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Sous le signe de l'hommage à Hssissen
5e édition du Festival de la chanson chaabie
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 08 - 2010

Le festival de cette année innove en élargissant l'espace habituellement limité au TNA Mahieddine-Bachtarzi au théâtre de plein air Fadéla-Dziria de l'INSM. 32 candidats dont 3 femmes vont concourir pour l'un des 12 prix du festival.
Le festival de cette année innove en élargissant l'espace habituellement limité au TNA Mahieddine-Bachtarzi au théâtre de plein air Fadéla-Dziria de l'INSM. 32 candidats dont 3 femmes vont concourir pour l'un des 12 prix du festival.
La 5e édition du Festival de la chanson chaabie s'ouvrira mercredi prochain jusqu'au mardi 31 août 2010 et ce chaque jour à 22h au théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi. L'annonce en a été refaite hier par Abdelkader Bendamèche, commissaire du festival lors d'une conférence de presse qu'il a animée à l'Institut national supérieur de Musique (INSM) d'Alger. Le festival de cette année innove en élargissant l'espace habituellement limité au TNA Mahieddine-Bachtarzi au théâtre de plein air Fadéla Dziria de l'INSM. 32 candidats dont 3 femmes vont concourir pour l'un des 12 prix du festival. Les 3 premiers prix sont dotés respectivement de 300 mille DA, 200 mille DA et 100 mille DA. Le 4e prix de 50 mille DA. Le 5e prix de 30 mille DA. Le 6e dénommé Prix Cheikh Hssissen et le 7e dénommé prix Boudjemaâ El Ankis et le 8e dénommé Cheikh Bouadjadj Mazouz sont dotés de 30 mille DA chacun alors que le 9e et le 10e prix sont pourvus de 20 mille DA chacun. Le prix spécial de la meilleure chanteuse et le prix spécial du jury sont dotés de 50 mille DA chacun. Cinq à six candidats défileront chaque jour devant le jury et chaque soirée sera égayée par un artiste invité professionnel. Ainsi se produiront en guest stars successivement. Mustapha Belahcène, Abdelmadjid Meskoud, Abdelkader Chaou, Abdeslem Derouache et Mohamed Kadi Youcef Toutah. L'ultime soirée, celle du mardi 31 août sera consacrée aux hommages. Ainsi il est prévu un hommage au regretté Hssissen, un chanteur chaâbi, ancien membre de la troupe artistique du FLN ayant chanté en kabyle et en arabe. Un documentaire sur cet artiste sera projeté. Cheikh Bouadjadj et cheikh El hadj Boudjemaâ El Ankis seront également honorés avant la cérémonie de remise des prix. Le festival veut aussi s'affirmer comme une école de formation. Cinq journées pédagogiques se tiendront à la salle Moughari Boukhari de l'INSM au profit des 32 candidats, « mais qui restent ouvertes précise Abdelkader Bendamèche aux auditeurs libres et à tous ceux qui veulent bien y assister ». La présence des candidats à ces journées pédagogiques animées par des universitaires est obligatoire. Les thèmes dispensés sont intéressants à plus d'un titre. Ainsi, les cours porteront sur la « méthodologie du travail musical », «La poésie melhoun, études des rimes», «la pratique et l'exécution du chant chaâbi», «la poésie melhoun et ses composantes», «la mesure dans la chanson chaâbi», «la chanson chaâbie : approche historique», «Lecture poétique», «la connaissance de la chanson chaâbie et de ses maîtres ». Les chanteurs candidats auront 10 à 15 minutes pour interpréter leur chanson devant le jury et auront une seconde chance de se rattraper s'ils ratent leur prestation au TNA, car ils se produiront explique-t-on également au théâtre Fadéla Dziria qui « a un autre public, un autre jury et une atmosphère». L'appétit venant en mangeant, c'est en usant de cette formule que Abdelkader Bendamèche, a parlé des projets futurs. Le festival de la chanson chaabie est appelé à devenir grandiose. Souriant, le conférencier a fait même allusion à à ce qu'on peut appeler la « nationalisation du chaabi ». Selon lui « ce genre musical progresse à Sétif ». Le commissaire a livré quelques détails, d'autres salles de la capitale recevront l'année prochaine ses activités. En sus du TNA et du théâtre Fadéla-Dziria, le festival s'adjugera la salle Ibn Zaydoun, la salle de Chéraga et d'autres encore. « Nous réfléchissons aussi à introduire dans nos prochaines éditions l'obligation pour le candidat d'avoir dans son répertoire une chanson moderne » a indiqué le commissaire du festival. Le festival pour rappel est ouvert à tout le monde, aux personnes âgées de 7 à 77 ans, il n'y a pas de limite d'âge » a expliqué Bendamèche. Et celui-ci de relever « cette année, nous enregistrons la candidature d'universitaires dont un avocat mais généralement les vieux ne viennent pas » .Pour concourir les candidats peuvent entrer soit en contact direct avec le commissariat du festival soit contacter la direction de la culture de leur wilaya de résidence.
