Le groupe industriel allemand Siemens a annoncé, hier, vouloir investir 200 millions d'euros en deux ans en Afrique, notamment dans les énergies renouvelables et la santé. «Des possibilités de croissance innombrables s'ouvrent pour Siemens en Afrique», a déclaré le patron du groupe Peter Löscher, cité dans un communiqué. «Nous sommes l'un des leaders mondiaux à la fois dans les technologies de l'énergie et sur le marché de l'eau», a-t-il dit à Johannesburg à l'occasion du 150e anniversaire de la présence de Siemens en Afrique du Sud. Siemens, fabricant d'éoliennes comme de matériel médical de pointe, table aussi sur le développement de partenariats public-privé dans le secteur hospitalier en Afrique, ainsi que sur un boom des énergies renouvelables dans le continent. Le groupe allemand a décroché l'an dernier pour 1 milliard d'euros de contrats en Afrique et veut tripler cette somme d'ici à 2012. En janvier, Siemens avait indiqué vouloir réaliser des investissements d'un montant à peu près équivalent (250 millions d'euros sur deux ans) en Inde. R. E. Le groupe industriel allemand Siemens a annoncé, hier, vouloir investir 200 millions d'euros en deux ans en Afrique, notamment dans les énergies renouvelables et la santé. «Des possibilités de croissance innombrables s'ouvrent pour Siemens en Afrique», a déclaré le patron du groupe Peter Löscher, cité dans un communiqué. «Nous sommes l'un des leaders mondiaux à la fois dans les technologies de l'énergie et sur le marché de l'eau», a-t-il dit à Johannesburg à l'occasion du 150e anniversaire de la présence de Siemens en Afrique du Sud. Siemens, fabricant d'éoliennes comme de matériel médical de pointe, table aussi sur le développement de partenariats public-privé dans le secteur hospitalier en Afrique, ainsi que sur un boom des énergies renouvelables dans le continent. Le groupe allemand a décroché l'an dernier pour 1 milliard d'euros de contrats en Afrique et veut tripler cette somme d'ici à 2012. En janvier, Siemens avait indiqué vouloir réaliser des investissements d'un montant à peu près équivalent (250 millions d'euros sur deux ans) en Inde. R. E.