Les élections pour le renouvellement des structures de l'APN ont bel et bien réservé des surprises au sein du parti FLN. Et même de grosses surprises. En effet, des membres de la plus haute instance exécutive, le bureau politique en l'occurrence du parti, n'ont pu passer avec succès l'épreuve des urnes. Les élections qui ont eu lieu jeudi dernier à l'Assemblée populaire nationale ont été fatales pour trois membres du bureau politique. Abdelhamid Si Affif, Mohamed Alioui et Habiba Bahloul ont ainsi été désavoués par leurs pairs qui ont préféré accorder leurs faveurs à d'autres députés. Des quatre députés membres du bureau politique qui ont brigué un poste dans les structures de l'APN seul, au bout du compte, Abdelkader M'chebak, qui va représenter la région du centre du pays, a eu les faveurs de l'urne. Ce dernier devra ainsi siéger au bureau de l'APN puisqu' il a été élu à un poste de vice-président. Deux autres députés vont, eux aussi, rejoindre le bureau de l'assemblée pour la même fonction puisque, de par le nombre important de députés qui le représente à l'APN, le FLN dispose de droit de trois postes de vice-président sur les 9 que compte le bureau. Messaoud Chihoub, de la région est du pays, a pu finalement prendre sa revanche sur Mme Habiba Bahloul qui l'a battu de justesse l'année dernière. Cette dernière, qui est membre du bureau politique et qui a été durant une année vice-présidente de l'APN, devra donc quitter son poste. Pour le troisième poste de vice-président de l'APN, c'est Azzedine Boutaleb, de la région ouest du pays, qui a eu les faveurs de la majorité des suffrages. En plus de Mohamed Alioui et Mme Habiba Bahloul, tous deux membres du bureau politique, d'autres poids lourds, à l'exemple de l'ex-ministre Mohamed Seghir Kara, qui a déjà occupé par le passé un siège au bureau de l'APN, ont échoué à obtenir la confiance de leurs collègues députés. Et c'est cette même épreuve de l'urne qui a été fatidique aussi pour un autre membre du bureau politique, en l'occurrence Abdelahamid Si Affif. Si Affif n'a pu donc réaliser son ambition de demeurer à la présidence de la Commission des affaires étrangères et devra donc céder son poste à Bentabet Reguieg qui l'a distancé d'une courte tête et qui représentera donc la région ouest. Ce camouflet subi par trois membres du bureau politique, qui risque fort bien d'avoir des incidences négatives sur leur crédibilité au sein des cadres et militants du parti, est on ne peut plus révélateur quant à la popularité de ces dirigeants au sein des élus du peuple. La majorité des députés du FLN, comme nous l'écrivions dans notre précédente édition, à vu d'un mauvais œil la candidature des membres du bureau politique aux postes de responsabilité des structures de l'APN. Ils n'ont pas apprécié la caution apportée par le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui a déclaré mercredi dernier, lors d'une réunion avec le groupe parlementaire consacrée justement à la question du renouvellement des structures de l'APN, qu'«un membre du bureau politique, qui est député, a le droit d'être candidat et personne ne peut l'en empêcher». De tous les députés membres du bureau politique, seul Layachi Daadoua, qui assume la fonction de chef du groupe parlementaire du parti à l'APN, s'est abstenu de présenter sa candidature. En vérité, ce n'est pas par manque d'ambition que Daadoua est resté loin de cette bagarre électorale, mais tout simplement parce que il a eu l'assurance de Abdelaziz Belkhadem qu'il allait être reconduit, pour la énième fois, à la tête du groupe parlementaire. Pour les trois autres commissions, dont la présidence revient automatiquement au FLN, l'on note que Hocine Khaldoun a été élu à la présidence de la commission des affaires juridiques, Mohamed Yerfaa à celle de la commission de la défense nationale alors que Mohamed Kenai a sauvegardé son poste de président de la commission des finances. Rappelons que le FLN dispose de 15 postes dans les structures de l'APN et c'est ainsi qu'en plus des trois postes de vice-président de l'APN, de la présidence de quatre commissions, le parti a aussi huit autres postes de rapporteur et de vice-président de commission. Les