L'autorité palestinienne, par la voix de son Premier ministre Salam Fayyad, réitère ses exigences, à savoir l'arrêt de la colonisation israélienne et la levée du blocus imposé par Israël à la bande de Ghaza. L'autorité palestinienne, par la voix de son Premier ministre Salam Fayyad, réitère ses exigences, à savoir l'arrêt de la colonisation israélienne et la levée du blocus imposé par Israël à la bande de Ghaza. Salam Fayyad a eu des entretiens d'une journée à El Qods avec Ehud Barak ministre israélien de la Défense concernant l'arrêt de la colonisation et les expulsions des Palestiniens ainsi que la levée du blocus sur Ghaza imposé depuis maintenant quatre ans.Cette rencontre avait été annoncée fin juin par le parti de Mahmoud Abbas. Parrallèlement, les Palestiniens ont appelé à une réunion urgente du comité de l'Initiative arabe de paix au niveau ministériel pour informer les ministres des résultats des négociations indirectes entre Palestiniens et Israéliens. Le négociateur en chef de l'Organisation de libération de la Palestine, M. Saeb Eurekat a indiqué, dans une conférence de presse tenue conjointement avec le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa, avoir demandé au nom du président de l'Autorité palestinienne, M. Mahmoud Abbas, la tenue d'une réunion urgente du comité de l'Intitiative arabe de paix pour examiner les démarches arabes et évaluer les résultats des négociations indirectes. Le responsable de l'organisation panarabe va entamer des contacts immédiatement pour convenir de la date de la réunion qui servira de prélude à la réunion des ministres des Affaires étrangères qui devrait se tenir en septembre prochain pour faire le point de la situation. Le même négociateur a même avancé qu'une décision arabe pourrait prendre forme et que la question palestinienne serait portée à l'ONU en cas d'absence de résultats . Il a ajouté qu'il "existait une approche arabo-palestinienne de paix mais l'approche israélienne reste inexistante. Des ministres européens ont appelé Israël à changer de politique pour conduire à un règlement durable de la situation à Ghaza. Le communiqué signé par la diplomatie italienne dans lequel s'associent les ministres français, britannique, espagnol des Affaires étrangères exhorte Israël à se mettre en conformité avec la résolution 1.860 du Conseil de sécurité de l'ONU. Cette résolution de 2009 appelle à un cessez-le-feu immédiat débouchant sur le retrait total des forces israéliennes de Ghaza. ". De plus, il y réclame "la libre distribution" de l'aide humanitaire. Trois de ces ministres européens, l'Espagnol, le Français et l'Italien, doivent se rendre courant juillet dans la bande de Gaza pour "vérifier comment se déroule le processus de levée du blocus", avait annoncé peu auparavant le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero. Les pressions internationales pour la levée ou l'allègement du blocus israélien de Ghaza s'étaient intensifiées après la mort, le 31 mai, de neuf Turcs tués au cours de l'arraisonnement par l'armée israélienne d'une flottille humanitaire qui tentait de forcer le blocus. Selon les propos du chef du gouvernement espagnol la population de Ghaza "a le droit de recevoir des aliments, des médicaments et de pouvoir reconstruire les nombreuses installations détruites" pendant l'opération militaire israélienne "plomb durci". Les discussions doivent notamment porter sur l'évolution des négociations indirectes israélo-palestiniennes et l'échéance, le 26 septembre, du gel provisoire et partiel de la construction dans les colonies juives. en décembre 2008 et janvier 2009. Au moment où l'opinion internationale s'agite, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu se rend à Washington pour y rencontrer Barack Obama et dégeler les relations qui ces derniers temps ont pris petit un coup de froid. Alors que Les Etats-Unis et Israël sont liés par un étroit accord de coopération stratégique, la poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie occupée a porté ombrage aux relations qu'entretiennent ces deux alliés. Lors de sa dernière visite à Washington, M. Netanyahu avait eu droit à un accueil glacial à la Maison Blanche après l'annonce par Israël de la construction de 1.600 logements dans un quartier de colonisation de Jérusalem-Est annexée. Il n'en demeure pas moins qu'Israël n'abandonnera pas ses visées expansionnistes rapportées par le ministre israélien de la Culture que les décisions