Après le mois sacré de Ramadhan et l' Aïd el-Fitr, le chef-lieu de wilaya renoue avec le cycle infernal de la violence. Ce phénomène nuit gravement à la quiétude et à la qualité de vie des familles. Vingt-quatre heures seulement après le meurtre tragique d'un étudiant, âgé de 22 ans, pour un simple téléphone portable, la ville de Guelma enregistre un deuxième meurtre crapuleux. En effet, jeudi dernier, le gardien d'un parking situé à Bab Annaba, aux abords du siège de la Casnos et de l'antenne de la Cnas, a fait une découverte macabre vers 7h du matin : le corps sans vie d'un jeune homme gisant dans une mare de sang. Selon des témoins, la victime présentait quatre blessures profondes occasionnées probablement par une arme blanche. La victime, dont l'identité n'a pas été encore établie, a été évacuée vers la morgue de l'hôpital Okbi aux fins d'une autopsie. Les services de la Police judiciaire qui se sont déplacés sur les lieux du drame, ont déclenché l'enquête d'usage afin de déterminer les circonstances les circonstances de ce drame. Un regain de violence, engendré par la consommation d'alcool, de stupéfiants et de psychotropes, plane sur la ville où un climat de psychose et d'insécurité s'est emparé de la population. D'aucuns souhaiteraient la présence massive et dissuasive des services de sécurité pour neutraliser ces bandes organisées de voyous qui imposent leur diktat. H. B Après le mois sacré de Ramadhan et l' Aïd el-Fitr, le chef-lieu de wilaya renoue avec le cycle infernal de la violence. Ce phénomène nuit gravement à la quiétude et à la qualité de vie des familles. Vingt-quatre heures seulement après le meurtre tragique d'un étudiant, âgé de 22 ans, pour un simple téléphone portable, la ville de Guelma enregistre un deuxième meurtre crapuleux. En effet, jeudi dernier, le gardien d'un parking situé à Bab Annaba, aux abords du siège de la Casnos et de l'antenne de la Cnas, a fait une découverte macabre vers 7h du matin : le corps sans vie d'un jeune homme gisant dans une mare de sang. Selon des témoins, la victime présentait quatre blessures profondes occasionnées probablement par une arme blanche. La victime, dont l'identité n'a pas été encore établie, a été évacuée vers la morgue de l'hôpital Okbi aux fins d'une autopsie. Les services de la Police judiciaire qui se sont déplacés sur les lieux du drame, ont déclenché l'enquête d'usage afin de déterminer les circonstances les circonstances de ce drame. Un regain de violence, engendré par la consommation d'alcool, de stupéfiants et de psychotropes, plane sur la ville où un climat de psychose et d'insécurité s'est emparé de la population. D'aucuns souhaiteraient la présence massive et dissuasive des services de sécurité pour neutraliser ces bandes organisées de voyous qui imposent leur diktat. H. B