A la veille des élections entrant dans le cadre du renouvellement des structures de l'APN, qui auront lieu aujourd'hui, le malaise était nettement perceptible hier et tout au long de ces derniers jours au sein du groupe parlementaire du FLN. A la veille des élections entrant dans le cadre du renouvellement des structures de l'APN, qui auront lieu aujourd'hui, le malaise était nettement perceptible hier et tout au long de ces derniers jours au sein du groupe parlementaire du FLN. La majorité des députés du vieux parti rumine sa colère et n'arrive pas à comprendre l'attitude des membres du bureau politique qui se sont tous portés candidats pour briguer les trois postes de vice- présidents de l'Assemblée populaire nationale ou les quatre postes pour la présidence des quatre commissions permanentes. Certains députés n'ont pas en effet caché leur colère, ce d'autant que le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem, a cautionné ces candidatures. Lors de la réunion avec l'ensemble des députés et sénateurs, qu'il a tenu hier au siège du parti à Hydra, Abdelaziz Belkhadem, a tenté de justifier sa position. «Vous êtes tous des députés, y compris donc les membres du bureau politique, et en tant que tels vous avez entièrement le droit de présenter vos candidatures aux postes de responsabilité» a indiqué Belkhadem ajoutant que «personne ne peut empêcher un député d'être candidat». Au sortir de la réunion un député, s'exprimant sous le sceau de l'anonymat, dira que «normalement les membres du bureau politique ont déjà fort à faire avec les missions qui leur sont confiées au niveau du parti et ne peuvent s'encombrer davantage avec les charges au niveau de l'APN». Un autre député, fort remonté contre l'attitude du secrétaire général, dira que «l'année passée et même les années d'avant les membres de la direction politique n'étaient pas autorisés à présenter leur candidature aux postes de responsabilité de l'APN. Il est vrai, pour rappel, que l'année dernière les membres du secrétariat exécutif qui ambitionnaient de briguer certains postes, n'ont pas eu l'aval de Belkhadem». Pour ces élections il y a un nombre record de candidatures. En effet, pas moins de 89 candidats sur les 169 députés que compte le parti dans la Chambre basse vont postuler pour les 15 postes qui reviennent de droit au FLN. Ainsi 33 candidats lorgnent sur les 3 postes de vice-présidents, 23 autres candidats ambitionnent d'avoir la présidence de quatre commissions permanentes alors que les 33 derniers candidats vont se disputer les 8 postes de vice-présidents de commissions ou de rapporteurs de commissions ; à l'exception de Layachi Daadoua, dont on dit qu'il sera certainement reconduit dans son poste de chef du groupe parlementaire, tous les autres membres du bureau politique, qui sont au nombre de quatre, sont candidats. C'est le cas de Habiba Bahloul, qui est en quête d'une prolongation de son bail à la vice- presidence de l'Assemblée, de Mohamed Alioui, qui assumait jusque-là la présidence de la commission de la défense nationale et qui veut être vice-président de l'APN, de Abdelhamid Si Affif qui cherche à garder la présidence de la commission des affaires étrangères ou de Abdelkader M'chebbak, qui s'est porté candidat à un poste de vice-président de l'Assemblée. Belkhadem dira à l'adresse des députés que «la compétition doit être saine et il n'est pas question que vous portiez atteinte les uns aux autres, ce d'autant que le mandat ne dure qu'une année». Il faut dire que lors de la campagne électorale tous les coups étaient permis pour discréditer le concurrent. D'où les propos de Belkhadem qui est également revenu sur le thème central des travaux de l'université d'été, à savoir le plan quinquennal 2010 2014 qui sera débattu durant trois jours. La majorité des députés du vieux parti rumine sa colère et n'arrive pas à comprendre l'attitude des membres du bureau politique qui se sont tous portés candidats pour briguer les trois postes de vice- présidents de l'Assemblée populaire nationale ou les quatre postes pour la présidence des quatre commissions permanentes. Certains députés n'ont pas en effet caché leur colère, ce d'autant que le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem, a cautionné ces candidatures. Lors de la réunion avec l'ensemble des députés et sénateurs, qu'il a tenu hier au siège du parti à Hydra, Abdelaziz Belkhadem, a tenté de justifier sa position. «Vous êtes tous des députés, y compris donc les membres du bureau politique, et en tant que tels vous avez entièrement le droit de présenter vos candidatures aux postes de responsabilité» a indiqué Belkhadem ajoutant que «personne ne peut empêcher un député d'être candidat». Au sortir de la réunion un député, s'exprimant sous le sceau de l'anonymat, dira que «normalement les membres du bureau politique ont déjà fort à faire avec les missions qui leur sont confiées au niveau du parti et ne peuvent s'encombrer davantage avec les charges au niveau de l'APN». Un autre député, fort remonté contre l'attitude du secrétaire général, dira que «l'année passée et même les années d'avant les membres de la direction politique n'étaient pas autorisés à présenter leur candidature aux postes de responsabilité de l'APN. Il est vrai, pour rappel, que l'année dernière les membres du secrétariat exécutif qui ambitionnaient de briguer certains postes, n'ont pas eu l'aval de Belkhadem». Pour ces élections il y a un nombre record de candidatures. En effet, pas moins de 89 candidats sur les 169 députés que compte le parti dans la Chambre basse vont postuler pour les 15 postes qui reviennent de droit au FLN. Ainsi 33 candidats lorgnent sur les 3 postes de vice-présidents, 23 autres candidats ambitionnent d'avoir la présidence de quatre commissions permanentes alors que les 33 derniers candidats vont se disputer les 8 postes de vice-présidents de commissions ou de rapporteurs de commissions ; à l'exception de Layachi Daadoua, dont on dit qu'il sera certainement reconduit dans son poste de chef du groupe parlementaire, tous les autres membres du bureau politique, qui sont au nombre de quatre, sont candidats. C'est le cas de Habiba Bahloul, qui est en quête d'une prolongation de son bail à la vice- presidence de l'Assemblée, de Mohamed Alioui, qui assumait jusque-là la présidence de la commission de la défense nationale et qui veut être vice-président de l'APN, de Abdelhamid Si Affif qui cherche à garder la présidence de la commission des affaires étrangères ou de Abdelkader M'chebbak, qui s'est porté candidat à un poste de vice-président de l'Assemblée. Belkhadem dira à l'adresse des députés que «la compétition doit être saine et il n'est pas question que vous portiez atteinte les uns aux autres, ce d'autant que le mandat ne dure qu'une année». Il faut dire que lors de la campagne électorale tous les coups étaient permis pour discréditer le concurrent. D'où les propos de Belkhadem qui est également revenu sur le thème central des travaux de l'université d'été, à savoir le plan quinquennal 2010 2014 qui sera débattu durant trois jours.