Devenue un véritable repaire des brigands, où se pratiquent couramment trafic de drogue, prostitution, vols et agressions, la place d'Armes (vieille ville) est devenue la cible n° 01 des services de sécurité. Les rafles organisées mercredi et jeudi passés, par les forces de police, déployés à grand renfort, avec l'appui des CRS (Compagnie républicaine de sécurité) armés de chiens, dans les quartiers chauds de la Place d'Armes, traduisent la ferme volonté des autorités judiciaires, décidées à nettoyer cette zone de non-dits, de la pègre qui l'écume depuis des mois au grand dam des riverains, assujettis à la loi du silence de peur des represailles. "21 individus dont 11 recherchés par les différents services de sécurité ont été arrêtés lors de cette opération, au 1er jour 17 autres, pris en possession d'armes blanches prohibées ainsi que de bombes lacrymogènes utilisées dans les braquages et agressions ont été interpellés au 2e jour" indique un officier ayant participé au rafles ayant touché la place d'Armes. Pour l'opinion, il était grand temps, de mettre un terme à l'insécurité grandissante dans cette cité devenue le fief attitré de tous les voyous de la ville. "Il fut un moment où la police n'osait pas s'aventurer dans certains quartiers de la place d'Armes. Les gens et les familles vivaient dans la terreur et étaient constamment exposées aux agressions et à la violence" témoignent de nombreux résidants, récemment encore, excédés par les rackets et les vols dont il sont victimes, les commerces de la ville, riposteront et organisent un grand sit-in règne dans cette cité hors la loi "il semble que la sûreté de wilaya a réagi positivement à nos doléances, c'était de toute façon une urgence pour rétablir l'ordre et la loi à la place d'Armes", estime-t-on à l'Union des commerçants de Annaba.Pour d'autres, par contre, c'est l'agression sauvage d'un magistrat de passage à Annaba à proximité de la vieille ville, à qui on a dérobé un portable en plein jour, qui est à l'origine des ces rafles d'envergure. R. M. Devenue un véritable repaire des brigands, où se pratiquent couramment trafic de drogue, prostitution, vols et agressions, la place d'Armes (vieille ville) est devenue la cible n° 01 des services de sécurité. Les rafles organisées mercredi et jeudi passés, par les forces de police, déployés à grand renfort, avec l'appui des CRS (Compagnie républicaine de sécurité) armés de chiens, dans les quartiers chauds de la Place d'Armes, traduisent la ferme volonté des autorités judiciaires, décidées à nettoyer cette zone de non-dits, de la pègre qui l'écume depuis des mois au grand dam des riverains, assujettis à la loi du silence de peur des represailles. "21 individus dont 11 recherchés par les différents services de sécurité ont été arrêtés lors de cette opération, au 1er jour 17 autres, pris en possession d'armes blanches prohibées ainsi que de bombes lacrymogènes utilisées dans les braquages et agressions ont été interpellés au 2e jour" indique un officier ayant participé au rafles ayant touché la place d'Armes. Pour l'opinion, il était grand temps, de mettre un terme à l'insécurité grandissante dans cette cité devenue le fief attitré de tous les voyous de la ville. "Il fut un moment où la police n'osait pas s'aventurer dans certains quartiers de la place d'Armes. Les gens et les familles vivaient dans la terreur et étaient constamment exposées aux agressions et à la violence" témoignent de nombreux résidants, récemment encore, excédés par les rackets et les vols dont il sont victimes, les commerces de la ville, riposteront et organisent un grand sit-in règne dans cette cité hors la loi "il semble que la sûreté de wilaya a réagi positivement à nos doléances, c'était de toute façon une urgence pour rétablir l'ordre et la loi à la place d'Armes", estime-t-on à l'Union des commerçants de Annaba.Pour d'autres, par contre, c'est l'agression sauvage d'un magistrat de passage à Annaba à proximité de la vieille ville, à qui on a dérobé un portable en plein jour, qui est à l'origine des ces rafles d'envergure. R. M.