Cette conférence vise à réaffirmer la solidarité et le soutien indéfectible à ce digne combat que mène le peuple sahraoui depuis bientôt 36 ans. Outre, le soutien multiforme à la résistance pacifique citoyenne dans les territoires occupés, la dénonciation des violations massives des droits de l'homme mais aussi appelé à l'organisation d'un boycott des activités commerciales en relation avec la spoliation des ressources naturelles du Sahara Occidental. Cette conférence vise à réaffirmer la solidarité et le soutien indéfectible à ce digne combat que mène le peuple sahraoui depuis bientôt 36 ans. Outre, le soutien multiforme à la résistance pacifique citoyenne dans les territoires occupés, la dénonciation des violations massives des droits de l'homme mais aussi appelé à l'organisation d'un boycott des activités commerciales en relation avec la spoliation des ressources naturelles du Sahara Occidental. L'engagement de la société civile algérienne à l'égard de la cause sahraoui s'intensifie et se renforce davantage notamment avec le soutien de la communauté internationale. La résistance de ce peuple dont l'unique outil recouru est « la voix pacifique » reste inéluctablement le moyen de défense approprié face au colonialisme marocain. C'est dans cet objectif que sera tenue une conférence internationale à Alger sur le thème «Le droit des Peuples à la Résistance : le cas du peuple sahraoui», les 25 et 26 septembre prochain. Organisée par le Comité nationale algérien de soutien au peuple sahraoui (CNASPS) et l'Union des juristes sahraouis, cette rencontre verra la participation de plus de 250 personnes, dont 120 étrangers issus de différentes sphères, diplomatiques, parlementaires, universitaires et intellectuels. Coté représentation sahraouie, ils seront plus de 70 activistes sahraouis militants des droits de l'homme qui viendront des territoires occupés, pour certains, a-t-on appris auprès de M. Ayachi Said, qui coordonne l'organisation de l'évènement. D'autres responsables du gouvernement sahraouis y prendront part également. Deux thèmes sont prévus au courant de la conférence, à savoir, «le soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination» et «la solidarité avec la résistance sahraouie et dénonciation des violations systématiques des droits de l'homme par l'occupant marocain». Cette conférence, explique-t-on, vise, entre autres, à réaffirmer la solidarité et le soutien indéfectible à ce digne combat que mène le peuple sahraoui depuis bientôt 36 ans. Outre, le soutien multiforme à la résistance pacifique citoyenne dans les territoires occupés, la dénonciation des violations massives des droits de l'homme mais aussi appelé à l'organisation d'un boycott des activités commerciales en relation avec la spoliation des ressources naturelles du Sahara Occidental. La légalité internationale, s'indigne notre interlocuteur, «ne trouve pas une exécution sur le terrain faute des manœuvres dilatoires du pouvoir marocain implicitement soutenu par les gouvernements espagnol et français». Et de poursuivre «cette complicité criminelle des deux gouvernements nie au peuple sahraoui son droit à l'autodétermination en tant que peuple colonisé». S'agissant de la résistance des sahraouis dans les territoires occupés, il dira qu' «elle a démasqué la sauvagerie de l'occupant marocain et sa violation quotidienne des droits de l'homme», avant d'ajouter «celle-ci se fait par la pratique de la torture, des arrestations arbitraires, des viols, des disparitions forcées mais aussi par des exécutions extra judiciaires». La conférence sera sanctionnée par une déclaration finale qui sera élaborée par l'ensemble des participants, a-t-on ajouté. L'engagement de la société civile algérienne à l'égard de la cause sahraoui s'intensifie et se renforce davantage notamment avec le soutien de la communauté internationale. La résistance de ce peuple dont l'unique outil recouru est « la voix pacifique » reste inéluctablement le moyen de défense approprié face au colonialisme marocain. C'est dans cet objectif que sera tenue une conférence internationale à Alger sur le thème «Le droit des Peuples à la Résistance : le cas du peuple sahraoui», les 25 et 26 septembre prochain. Organisée par le Comité nationale algérien de soutien au peuple sahraoui (CNASPS) et l'Union des juristes sahraouis, cette rencontre verra la participation de plus de 250 personnes, dont 120 étrangers issus de différentes sphères, diplomatiques, parlementaires, universitaires et intellectuels. Coté représentation sahraouie, ils seront plus de 70 activistes sahraouis militants des droits de l'homme qui viendront des territoires occupés, pour certains, a-t-on appris auprès de M. Ayachi Said, qui coordonne l'organisation de l'évènement. D'autres responsables du gouvernement sahraouis y prendront part également. Deux thèmes sont prévus au courant de la conférence, à savoir, «le soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination» et «la solidarité avec la résistance sahraouie et dénonciation des violations systématiques des droits de l'homme par l'occupant marocain». Cette conférence, explique-t-on, vise, entre autres, à réaffirmer la solidarité et le soutien indéfectible à ce digne combat que mène le peuple sahraoui depuis bientôt 36 ans. Outre, le soutien multiforme à la résistance pacifique citoyenne dans les territoires occupés, la dénonciation des violations massives des droits de l'homme mais aussi appelé à l'organisation d'un boycott des activités commerciales en relation avec la spoliation des ressources naturelles du Sahara Occidental. La légalité internationale, s'indigne notre interlocuteur, «ne trouve pas une exécution sur le terrain faute des manœuvres dilatoires du pouvoir marocain implicitement soutenu par les gouvernements espagnol et français». Et de poursuivre «cette complicité criminelle des deux gouvernements nie au peuple sahraoui son droit à l'autodétermination en tant que peuple colonisé». S'agissant de la résistance des sahraouis dans les territoires occupés, il dira qu' «elle a démasqué la sauvagerie de l'occupant marocain et sa violation quotidienne des droits de l'homme», avant d'ajouter «celle-ci se fait par la pratique de la torture, des arrestations arbitraires, des viols, des disparitions forcées mais aussi par des exécutions extra judiciaires». La conférence sera sanctionnée par une déclaration finale qui sera élaborée par l'ensemble des participants, a-t-on ajouté.