Les familles résidant dans les localités de la plaine de la Mitidja affichent leur soulagement de voir, ces temps-ci, les divers produits agricoles disponibles en abondance sur les espaces de vente. Mieux ces mêmes produits connaissent une baisse sensible de leurs prix, même les fruits sont à la portée des petites bourses, cela grâce à la bonne production enregistrée cette saison. Jusque-là la Direction de la concurrence et du contrôle des prix veille au grain. Hormis le contrôle de la qualité, mission essentielle de ce service, la répression des pratiques contraires au Code du commerce ne semble toutefois pas tâche aisée, étant donnée l'insuffisance des effectifs et des moyens susceptibles de mener à bien cette salutaire mission à la veille du mois de Ramadhan. A ce propos, Hassina Lebkiri, responsable du contrôle de la qualité et de la répression des fraudes au ministère du Commerce a tenu à préciser que le nombre des infractions relevées, ces dernières semaines, a atteint 190 mille suite aux 900 mille interventions effectuées par les agents. Ces infractions concernent, en général, explique-t-on, les mauvaises conditions de présentation et conservation des produits, à l'instar des produits périssables exposés à l'air libre. D'autres produits de base ne respectant pas, non plus, la chaîne de froid. Côté hygiène des viandes, l'abattage informel de la volaille et du cheptel est constaté dans des localités rurales. Des boissons et des glaces... sont proposées à la vente sous une chaleur de plomb et en dans des endroits insalubres situés à proximité de certains marchés de proximité. La densité démographique engendre, dans certains grands centres urbains, l'augmentation des vendeurs à la sauvette qui font totalement fi des règles d'hygiène concernant l'exposition de leurs produits achetés auprès d'espaces de gros ou des commanditaires. Leur but est de très vite écouler leur marchandise avant le passage des agents de contrôle. « Contre plus d'un million de commerçants, que peuvent bien faire 4.500 contrôleurs ? », s'interroge Mme Lebkiri laquelle annonce toutefois qu'en prévision du mois de Ramadhan mille agents de supplémentaires seront recrutés et devraient poursuivre leur mission durant le reste de l'année en cours, cela en plus de sept mille agents qui seront engagés dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, et ce afin de pallier le déficit enregistré présentement en matière d'agents de contrôle de la qualité et de la répression de fraude.La protection des consommateurs en cette saison de grandes chaleurs, propice aux intoxications, passe obligatoirement par la multiplication des abattoirs qui sont, pour l'heure, au nombre de 500 à l'échelle nationale, ce qui est loin d'être suffisant par rapport à la demande accrue sur les viandes ovine, bovine et blanche. Même si la quantité de 4 mille tonnes, importées d'Inde, pourra faire face à l'importante demande en la matière au cours du mois de Ramadhan, il n'en demeure pas moins que les éleveurs nationaux de cheptel se plaignent du manque d'abattoirs contrôlés surtout dans les steppes et les oasis. Le scandale de la vente de viande de bétail ayant péri dans des incendies dans la wilaya de Djelfa est encore vivace dans la mémoire de consommateurs. L'autre insuffisance soulevée et suscitant l'inquiétude des services du contrôle de la qualité et des consommateurs, c'est l'inexistance d'un laboratoire national spécialisé dans la détection des marchandises et pièces contrefaites. Les familles résidant dans les localités de la plaine de la Mitidja affichent leur soulagement de voir, ces temps-ci, les divers produits agricoles disponibles en abondance sur les espaces de vente. Mieux ces mêmes produits connaissent une baisse sensible de leurs prix, même les fruits sont à la portée des petites bourses, cela grâce à la bonne production enregistrée cette saison. Jusque-là la Direction de la concurrence et du contrôle des prix veille au grain. Hormis le contrôle de la qualité, mission essentielle de ce service, la répression des pratiques contraires au Code du commerce ne semble toutefois pas tâche aisée, étant donnée l'insuffisance des effectifs et des moyens susceptibles de mener à bien cette salutaire mission à la veille du mois de Ramadhan. A ce propos, Hassina Lebkiri, responsable du contrôle de la qualité et de la répression des fraudes au ministère du Commerce a tenu à préciser que le nombre des infractions relevées, ces dernières semaines, a atteint 190 mille suite aux 900 mille interventions effectuées par les agents. Ces infractions concernent, en général, explique-t-on, les mauvaises conditions de présentation et conservation des produits, à l'instar des produits périssables exposés à l'air libre. D'autres produits de base ne respectant pas, non plus, la chaîne de froid. Côté hygiène des viandes, l'abattage informel de la volaille et du cheptel est constaté dans des localités rurales. Des boissons et des glaces... sont proposées à la vente sous une chaleur de plomb et en dans des endroits insalubres situés à proximité de certains marchés de proximité. La densité démographique engendre, dans certains grands centres urbains, l'augmentation des vendeurs à la sauvette qui font totalement fi des règles d'hygiène concernant l'exposition de leurs produits achetés auprès d'espaces de gros ou des commanditaires. Leur but est de très vite écouler leur marchandise avant le passage des agents de contrôle. « Contre plus d'un million de commerçants, que peuvent bien faire 4.500 contrôleurs ? », s'interroge Mme Lebkiri laquelle annonce toutefois qu'en prévision du mois de Ramadhan mille agents de supplémentaires seront recrutés et devraient poursuivre leur mission durant le reste de l'année en cours, cela en plus de sept mille agents qui seront engagés dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, et ce afin de pallier le déficit enregistré présentement en matière d'agents de contrôle de la qualité et de la répression de fraude.La protection des consommateurs en cette saison de grandes chaleurs, propice aux intoxications, passe obligatoirement par la multiplication des abattoirs qui sont, pour l'heure, au nombre de 500 à l'échelle nationale, ce qui est loin d'être suffisant par rapport à la demande accrue sur les viandes ovine, bovine et blanche. Même si la quantité de 4 mille tonnes, importées d'Inde, pourra faire face à l'importante demande en la matière au cours du mois de Ramadhan, il n'en demeure pas moins que les éleveurs nationaux de cheptel se plaignent du manque d'abattoirs contrôlés surtout dans les steppes et les oasis. Le scandale de la vente de viande de bétail ayant péri dans des incendies dans la wilaya de Djelfa est encore vivace dans la mémoire de consommateurs. L'autre insuffisance soulevée et suscitant l'inquiétude des services du contrôle de la qualité et des consommateurs, c'est l'inexistance d'un laboratoire national spécialisé dans la détection des marchandises et pièces contrefaites.