Sous le titre « nouvelle génération d'entrepreneurs privés », la Banque mondiale (BM) précise, selon une étude réalisée par un économiste de cette institution financière, que les ressources humaines et les compétences ne sont pas bien utilisées dans les pays en voie de développement, telle que la région Mena (Moyen-Orient et Afrique du Nord) dont l'Algérie. Affirmant que certains de ces pays qui sont mono exportateurs, et bien que moins développés, ne manquent pas nécessairement, de ressources financières et de main d'œuvre qualifiée, mais tout simplement elles ne sont pas exploitées à bon escient. Les experts de la BM font allusion aux cerveaux et aux compétences nationales, notamment celles travaillant à l'étranger qui contribuent de loin au développement de leurs pays d'origine. La BM montre que les pays qui tirent leurs ressources financières de l'exportation des hydrocarbures jouent, toutefois, un rôle moteur dans le développement économique, alors que les pays de la région Mena non exportateurs de pétrole sont exposés au problème de sous-emploi. Le rapport de la Banque mondiale précise dans cette réflexion intitulée ‘'Le monde de demain : guide sur les orientations futures des politiques économiques dans les pays en développement'' que la difficulté du financement du développement économique ne se pose pas pour les pays du Golfe arabe et les pays de la Mena, car le redressement de l'économie passe par un renchérissement des cours du baril de pétrole et une plus grande stabilité de leur secteur financier. Mais la recommandation faite par la BM à ces pays consiste à inculquer aux autorités la nécessaire orientation vers une nouvelle génération d'entrepreneurs privés et permettre également aux femmes de jouer un rôle important et à part entière sur le plan économique. Si l'Algérie a été jugée épargnée par la crise du sous-emploi par les experts de la BM, en revanche, cette institution indique que d'autres pays de la région Mena persisteront dans la crise économique par l'accroissement de 2,6 millions de pauvres d'ici 2011 et une calamité inhérente au chômage frappera les populations de cette région. Cependant, concernant l'emploi des jeunes en Algérie, les dispositifs d'aide de l'Etat aux jeunes demandeurs d'emploi, tels que l'Ansej et l'Andi qui encouragent la promotion de l'emploi des jeunes, certes, ne sont pas une panacée pour résorber la crise du chômage qui frappe la majorité des jeunes, néanmoins, ils résolvent des problèmes pour les porteurs de projets d'investissement. Les détenteurs de projets d'investissement âgés de moins de 50 ans ont le droit de solliciter une subvention financière de l'Etat et, en plus, ils bénéficient de l'exonération d'impôts durant une période de trois années. Les banques ont également proposé leur disponibilité pour accompagner les promoteurs de projets de développement en leur accordant des crédits conséquents pour mener à bien leurs activités, notamment pour les titulaires de projets de création de micro-entreprises. Sous le titre « nouvelle génération d'entrepreneurs privés », la Banque mondiale (BM) précise, selon une étude réalisée par un économiste de cette institution financière, que les ressources humaines et les compétences ne sont pas bien utilisées dans les pays en voie de développement, telle que la région Mena (Moyen-Orient et Afrique du Nord) dont l'Algérie. Affirmant que certains de ces pays qui sont mono exportateurs, et bien que moins développés, ne manquent pas nécessairement, de ressources financières et de main d'œuvre qualifiée, mais tout simplement elles ne sont pas exploitées à bon escient. Les experts de la BM font allusion aux cerveaux et aux compétences nationales, notamment celles travaillant à l'étranger qui contribuent de loin au développement de leurs pays d'origine. La BM montre que les pays qui tirent leurs ressources financières de l'exportation des hydrocarbures jouent, toutefois, un rôle moteur dans le développement économique, alors que les pays de la région Mena non exportateurs de pétrole sont exposés au problème de sous-emploi. Le rapport de la Banque mondiale précise dans cette réflexion intitulée ‘'Le monde de demain : guide sur les orientations futures des politiques économiques dans les pays en développement'' que la difficulté du financement du développement économique ne se pose pas pour les pays du Golfe arabe et les pays de la Mena, car le redressement de l'économie passe par un renchérissement des cours du baril de pétrole et une plus grande stabilité de leur secteur financier. Mais la recommandation faite par la BM à ces pays consiste à inculquer aux autorités la nécessaire orientation vers une nouvelle génération d'entrepreneurs privés et permettre également aux femmes de jouer un rôle important et à part entière sur le plan économique. Si l'Algérie a été jugée épargnée par la crise du sous-emploi par les experts de la BM, en revanche, cette institution indique que d'autres pays de la région Mena persisteront dans la crise économique par l'accroissement de 2,6 millions de pauvres d'ici 2011 et une calamité inhérente au chômage frappera les populations de cette région. Cependant, concernant l'emploi des jeunes en Algérie, les dispositifs d'aide de l'Etat aux jeunes demandeurs d'emploi, tels que l'Ansej et l'Andi qui encouragent la promotion de l'emploi des jeunes, certes, ne sont pas une panacée pour résorber la crise du chômage qui frappe la majorité des jeunes, néanmoins, ils résolvent des problèmes pour les porteurs de projets d'investissement. Les détenteurs de projets d'investissement âgés de moins de 50 ans ont le droit de solliciter une subvention financière de l'Etat et, en plus, ils bénéficient de l'exonération d'impôts durant une période de trois années. Les banques ont également proposé leur disponibilité pour accompagner les promoteurs de projets de développement en leur accordant des crédits conséquents pour mener à bien leurs activités, notamment pour les titulaires de projets de création de micro-entreprises.