Les syndicats des professeurs et docents (Snpdsm) et des maîtres assistants (Snmasn) de la faculté de médecine ont décidé, cette semaine, de surseoir à leur mouvement de grève illimité, déclenché le 8 du mois en cours. Selon un document sanctionnant une assemblée générale, et rendu public par les concernés, cette décision est motivée par l'amorce du dialogue entamé avec le ministère de tutelle. En effet, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a, en définitive, envoyé un émissaire dont la tâche est de décanter une situation conflictuelle qui dure depuis octobre 2009. Une date qui coïncide avec la nomination du nouveau doyen de la faculté de médecine par la tutelle. Cette désignation qui ne fera pas consensus au sein des hospitalo-universitaires, deviendra la pierre d'achoppement d'un conflit qui va crescendo. Les protestataires enchaîneront plusieurs actions pour provoquer le départ du doyen. Entre sit-in et mouvements de débrayage périodique, la plus importante manifestation demeure celle de la grève illimité, déclenché en cette fin d'année. Les deux syndicats ont annoncé le boycott des examens, des délibérations et de toute activité pédagogique et scientifique. L'administration, de son côté, a tenté de forcer les choses en organsinant des examens surveillé par des agents du personnel. Ce qui a provoqué une levée de bouclier de la part des syndicats et des organisations estudiantines, l'Unea et l'Ugel. Cette situation de pourrissement dont les premières victimes ne sont autres que les étudiants, a finalement été éludé avec la tenue, d'une série de réunions marathoniennes avec l'émissaire du ministère, le wali, le recteur de l'université Mentouri, le président du conseil d'éthique, entre autres. Les discussions ont abouti, selon le document, à un retour à la raison après l'obtention de certaines garanties, d'autant que «la tutelle a pris acte de leurs revendications». Les syndicats des professeurs et docents (Snpdsm) et des maîtres assistants (Snmasn) de la faculté de médecine ont décidé, cette semaine, de surseoir à leur mouvement de grève illimité, déclenché le 8 du mois en cours. Selon un document sanctionnant une assemblée générale, et rendu public par les concernés, cette décision est motivée par l'amorce du dialogue entamé avec le ministère de tutelle. En effet, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a, en définitive, envoyé un émissaire dont la tâche est de décanter une situation conflictuelle qui dure depuis octobre 2009. Une date qui coïncide avec la nomination du nouveau doyen de la faculté de médecine par la tutelle. Cette désignation qui ne fera pas consensus au sein des hospitalo-universitaires, deviendra la pierre d'achoppement d'un conflit qui va crescendo. Les protestataires enchaîneront plusieurs actions pour provoquer le départ du doyen. Entre sit-in et mouvements de débrayage périodique, la plus importante manifestation demeure celle de la grève illimité, déclenché en cette fin d'année. Les deux syndicats ont annoncé le boycott des examens, des délibérations et de toute activité pédagogique et scientifique. L'administration, de son côté, a tenté de forcer les choses en organsinant des examens surveillé par des agents du personnel. Ce qui a provoqué une levée de bouclier de la part des syndicats et des organisations estudiantines, l'Unea et l'Ugel. Cette situation de pourrissement dont les premières victimes ne sont autres que les étudiants, a finalement été éludé avec la tenue, d'une série de réunions marathoniennes avec l'émissaire du ministère, le wali, le recteur de l'université Mentouri, le président du conseil d'éthique, entre autres. Les discussions ont abouti, selon le document, à un retour à la raison après l'obtention de certaines garanties, d'autant que «la tutelle a pris acte de leurs revendications».