Par crainte de la rupture de la chaîne du froid, les coupures de courant étant fréquentes en été dans ces localités, les ménages de la localité de Baraki et de sa périphérie boudent ostensiblement les importantes quantités de poulets congelés proposés au niveau des espaces couverts et au niveau des points de vente de l'Office national des aliments de bétail, l' Onab. Selon les responsables de cet organisme, lequel s'est occupé durant ces dernières semaines de la réorganisation du marché de volailles, un seuil des prix sera respecté, à savoir 250 DA/ kg et qui peut "même être une référence" de l'avis de M. Boukersi, cadre au sein de l'Onab. M. Boukersi se dit en outre très préoccupé par la flambée subite du prix des viandes blanches ayant pris de court les consommateurs. Il est vrai, nous dira notre interlocuteur, qu'avec "vingt mille tonnes par an de production de viande blanche, on ne peut satisfaire la demande des consommateurs, lesquels au niveau des centres urbains et vu la cherté de la dinde se rabattent sur le poulet congelé". Cependant, les citoyens de Sidi Moussa et de Baraki, font exception à cette règle et préfèrent, quant à eux, acheter des poulets vifs au niveau des marchés de proximité en nette prolifération ces dernières années, ou mieux sur les champs de Raïs et auprès des fermes où les aviculteurs s'estiment satisfaits, cette saison, de la nette augmentation de leur production en dinde autant qu'en poulet. Pour parer à cette situation pénalisante qui voit le poulet congelé rester en plan dans ces localités, l'Onab compte augmenter le nombre d'abattoirs dans les trois communes de la circonscription de Baraki dans le souci de multiplier les abattoirs qui sont à présent au nombre de cinq cents entre abattoirs communaux et privés. Même pour le poulets vis, les consommateurs dans cette région de Mitidja, sont exigeants en matière d'hygiène alimentaire, ils affichent en effet leur inquiétude concernant la consommation de toute viande congelée, cela à cause des ruptures électriques itératives en périodeestivale, mais aussi les aviculteurs et les marchands de viandes blanches qui affichent eux aussi leur angoisse quant aux pannes des équipements de froid qui ne manqueront pas de survenir avec la chaleur du mois d'août. Par crainte de la rupture de la chaîne du froid, les coupures de courant étant fréquentes en été dans ces localités, les ménages de la localité de Baraki et de sa périphérie boudent ostensiblement les importantes quantités de poulets congelés proposés au niveau des espaces couverts et au niveau des points de vente de l'Office national des aliments de bétail, l' Onab. Selon les responsables de cet organisme, lequel s'est occupé durant ces dernières semaines de la réorganisation du marché de volailles, un seuil des prix sera respecté, à savoir 250 DA/ kg et qui peut "même être une référence" de l'avis de M. Boukersi, cadre au sein de l'Onab. M. Boukersi se dit en outre très préoccupé par la flambée subite du prix des viandes blanches ayant pris de court les consommateurs. Il est vrai, nous dira notre interlocuteur, qu'avec "vingt mille tonnes par an de production de viande blanche, on ne peut satisfaire la demande des consommateurs, lesquels au niveau des centres urbains et vu la cherté de la dinde se rabattent sur le poulet congelé". Cependant, les citoyens de Sidi Moussa et de Baraki, font exception à cette règle et préfèrent, quant à eux, acheter des poulets vifs au niveau des marchés de proximité en nette prolifération ces dernières années, ou mieux sur les champs de Raïs et auprès des fermes où les aviculteurs s'estiment satisfaits, cette saison, de la nette augmentation de leur production en dinde autant qu'en poulet. Pour parer à cette situation pénalisante qui voit le poulet congelé rester en plan dans ces localités, l'Onab compte augmenter le nombre d'abattoirs dans les trois communes de la circonscription de Baraki dans le souci de multiplier les abattoirs qui sont à présent au nombre de cinq cents entre abattoirs communaux et privés. Même pour le poulets vis, les consommateurs dans cette région de Mitidja, sont exigeants en matière d'hygiène alimentaire, ils affichent en effet leur inquiétude concernant la consommation de toute viande congelée, cela à cause des ruptures électriques itératives en périodeestivale, mais aussi les aviculteurs et les marchands de viandes blanches qui affichent eux aussi leur angoisse quant aux pannes des équipements de froid qui ne manqueront pas de survenir avec la chaleur du mois d'août.