élections pour le renouvellement des structures de l'APN ont bel et bien réservé des surprises au sein du parti FLN. Et même de grosses surprises. En effet, des membres de la plus haute instance exécutive, le bureau politique en l'occurrence du parti, n'ont pu passer avec succès l'épreuve des urnes. Les élections qui ont eu lieu jeudi dernier à l'Assemblée populaire nationale ont été fatales pour trois membres du bureau politique. Abdelhamid Si Affif, Mohamed Alioui et Habiba Bahloul ont ainsi été désavoués par leurs pairs qui ont préféré accorder leurs faveurs à d'autres députés. Des quatre députés membres du bureau politique qui ont brigué un poste dans les structures de l'APN seul, au bout du compte, Abdelkader M'chebak, qui va représenter la région du centre du pays, a eu les faveurs de l'urne. Ce dernier devra ainsi siéger au bureau de l'APN puisqu' il a été élu à un poste de vice-président. Deux autres députés vont, eux aussi, rejoindre le bureau de l'assemblée pour la même fonction puisque, de par le nombre important de députés qui le représente à l'APN, le FLN dispose de droit de trois postes de vice-président sur les 9 que compte le bureau. Messaoud Chihoub, de la région est du pays, a pu finalement prendre sa revanche sur Mme Habiba Bahloul qui l'a battu de justesse l'année dernière. Cette dernière, qui est membre du bureau politique et qui a été durant une année vice-présidente de l'APN, devra donc quitter son poste. Pour le troisième poste de vice-président de l'APN, c'est Azzedine Boutaleb, de la région ouest du pays, qui a eu les faveurs de la majorité des suffrages. En plus de Mohamed Alioui et Mme Habiba Bahloul, tous deux membres du bureau politique, d'autres poids lourds, à l'exemple de l'ex-ministre Mohamed Seghir Kara, qui a déjà occupé par le passé un siège au bureau de l'APN, ont échoué à obtenir la confiance de leurs collègues députés. Et c'est cette même épreuve de l'urne qui a été fatidique aussi pour un autre membre du bureau politique, en l'occurrence Abdelahamid Si Affif. Si Affif n'a pu donc réaliser son ambition de demeurer à la présidence de la Commission des affaires étrangères et devra donc céder son poste à Bentabet Reguieg qui l'a distancé d'une courte tête et qui représentera donc la région ouest. Ce camouflet subi par trois membres du bureau politique, qui risque fort bien d'avoir des incidences négatives sur leur crédibilité au sein des cadres et militants du parti, est on ne peut plus révélateur quant à la popularité de ces dirigeants au sein des élus du peuple. La majorité des députés du FLN, comme nous l'écrivions dans notre précédente édition, à vu d'un mauvais œil la candidature des membres du bureau politique aux postes de responsabilité des structures de l'APN. Ils n'ont pas apprécié la caution apportée par le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui a déclaré mercredi dernier, lors d'une réunion avec le groupe parlementaire consacrée justement à la question du renouvellement des structures de l'APN, qu'«un membre du bureau politique, qui est député, a le droit d'être candidat et personne ne peut l'en empêcher». De tous les députés membres du bureau politique, seul Layachi Daadoua, qui assume la fonction de chef du groupe parlementaire du parti à l'APN, s'est abstenu de présenter sa candidature. En vérité, ce n'est pas par manque d'ambition que Daadoua est resté loin de cette bagarre électorale, mais tout simplement parce que il a eu l'assurance de Abdelaziz Belkhadem qu'il allait être reconduit, pour la énième fois, à la tête du groupe parlementaire. Pour les trois autres commissions, dont la présidence revient automatiquement au FLN, l'on note que Hocine Khaldoun a été élu à la présidence de la commission des affaires juridiques, Mohamed Yerfaa à celle de la commission de la défense nationale alors que Mohamed Kenai a sauvegardé son poste de président de la commission des finances. Rappelons que le FLN dispose de 15 postes dans les structures de l'APN et c'est ainsi qu'en plus des trois postes de vice-président de l'APN, de la présidence de quatre commissions, le parti a aussi huit autres postes de rapporteur et de vice-président de commission.