La 5e édition du Festival de la chanson chaabie s'ouvrira mercredi prochain jusqu'au mardi 31 août 2010 et ce chaque jour à 22h au théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi. L'annonce en a été refaite hier par Abdelkader Bendamèche, commissaire du festival lors d'une conférence de presse qu'il a animée à l'Institut national supérieur de Musique (INSM) d'Alger. Le festival de cette année innove en élargissant l'espace habituellement limité au TNA Mahieddine-Bachtarzi au théâtre de plein air Fadéla Dziria de l'INSM. 32 candidats dont 3 femmes vont concourir pour l'un des 12 prix du festival. Les 3 premiers prix sont dotés respectivement de 300 mille DA, 200 mille DA et 100 mille DA. Le 4e prix de 50 mille DA. Le 5e prix de 30 mille DA. Le 6e dénommé Prix Cheikh Hssissen et le 7e dénommé prix Boudjemaâ El Ankis et le 8e dénommé Cheikh Bouadjadj Mazouz sont dotés de 30 mille DA chacun alors que le 9e et le 10e prix sont pourvus de 20 mille DA chacun. Le prix spécial de la meilleure chanteuse et le prix spécial du jury sont dotés de 50 mille DA chacun. Cinq à six candidats défileront chaque jour devant le jury et chaque soirée sera égayée par un artiste invité professionnel. Ainsi se produiront en guest stars successivement. Mustapha Belahcène, Abdelmadjid Meskoud, Abdelkader Chaou, Abdeslem Derouache et Mohamed Kadi Youcef Toutah. L'ultime soirée, celle du mardi 31 août sera consacrée aux hommages. Ainsi il est prévu un hommage au regretté Hssissen, un chanteur chaâbi, ancien membre de la troupe artistique du FLN ayant chanté en kabyle et en arabe. Un documentaire sur cet artiste sera projeté. Cheikh Bouadjadj et cheikh El hadj Boudjemaâ El Ankis seront également honorés avant la cérémonie de remise des prix. Le festival veut aussi s'affirmer comme une école de formation. Cinq journées pédagogiques se tiendront à la salle Moughari Boukhari de l'INSM au profit des 32 candidats, « mais qui restent ouvertes précise Abdelkader Bendamèche aux auditeurs libres et à tous ceux qui veulent bien y assister ». La présence des candidats à ces journées pédagogiques animées par des universitaires est obligatoire. Les thèmes dispensés sont intéressants à plus d'un titre. Ainsi, les cours porteront sur la « méthodologie du travail musical », «La poésie melhoun, études des rimes», «la pratique et l'exécution du chant chaâbi», «la poésie melhoun et ses composantes», «la mesure dans la chanson chaâbi», «la chanson chaâbie : approche historique», «Lecture poétique», «la connaissance de la chanson chaâbie et de ses maîtres ». Les chanteurs candidats auront 10 à 15 minutes pour interpréter leur chanson devant le jury et auront une seconde chance de se rattraper s'ils ratent leur prestation au TNA, car ils se produiront explique-t-on également au théâtre Fadéla Dziria qui « a un autre public, un autre jury et une atmosphère». L'appétit venant en mangeant, c'est en usant de cette formule que Abdelkader Bendamèche, a parlé des projets futurs. Le festival de la chanson chaabie est appelé à devenir grandiose. Souriant, le conférencier a fait même allusion à à ce qu'on peut appeler la « nationalisation du chaabi ». Selon lui « ce genre musical progresse à Sétif ». Le commissaire a livré quelques détails, d'autres salles de la capitale recevront l'année prochaine ses activités. En sus du TNA et du théâtre Fadéla-Dziria, le festival s'adjugera la salle Ibn Zaydoun, la salle de Chéraga et d'autres encore. « Nous réfléchissons aussi à introduire dans nos prochaines éditions l'obligation pour le candidat d'avoir dans son répertoire une chanson moderne » a indiqué le commissaire du festival. Le festival pour rappel est ouvert à tout le monde, aux personnes âgées de 7 à 77 ans, il n'y a pas de limite d'âge » a expliqué Bendamèche. Et celui-ci de relever « cette année, nous enregistrons la candidature d'universitaires dont un avocat mais généralement les vieux ne viennent pas » .Pour concourir les candidats peuvent entrer soit en contact direct avec le commissariat du festival soit contacter la direction de la culture de leur wilaya de résidence.


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