Les étudiants empruntant le transport universitaire (Cous) vers la faculté de Bouzareah vivent au quotidien un véritable calvaire. La cause de leurs tourments étant dû, principalement, au fait que les arrêts, qui leur ont été réservés, se trouvent situés très loin de leur université, ce qui pose un réel problème de sécurité. Il ne faut pas omettre en effet de préciser que les étudiants ont souvent des cours à suivre jusqu'à 18h. En hiver la situation se complique un peu plus pour eux, vu la tombée de la nuit relativement tôt, ce qui les oblige à redoubler de vigilance et surtout ne pas se disperser pour éviter toute mauvaise surprise. Cette situation a vu le jour, en fait, depuis que la décission a été prise de faire déplacer ces arrêts à l'extérieur de l'enceinte de l'université. La nouvelle station se trouve, actuellement, située à plus de deux cents mètres en contre-bas de l'université en se rendant vers la route principale. Ce nouvel emplacement a ainsi engendré des tas de désagréments aux étudiants, qui sont ainsi contraints d'emprunter la "piste" entre la faculté et les nouveaux arrêts, avec toujours l'appréhension de se faire agresser à tout moment. Il faut préciser que la sécurité s'arrête au moment même où les étudiants, particulièrement les étudiantes, qui sont bien plus vulnérables, franchissent le portail de l'université, laissant derrière eux les agents de sécurité, qui n'ont pas pour attribution de les chaperonner jusqu'aux arrêts du Cous. Cette semaine pour rappel, une étudiante a été agressée et blessée à l'arme blanche avant d'être délestée de son téléphone portable. Ce qu'il faut également préciser, c'est que les arrêts de bus se trouvaient, avant leur délocalisation, situées dans l'enceinte même de l'université, ce qui arrangeait grandement les étudiants. Cette délocalisation est, aujourd'hui, dénoncée par l'ensemble des étudiants qui interpellent leur administration qui doit, selon eux, prendre en considération l'insécurité régnant aux alentours de l'université. Les étudiants empruntant le transport universitaire (Cous) vers la faculté de Bouzareah vivent au quotidien un véritable calvaire. La cause de leurs tourments étant dû, principalement, au fait que les arrêts, qui leur ont été réservés, se trouvent situés très loin de leur université, ce qui pose un réel problème de sécurité. Il ne faut pas omettre en effet de préciser que les étudiants ont souvent des cours à suivre jusqu'à 18h. En hiver la situation se complique un peu plus pour eux, vu la tombée de la nuit relativement tôt, ce qui les oblige à redoubler de vigilance et surtout ne pas se disperser pour éviter toute mauvaise surprise. Cette situation a vu le jour, en fait, depuis que la décission a été prise de faire déplacer ces arrêts à l'extérieur de l'enceinte de l'université. La nouvelle station se trouve, actuellement, située à plus de deux cents mètres en contre-bas de l'université en se rendant vers la route principale. Ce nouvel emplacement a ainsi engendré des tas de désagréments aux étudiants, qui sont ainsi contraints d'emprunter la "piste" entre la faculté et les nouveaux arrêts, avec toujours l'appréhension de se faire agresser à tout moment. Il faut préciser que la sécurité s'arrête au moment même où les étudiants, particulièrement les étudiantes, qui sont bien plus vulnérables, franchissent le portail de l'université, laissant derrière eux les agents de sécurité, qui n'ont pas pour attribution de les chaperonner jusqu'aux arrêts du Cous. Cette semaine pour rappel, une étudiante a été agressée et blessée à l'arme blanche avant d'être délestée de son téléphone portable. Ce qu'il faut également préciser, c'est que les arrêts de bus se trouvaient, avant leur délocalisation, situées dans l'enceinte même de l'université, ce qui arrangeait grandement les étudiants. Cette délocalisation est, aujourd'hui, dénoncée par l'ensemble des étudiants qui interpellent leur administration qui doit, selon eux, prendre en considération l'insécurité régnant aux alentours de l'université.