de colonies juives étaient intangibles et qu'il n'est pas question pour Israël d'essayer, au prix de concessions, de convaincre les Palestiniens d'engager des négociations de paix directes. Wait and see. Salam Fayyad a eu des entretiens d'une journée à El Qods avec Ehud Barak ministre israélien de la Défense concernant l'arrêt de la colonisation et les expulsions des Palestiniens ainsi que la levée du blocus sur Ghaza imposé depuis maintenant quatre ans.Cette rencontre avait été annoncée fin juin par le parti de Mahmoud Abbas. Parrallèlement, les Palestiniens ont appelé à une réunion urgente du comité de l'Initiative arabe de paix au niveau ministériel pour informer les ministres des résultats des négociations indirectes entre Palestiniens et Israéliens. Le négociateur en chef de l'Organisation de libération de la Palestine, M. Saeb Eurekat a indiqué, dans une conférence de presse tenue conjointement avec le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa, avoir demandé au nom du président de l'Autorité palestinienne, M. Mahmoud Abbas, la tenue d'une réunion urgente du comité de l'Intitiative arabe de paix pour examiner les démarches arabes et évaluer les résultats des négociations indirectes. Le responsable de l'organisation panarabe va entamer des contacts immédiatement pour convenir de la date de la réunion qui servira de prélude à la réunion des ministres des Affaires étrangères qui devrait se tenir en septembre prochain pour faire le point de la situation. Le même négociateur a même avancé qu'une décision arabe pourrait prendre forme et que la question palestinienne serait portée à l'ONU en cas d'absence de résultats . Il a ajouté qu'il "existait une approche arabo-palestinienne de paix mais l'approche israélienne reste inexistante. Des ministres européens ont appelé Israël à changer de politique pour conduire à un règlement durable de la situation à Ghaza. Le communiqué signé par la diplomatie italienne dans lequel s'associent les ministres français, britannique, espagnol des Affaires étrangères exhorte Israël à se mettre en conformité avec la résolution 1.860 du Conseil de sécurité de l'ONU. Cette résolution de 2009 appelle à un cessez-le-feu immédiat débouchant sur le retrait total des forces israéliennes de Ghaza. ". De plus, il y réclame "la libre distribution" de l'aide humanitaire. Trois de ces ministres européens, l'Espagnol, le Français et l'Italien, doivent se rendre courant juillet dans la bande de Gaza pour "vérifier comment se déroule le processus de levée du blocus", avait annoncé peu auparavant le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero. Les pressions internationales pour la levée ou l'allègement du blocus israélien de Ghaza s'étaient intensifiées après la mort, le 31 mai, de neuf Turcs tués au cours de l'arraisonnement par l'armée israélienne d'une flottille humanitaire qui tentait de forcer le blocus. Selon les propos du chef du gouvernement espagnol la population de Ghaza "a le droit de recevoir des aliments, des médicaments et de pouvoir reconstruire les nombreuses installations détruites" pendant l'opération militaire israélienne "plomb durci". Les discussions doivent notamment porter sur l'évolution des négociations indirectes israélo-palestiniennes et l'échéance, le 26 septembre, du gel provisoire et partiel de la construction dans les colonies juives. en décembre 2008 et janvier 2009. Au moment où l'opinion internationale s'agite, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu se rend à Washington pour y rencontrer Barack Obama et dégeler les relations qui ces derniers temps ont pris petit un coup de froid. Alors que Les Etats-Unis et Israël sont liés par un étroit accord de coopération stratégique, la poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie occupée a porté ombrage aux relations qu'entretiennent ces deux alliés. Lors de sa dernière visite à Washington, M. Netanyahu avait eu droit à un accueil glacial à la Maison Blanche après l'annonce par Israël de la construction de 1.600 logements dans un quartier de colonisation de Jérusalem-Est annexée. Il n'en demeure pas moins qu'Israël n'abandonnera pas ses visées expansionnistes rapportées par le ministre israélien de la Culture que les décisions de colonies juives étaient intangibles et qu'il n'est pas question pour Israël d'essayer, au prix de concessions, de convaincre les Palestiniens d'engager des négociations de paix directes. Wait and see.