasse par le truchement d'une élection interne. Depuis hier, les hospitalo-universitaires à Constantine sont en grève illimitée. Ce mouvement de débrayage ouvert a été décidé, il y a quelques jours, à l'issue d'une assemblée tenue par les syndicats des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et des maîtres assistants (SNMAS). La principale motivation de cette action demeure la «demande de départ du doyen actuel de la faculté de médecine» qui a été nommé à ce poste par la tutelle, chose que les contestataires refusent, car ils auraient préféré que cela se fasse par le truchement d'une élection interne. Les turbulences qui ont ponctué le cursus médical depuis octobre 2009, date de cette nomination, n'avaient pas réellement perturbé les étudiants puisqu'elles se sont traduites par, seulement, une guerre de communiqués. Aujourd'hui, la donne pourrait changer, puisque la contestation portera sur les évaluations, les corrections et les délibérations concernant tous les paliers des sciences médicales, à savoir la pharmacie, la chirurgie dentaire et la médecine. Aussi, il est question du «boycott des instances scientifiques et pédagogiques, dont le comité d'organisation du concours de résidanat» informe-t-on. A la lumière de ces actions, les étudiants seront les premiers à faire les frais d'un conflit qui oppose le corps enseignant à l'administration. D'ailleurs, la majorité d'entre eux a émis de fortes inquiétudes quant à «l'issue de leur année universitaire». Pour sa part, la formation estudiantine, Ugel a exprimé son opposition à cette grève, lors de l'organisation de la 6e journée médicale, jeudi dernier, sur le campus de la faculté de médecine. L'Union des étudiants libres s'est rangée du côté de l'administration, refusant de subir «un mouvement qui pénaliserait les étudiants par les retards qu'il pourrait engendrer». Depuis hier, les hospitalo-universitaires à Constantine sont en grève illimitée. Ce mouvement de débrayage ouvert a été décidé, il y a quelques jours, à l'issue d'une assemblée tenue par les syndicats des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et des maîtres assistants (SNMAS). La principale motivation de cette action demeure la «demande de départ du doyen actuel de la faculté de médecine» qui a été nommé à ce poste par la tutelle, chose que les contestataires refusent, car ils auraient préféré que cela se fasse par le truchement d'une élection interne. Les turbulences qui ont ponctué le cursus médical depuis octobre 2009, date de cette nomination, n'avaient pas réellement perturbé les étudiants puisqu'elles se sont traduites par, seulement, une guerre de communiqués. Aujourd'hui, la donne pourrait changer, puisque la contestation portera sur les évaluations, les corrections et les délibérations concernant tous les paliers des sciences médicales, à savoir la pharmacie, la chirurgie dentaire et la médecine. Aussi, il est question du «boycott des instances scientifiques et pédagogiques, dont le comité d'organisation du concours de résidanat» informe-t-on. A la lumière de ces actions, les étudiants seront les premiers à faire les frais d'un conflit qui oppose le corps enseignant à l'administration. D'ailleurs, la majorité d'entre eux a émis de fortes inquiétudes quant à «l'issue de leur année universitaire». Pour sa part, la formation estudiantine, Ugel a exprimé son opposition à cette grève, lors de l'organisation de la 6e journée médicale, jeudi dernier, sur le campus de la faculté de médecine. L'Union des étudiants libres s'est rangée du côté de l'administration, refusant de subir «un mouvement qui pénaliserait les étudiants par les retards qu'il pourrait engendrer».