Le projet de loi relatif à la protection des personnes âgées et de leurs droits sera débattu, aujourd'hui, à l'Assemblée populaire nationale (APN). Elaboré par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, ce projet porte sur plusieurs articles qui visent principalement, à définir le rôle et les obligations de la famille, particulièrement les descendants, en sus de la mise en œuvre d'une assistance particulière pour un accompagnement adéquat, a-t-on spécifié, dans le document relatif à ce projet. Parmi l'un de ces points incontournables, il est indiqué les éléments de base de la vie des personnes âgées, à l'instar de l'accès aux vivres, à l'eau, au logement, aux vêtements et aux soins médicaux grâce à leur revenu. Il est également question du soutien des familles et de la communauté. «L'accès au dispositif de prévention des maladies et aux structures spécialisées de soins, le développement d'activités culturelles, sportives et de détente, la disponibilité d'un revenu et, en dernier recours, l'accès aux établissements spécialisés et aux familles d'accueil en particulier pour toutes celles qui sont sans famille», est-il écrit dans le document en question. Pour rappel, le projet de loi met l'accent sur le rôle de la famille en sa qualité de première concernée pour mener à bien cette mission en continuant à servir ses personnes âgées et préserver leur dignité. D'autant plus, faut-il le noter, que ces personnes sont souvent laissées pour compte. L'Etat, tel que le prévoit ce projet de loi, aura pour prérogative de veiller à ce que les familles des personnes âgées puissent exercer leurs obligations envers eux, d'accompagner les associations et « de fournir des prestations et solutions de substitution lorsque les liens familiaux n'existent pas ou sont rompus et en dernier recours, d'accueillir ces personnes démunies et sans attaches familiales dans des établissements spécialisées », précise-t-on de même source. S'agissant des familles démunies ne pouvant accompagner leurs parents sur le plan financier, l'Etat et les collectivités locales, en sus des établissements et institutions spécialisées auront les lourdes tâches d'assurer cette aide. Il faut dire que ce projet de loi constitue une bouffée d'oxygène inespérée et tant attendue pour ces personnes âgées qui, depuis de longues années, ont été, doit-on le dire, laissés à l'abandon par leur propre progéniture. M. B. Le projet de loi relatif à la protection des personnes âgées et de leurs droits sera débattu, aujourd'hui, à l'Assemblée populaire nationale (APN). Elaboré par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, ce projet porte sur plusieurs articles qui visent principalement, à définir le rôle et les obligations de la famille, particulièrement les descendants, en sus de la mise en œuvre d'une assistance particulière pour un accompagnement adéquat, a-t-on spécifié, dans le document relatif à ce projet. Parmi l'un de ces points incontournables, il est indiqué les éléments de base de la vie des personnes âgées, à l'instar de l'accès aux vivres, à l'eau, au logement, aux vêtements et aux soins médicaux grâce à leur revenu. Il est également question du soutien des familles et de la communauté. «L'accès au dispositif de prévention des maladies et aux structures spécialisées de soins, le développement d'activités culturelles, sportives et de détente, la disponibilité d'un revenu et, en dernier recours, l'accès aux établissements spécialisés et aux familles d'accueil en particulier pour toutes celles qui sont sans famille», est-il écrit dans le document en question. Pour rappel, le projet de loi met l'accent sur le rôle de la famille en sa qualité de première concernée pour mener à bien cette mission en continuant à servir ses personnes âgées et préserver leur dignité. D'autant plus, faut-il le noter, que ces personnes sont souvent laissées pour compte. L'Etat, tel que le prévoit ce projet de loi, aura pour prérogative de veiller à ce que les familles des personnes âgées puissent exercer leurs obligations envers eux, d'accompagner les associations et « de fournir des prestations et solutions de substitution lorsque les liens familiaux n'existent pas ou sont rompus et en dernier recours, d'accueillir ces personnes démunies et sans attaches familiales dans des établissements spécialisées », précise-t-on de même source. S'agissant des familles démunies ne pouvant accompagner leurs parents sur le plan financier, l'Etat et les collectivités locales, en sus des établissements et institutions spécialisées auront les lourdes tâches d'assurer cette aide. Il faut dire que ce projet de loi constitue une bouffée d'oxygène inespérée et tant attendue pour ces personnes âgées qui, depuis de longues années, ont été, doit-on le dire, laissés à l'abandon par leur propre progéniture. M. B.