Un bon nombre de magasins a changé son activité en ce mois de ramadan. Ce phénomène qui se répand de plus en plus existe surtout, a-t-on constaté, dans les quartiers populaires à l'instar de Bab El Oued, El Biar et Belcourt. Un bon nombre de magasins a changé son activité en ce mois de ramadan. Ce phénomène qui se répand de plus en plus existe surtout, a-t-on constaté, dans les quartiers populaires à l'instar de Bab El Oued, El Biar et Belcourt. C'est le mois des tentations et des fantaisies, notamment dans les quartiers populeux mais aussi populaires où plusieurs commerçants ont opté pour la vente de confiseries en premier lieu. Il y a même un magasin à Bab El Oued qui a comme enseigne «tabac et journaux»alors que sur son rideau estt mentionné «ethaoub el assil» (l'habit original) ou vente d'habits. Mais son activité est toute autre. Il vend des œufs et des olives. C'est une preuve que ce local a connu trois activités. Du moins ceux qui a pu être constaté. Nombreux sont ces commerçants qui changent leur activité commerciale à leur guise. Tous les moyens sont bons pour doubler leurs profits. « On profite des occasions dès qu'elles se présentent », nous a déclaré un commerçant. Lui, au moins n'a pas complètement changé d'activité. Il vendait des pizzas et des sandwichs avant ce mois-ci. Aujourd'hui, il vend des gâteaux. Il a des tartes à 25 DA. Un commerce « bon marché » comme il le prétend. En effet, son commerce s'est avéré une réussite totale. Un flux important de citoyens se forme au niveau de son local chaque jour et s'accentue à mesure que l'appel à la rupture du jeûne approche. « J'achète ces tartes depuis le début de ramadhan. Elles sont moins chères qu'ailleurs », nous a confirmé un de ses clients. Notre commerçant, le vendeur de tartes, a notamment souligné : « Le citoyen au ramadan ne pense qu'à manger. Il est tenté par tout. Il ne peut pas résister et précisément quand il s'agit de friandises ». Ce n'est pas l'avis de tout le monde, puisque certains préfèrent plutôt d'autres activités, à l'instar de vendre des articles pour enfants. A une dizaine de jours de l'Aid el Fitr, il est l'un des commerces qui sera pris d'assaut sans doute le plus en cette période. A la rue Didouche Mourad par exemple, deux magasins au minimum ont changé leur activité de vente de sacs et chaussures pour femmes contre des vêtements pour enfants. D'autres ont privilégié les articles scolaires. La demande ne tardera pas à exploser en quelques jours. Les citoyens de leur coté, ne semblent pas ignorer ce phénomène. « Les magasins changent d'activité s fréquemment », a dit Abdelkader, rencontré sur les lieux. Il n'a pas hésité à dire aussi : « Si aujourd'hui ils vendent des légumes, demain ils pourront vendre des parfums même », a-t-il ajouté, tout étonné. Légale ou non, la question reste à poser et à confirmer. Quant à ces commerçants rien ne les empêche de gagner leur vie, puisque la fin justifie les moyens. À chaque occasion l'activité commerciale change. Ils suivent la tendance de tous les événements. Ils sont à l'affût de tout C'est le mois des tentations et des fantaisies, notamment dans les quartiers populeux mais aussi populaires où plusieurs commerçants ont opté pour la vente de confiseries en premier lieu. Il y a même un magasin à Bab El Oued qui a comme enseigne «tabac et journaux»alors que sur son rideau estt mentionné «ethaoub el assil» (l'habit original) ou vente d'habits. Mais son activité est toute autre. Il vend des œufs et des olives. C'est une preuve que ce local a connu trois activités. Du moins ceux qui a pu être constaté. Nombreux sont ces commerçants qui changent leur activité commerciale à leur guise. Tous les moyens sont bons pour doubler leurs profits. « On profite des occasions dès qu'elles se présentent », nous a déclaré un commerçant. Lui, au moins n'a pas complètement changé d'activité. Il vendait des pizzas et des sandwichs avant ce mois-ci. Aujourd'hui, il vend des gâteaux. Il a des tartes à 25 DA. Un commerce « bon marché » comme il le prétend. En effet, son commerce s'est avéré une réussite totale. Un flux important de citoyens se forme au niveau de son local chaque jour et s'accentue à mesure que l'appel à la rupture du jeûne approche. « J'achète ces tartes depuis le début de ramadhan. Elles sont moins chères qu'ailleurs », nous a confirmé un de ses clients. Notre commerçant, le vendeur de tartes, a notamment souligné : « Le citoyen au ramadan ne pense qu'à manger. Il est tenté par tout. Il ne peut pas résister et précisément quand il s'agit de friandises ». Ce n'est pas l'avis de tout le monde, puisque certains préfèrent plutôt d'autres activités, à l'instar de vendre des articles pour enfants. A une dizaine de jours de l'Aid el Fitr, il est l'un des commerces qui sera pris d'assaut sans doute le plus en cette période. A la rue Didouche Mourad par exemple, deux magasins au minimum ont changé leur activité de vente de sacs et chaussures pour femmes contre des vêtements pour enfants. D'autres ont privilégié les articles scolaires. La demande ne tardera pas à exploser en quelques jours. Les citoyens de leur coté, ne semblent pas ignorer ce phénomène. « Les magasins changent d'activité s fréquemment », a dit Abdelkader, rencontré sur les lieux. Il n'a pas hésité à dire aussi : « Si aujourd'hui ils vendent des légumes, demain ils pourront vendre des parfums même », a-t-il ajouté, tout étonné. Légale ou non, la question reste à poser et à confirmer. Quant à ces commerçants rien ne les empêche de gagner leur vie, puisque la fin justifie les moyens. À chaque occasion l'activité commerciale change. Ils suivent la tendance de tous les événements. Ils sont à l'affût de tout