En dépit des instructions des autorités sanitaires, de nombreuses circoncisions d'enfants se font encore chaque année à la maison, avec tous les risques que cela comportent ou encore en dehors des hôpitaux et cliniques. Des médecins et infirmiers proposent leurs services pour pratiquer ces interventions à domicile, au lieu des établissements sanitaires qui disposent d'équipes spécialisées et de moyens de réanimation appropriés. Ce qui a souvent transformé ce jour de joie en un jour de deuil. Les dangers encourus par les enfants, lorsqu'ils sont circoncis à domicile, mènent à de graves infections et autres maladies sanguines, alors que l'acte en lui-même, est connu pour ses nombreuses vertus, telles que la prévention du cancer du prépuce. Même chose pour les circoncisions collectives, prises en charge généralement par des associations caritatives, au profit des enfants issus de familles démunies. Cet acte chirurgical collectif est jugé dangereux et nécessite beaucoup de vigilance vue le nombre important d'enfants à circoncire en une seule soirée. De ce fait, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, a tenu à travers un communiqué, rendu public hier, à rappeler les instructions et la réglementation en la matière, mettant en garde une nouvelle fois, les praticiens concernés. Un rappel qui coïncide avec la dernière semaine de ce mois sacré de ramadhan, une période prisée pour la circoncision des enfants, notamment, la journée du 27 de ramadhan (Leilat el Kadr). Dans ce cadre, les autorités sanitaires ont tenu a préciser que l' « acte de circoncision ne peut être pratiqué que par un chirurgien dans une structure sanitaire publique ou privée, réunissant toutes les conditions pour la réussite de cet acte chirurgical». Ceci dit, le corps médical chargé de réaliser cet acte devrait refuser de le faire s'il n'a pas toutes les conditions de sécurité requises. L'acte de circoncision, à titre individuel ou dans le cadre d'une campagne collective, est soumis, ajoute-on, aux dispositions réglementaires en vigueur, notamment, l'instruction numéro 06 du 5 juin 2006, relative à la prise en charge des circoncisions. Le ministère rappelle que ces dispositions exclusives procèdent du souci de préserver la santé et l'intégrité des enfants concernés et sont dictées par la nécessité d'œuvrer à éviter que ne se renouvellent des accidents douloureux. En dépit des instructions des autorités sanitaires, de nombreuses circoncisions d'enfants se font encore chaque année à la maison, avec tous les risques que cela comportent ou encore en dehors des hôpitaux et cliniques. Des médecins et infirmiers proposent leurs services pour pratiquer ces interventions à domicile, au lieu des établissements sanitaires qui disposent d'équipes spécialisées et de moyens de réanimation appropriés. Ce qui a souvent transformé ce jour de joie en un jour de deuil. Les dangers encourus par les enfants, lorsqu'ils sont circoncis à domicile, mènent à de graves infections et autres maladies sanguines, alors que l'acte en lui-même, est connu pour ses nombreuses vertus, telles que la prévention du cancer du prépuce. Même chose pour les circoncisions collectives, prises en charge généralement par des associations caritatives, au profit des enfants issus de familles démunies. Cet acte chirurgical collectif est jugé dangereux et nécessite beaucoup de vigilance vue le nombre important d'enfants à circoncire en une seule soirée. De ce fait, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, a tenu à travers un communiqué, rendu public hier, à rappeler les instructions et la réglementation en la matière, mettant en garde une nouvelle fois, les praticiens concernés. Un rappel qui coïncide avec la dernière semaine de ce mois sacré de ramadhan, une période prisée pour la circoncision des enfants, notamment, la journée du 27 de ramadhan (Leilat el Kadr). Dans ce cadre, les autorités sanitaires ont tenu a préciser que l' « acte de circoncision ne peut être pratiqué que par un chirurgien dans une structure sanitaire publique ou privée, réunissant toutes les conditions pour la réussite de cet acte chirurgical». Ceci dit, le corps médical chargé de réaliser cet acte devrait refuser de le faire s'il n'a pas toutes les conditions de sécurité requises. L'acte de circoncision, à titre individuel ou dans le cadre d'une campagne collective, est soumis, ajoute-on, aux dispositions réglementaires en vigueur, notamment, l'instruction numéro 06 du 5 juin 2006, relative à la prise en charge des circoncisions. Le ministère rappelle que ces dispositions exclusives procèdent du souci de préserver la santé et l'intégrité des enfants concernés et sont dictées par la nécessité d'œuvrer à éviter que ne se renouvellent des accidents douloureux.