À travers cette nouvelle mesure, le gouvernement algérien a favorisé la voie de la préservation des emplois. À travers cette nouvelle mesure, le gouvernement algérien a favorisé la voie de la préservation des emplois. Quatre mois seulement après son installation à la tête du secteur, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (TIC), Moussa Benhamadi, a réussi à mettre en application la volonté du gouvernement algérien à trouver une solution radicale à ce qui était considéré jusque-là comme un «épineux» problème, celui de l'avenir d'Orascom Télécom Algérie, dans notre pays. Hier, les groupes russe Vimpelcom et Weather Investments de l'homme d'affaires égyptien Naguib Sawiris ont annoncé avoir fusionné leurs activités. Ils forment ainsi le cinquième groupe mondial du secteur de la téléphonie mobile, avec un chiffre d'affaires cumulé de plus de 21 milliards de dollars et 174 millions d'abonnés à travers le monde. Une opération qui permettra à Vimpelcom de détenir 51,7% des parts d'Orascom Telecom, maison mère d'OTA, qui exploite la marque Djezzy en Algérie, a appris le Midi Libre. Cependant, aucune indiscrétion n'a jusque-là filtré sur la formule ni sur le montant de la transaction. Toutefois, des informations rapportées en début de semaine par le journal russe Kommersant affirment que l'opérateur russe des télécommunications, VimpelCom, serait en train de négocier la reprise des actifs de plusieurs des filiales du groupe égyptien Orascom Telecom Holdings en Italie, en Tunisie et sa filiale algérienne Orascom Telecom Algérie (Djezzy). Le montant de la transaction pourra s'élever à 5 milliards d'euros (6,4 milliards de dollars). L'entente permettra à VimpelCom d'étendre la géographie de l'entreprise puisque OTH possède le plus grand opérateur de téléphonie mobile en Egypte et en Algérie, a commenté le Kommersant. La compagnie russe, VimpelCom, indique encore le Kommersant, a estimé la juste valeur de la filiale OTH en Algérie entre 5 et 6 milliards de dollars. Il n'en demeure pas moins que l'avenir de l'opérateur et particulièrement les contours de cet accord seront dévoilés avec plus de précisions lors de la visite de Dimitri Medvedev, président russe attendu à Alger demain. Accompagné d'une délégation composée d'une quarantaine d'hommes d'affaires dans les rangs de laquelle figure l'opérateur russe leader dans les télécommunications, VimpelCom, cette visite sera l'occasion de conclure un accord spécifique entre le gouvernement algérien et le nouveau groupe détenu par les Russes. Selon des indiscrétions, l'Algérie exprimera, lors de ces rencontres, son souhait de garder la majorité du capital. Ainsi, à travers cette nouvelle mesure, le gouvernement algérien a favorisé la voie de la préservation des emplois en mettant un terme à toutes les spéculations ayant entouré l'enquête initiale enclenchée par les services de sécurité basée sur la plainte déposée par la Banque d'Algérie concernant de supposées irrégularités de la société durant les années 2007, 2008 et 2009. «Mon premier souci est celui de la préservation des emplois», avait martelé le premier responsable du secteur à plusieurs de ses sorties médiatiques en précisant que c'était là «la volonté de tout l'Etat Algérien». D'ailleurs, la conclusion, hier, de l'accord vient encore une fois conforter cette position. Quatre mois seulement après son installation à la tête du secteur, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (TIC), Moussa Benhamadi, a réussi à mettre en application la volonté du gouvernement algérien à trouver une solution radicale à ce qui était considéré jusque-là comme un «épineux» problème, celui de l'avenir d'Orascom Télécom Algérie, dans notre pays. Hier, les groupes russe Vimpelcom et Weather Investments de l'homme d'affaires égyptien Naguib Sawiris ont annoncé avoir fusionné leurs activités. Ils forment ainsi le cinquième groupe mondial du secteur de la téléphonie mobile, avec un chiffre d'affaires cumulé de plus de 21 milliards de dollars et 174 millions d'abonnés à travers le monde. Une opération qui permettra à Vimpelcom de détenir 51,7% des parts d'Orascom Telecom, maison mère d'OTA, qui exploite la marque Djezzy en Algérie, a appris le Midi Libre. Cependant, aucune indiscrétion n'a jusque-là filtré sur la formule ni sur le montant de la transaction. Toutefois, des informations rapportées en début de semaine par le journal russe Kommersant affirment que l'opérateur russe des télécommunications, VimpelCom, serait en train de négocier la reprise des actifs de plusieurs des filiales du groupe égyptien Orascom Telecom Holdings en Italie, en Tunisie et sa filiale algérienne Orascom Telecom Algérie (Djezzy). Le montant de la transaction pourra s'élever à 5 milliards d'euros (6,4 milliards de dollars). L'entente permettra à VimpelCom d'étendre la géographie de l'entreprise puisque OTH possède le plus grand opérateur de téléphonie mobile en Egypte et en Algérie, a commenté le Kommersant. La compagnie russe, VimpelCom, indique encore le Kommersant, a estimé la juste valeur de la filiale OTH en Algérie entre 5 et 6 milliards de dollars. Il n'en demeure pas moins que l'avenir de l'opérateur et particulièrement les contours de cet accord seront dévoilés avec plus de précisions lors de la visite de Dimitri Medvedev, président russe attendu à Alger demain. Accompagné d'une délégation composée d'une quarantaine d'hommes d'affaires dans les rangs de laquelle figure l'opérateur russe leader dans les télécommunications, VimpelCom, cette visite sera l'occasion de conclure un accord spécifique entre le gouvernement algérien et le nouveau groupe détenu par les Russes. Selon des indiscrétions, l'Algérie exprimera, lors de ces rencontres, son souhait de garder la majorité du capital. Ainsi, à travers cette nouvelle mesure, le gouvernement algérien a favorisé la voie de la préservation des emplois en mettant un terme à toutes les spéculations ayant entouré l'enquête initiale enclenchée par les services de sécurité basée sur la plainte déposée par la Banque d'Algérie concernant de supposées irrégularités de la société durant les années 2007, 2008 et 2009. «Mon premier souci est celui de la préservation des emplois», avait martelé le premier responsable du secteur à plusieurs de ses sorties médiatiques en précisant que c'était là «la volonté de tout l'Etat Algérien». D'ailleurs, la conclusion, hier, de l'accord vient encore une fois conforter cette position.