Le Premier ministre sahraoui, M. Abdelkader Taleb Omar, a affirmé, hier à Alger à la clôture des travaux de la conférence internationale portant sur la résistance sahraouie, que la répression n'est pas propre aux Sahraouis mais qu'elle touchait également certains défenseurs des droits de l'Homme étrangers. Le Maroc, a-t-il précisé, « s'entête à rejeter toute démarche pouvant permettre de trouver un mécanisme de contrôle des droits de l'Homme dans la région occupée malgré les appels internationaux incessants et l'entière disponibilité du Front Polisario à coopérer ». S'agissant des disparitions et enlèvements fréquents, il dira que 500 personnes enlevées sont portées disparues, à ce jour. Selon lui, il y aurait également 151 prisonniers de guerre et d'autres encore qui sont détenus dans les prisons marocaines pour avoir soutenu le droit à l'autodétermination et à l'indépendance de leur pays. Aujourd'hui, 56 prisonniers politiques sont détenus, a-t-il affirmé. Les prisonniers se trouvent dans les prisons suivantes : La prison noire (02), Benslimane (01), Tiznit (13), Ait Melloul (05), Inzikan (04), Taroudant (02), Kenitra (02), Salé (07), Marakech (03), et Okacha (02). Le Premier ministre sahraoui, M. Abdelkader Taleb Omar, a affirmé, hier à Alger à la clôture des travaux de la conférence internationale portant sur la résistance sahraouie, que la répression n'est pas propre aux Sahraouis mais qu'elle touchait également certains défenseurs des droits de l'Homme étrangers. Le Maroc, a-t-il précisé, « s'entête à rejeter toute démarche pouvant permettre de trouver un mécanisme de contrôle des droits de l'Homme dans la région occupée malgré les appels internationaux incessants et l'entière disponibilité du Front Polisario à coopérer ». S'agissant des disparitions et enlèvements fréquents, il dira que 500 personnes enlevées sont portées disparues, à ce jour. Selon lui, il y aurait également 151 prisonniers de guerre et d'autres encore qui sont détenus dans les prisons marocaines pour avoir soutenu le droit à l'autodétermination et à l'indépendance de leur pays. Aujourd'hui, 56 prisonniers politiques sont détenus, a-t-il affirmé. Les prisonniers se trouvent dans les prisons suivantes : La prison noire (02), Benslimane (01), Tiznit (13), Ait Melloul (05), Inzikan (04), Taroudant (02), Kenitra (02), Salé (07), Marakech (03), et Okacha (02).