La restructuration du FLN, qui est en réalité une suite logique des travaux du 9e congrès national, est en phase d'application à Constantine. Les directives du secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, depuis qu'il a décroché un deuxième mandat à la tête du vieux parti, vont dans le sens du resserrement des rangs et le dépassement des dissensions. Des dissensions que même ledit congrès n'a pas réussi à aplanir et qui restent latentes au niveau des structures de base, à savoir les kasmas et les mouhafadha. D'où l'intérêt de les renouveler, voire les recadrer. Le passage de Belkhadem, en début du mois dans la wilaya d'Oum el Bouaghi en est la preuve. Lors de ce conclave régional exclusif aux mouhafeds, membres de leurs bureaux et aux cadres locaux du parti des dix-sept wilayas de l'Est, il dispensera des consignes strictes concernant l'application des règlements et les restructurations qui devront aller du début de juin à la fin d'octobre prochain. Les maitres-mots en sont la préservation du parti et de son unité pour affronter les échéances électorales de 2012. A Constantine, comme ailleurs, les instances du FLN sont en effervescence. La restructuration est une opération qui nécessite de la préparation et la mise en place d'un dispositif humain, notamment pour la supervision de l'opération de renouvellement qui s'effectuera au niveau des communes et daïras. Cette tâche est laissée aux émissaires du bureau central qui auront pour mission «la surveillance du bon déroulement des élections et d'en contrôler la régularité et la transparence» nous a-t-on précisé. Auparavant, ce sont les détails techniques qu'il a fallu gérer, dont les adhésions et autres. Mais le Front de libération à Constantine demeure sujet à beaucoup de frictions. Avant la tenue du congrès national, bon nombre de militants ont été écartés des élections de délégués, particulièrement l'élément féminin. A telle enseigne qu'une menace de démission féminine massive a été bel et bien brandie. Depuis, les choses se sont tassées, mais pas définitivement enterrées. Les nouvelles restructurations risquent, à l'occasion, de réveiller les vieux démons. N.D La restructuration du FLN, qui est en réalité une suite logique des travaux du 9e congrès national, est en phase d'application à Constantine. Les directives du secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, depuis qu'il a décroché un deuxième mandat à la tête du vieux parti, vont dans le sens du resserrement des rangs et le dépassement des dissensions. Des dissensions que même ledit congrès n'a pas réussi à aplanir et qui restent latentes au niveau des structures de base, à savoir les kasmas et les mouhafadha. D'où l'intérêt de les renouveler, voire les recadrer. Le passage de Belkhadem, en début du mois dans la wilaya d'Oum el Bouaghi en est la preuve. Lors de ce conclave régional exclusif aux mouhafeds, membres de leurs bureaux et aux cadres locaux du parti des dix-sept wilayas de l'Est, il dispensera des consignes strictes concernant l'application des règlements et les restructurations qui devront aller du début de juin à la fin d'octobre prochain. Les maitres-mots en sont la préservation du parti et de son unité pour affronter les échéances électorales de 2012. A Constantine, comme ailleurs, les instances du FLN sont en effervescence. La restructuration est une opération qui nécessite de la préparation et la mise en place d'un dispositif humain, notamment pour la supervision de l'opération de renouvellement qui s'effectuera au niveau des communes et daïras. Cette tâche est laissée aux émissaires du bureau central qui auront pour mission «la surveillance du bon déroulement des élections et d'en contrôler la régularité et la transparence» nous a-t-on précisé. Auparavant, ce sont les détails techniques qu'il a fallu gérer, dont les adhésions et autres. Mais le Front de libération à Constantine demeure sujet à beaucoup de frictions. Avant la tenue du congrès national, bon nombre de militants ont été écartés des élections de délégués, particulièrement l'élément féminin. A telle enseigne qu'une menace de démission féminine massive a été bel et bien brandie. Depuis, les choses se sont tassées, mais pas définitivement enterrées. Les nouvelles restructurations risquent, à l'occasion, de réveiller les vieux démons. N.D