Avec son potentiel solaire évalué à plus de 3 mille heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est l'un des pays les plus aptes à promouvoir l'énergie solaire. Cependant, la politique nationale de mise en valeur des technologies des énergies renouvelables doit s'articuler autour d'une stratégie financière en mesure d'allouer des ressources adéquates à ce secteur d'activité d'avenir. Avec son potentiel solaire évalué à plus de 3 mille heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est l'un des pays les plus aptes à promouvoir l'énergie solaire. Cependant, la politique nationale de mise en valeur des technologies des énergies renouvelables doit s'articuler autour d'une stratégie financière en mesure d'allouer des ressources adéquates à ce secteur d'activité d'avenir. L'Algérie entend réaliser 3 mille logements écologiques et la rénovation thermique de 4 mille autres logements existants ainsi que 20 pour le tertiaire (audit énergétique) dans le cadre du programme quinquennal 2010/2014, selon Abdelkrim Chenak, directeur des projets auprès de l'Agence de la promotion de la rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE) qui a présenté jeudi dernier une communication dans ce sens, lors des journées techniques sur les énergies renouvelables, organisées parallèlement au premier Salon international sur les énergies renouvelables qui vient de fermer ses portes au Palais des expositions d'Alger. Avec son potentiel solaire évalué à plus de 3 mille heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est l'un des pays les plus aptes à promouvoir l'énergie solaire, cependant, la politique nationale de mise en valeur des technologies des énergies renouvelables doit s'articuler autour d'une stratégie financière en mesure d'allouer des ressources adéquates à ce secteur d'activité d'avenir. Le directeur général de l'Agence de promotion et de rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE), Mohamed Salah Bouzeriba, a réaffirmé que les entreprises spécialisées dans le développement des énergies renouvelables, parmi lesquelles on peut, notamment, citer les centres de recherche et de développement, doivent jouer pleinement leur rôle afin de contribuer à l'émergence d'une tradition de généralisation de l'énergie solaire. Les chauffe-eau solaires qui sont, d'ailleurs, massivement utilisés en Tunisie voisine, pourront bien connaître un essor en Algérie sachant que dans le sud du pays, les populations nomades sont dotées d'équipements et de technologies leur permettant d'avoir de l'électricité à partir de l'énergie solaire. Ils utilisent justement cette source d'énergie propre pour l'éclairage nocturne et d'autres usages domestiques. La demande énergétique dans le secteur du bâtiment est estimée par l'orateur à 36 % en 2005, alors que le taux moyen est de 35 % dans les pays développés. Ce qui est important comme consommation de l'énergie non renouvelable. Et d'où, dit-il, le recours à des constructions écologiques qui puissent, avec l'introduction de nouveaux types de matériaux de construction imperméables à la chaleur et le froid, réduire le volume de la consommation énergétique. « Il s'agit d'un programme ambitieux qui sera réalisé durant les cinq prochaines années » a-t-il ajouté, mettant en évidence les grands projets qui sont aussi inscrits dans le programme national de la maîtrise d'énergie (PNME) comme la mise en place de 10 mille chauffe-eau qui fonctionneront avec l'énergie solaire. L'Algérie s'investit aussi dans un autre programme de la lutte contre l'émission de CO2 et les effets des changements climatiques. Concernant le projet de la réalisation des 600 logements, la convention de partenariat a été signée entre l'APRUE les OPGI concernés le 14 mai 2009. Toutes les opérations d'élaboration sont achevées, y compris, dit-il, la sélection des bureaux d'études, la rédaction des cahiers des charges et le lancement de l'appel à manifestation d'intérêt général ainsi que la sélection des experts thermiciens. « Même les assiettes de terrain sont déjà réservées pour ce programme au niveau des 11 wilayas concernées » a-t-il ajouté. Il reste, seulement, selon Chenak, le lancement sur le terrain de l'opération qui ne risque pas de dépasser la fin de l'année. Avec la mise en place des 400 chauffe-eau solaires en 2011, l'Algérie aura entré de plain-pied dans la maîtrise des énergies renouvelables et le développement durable. La prolifération des rencontres internationales et des salons sur le thème des énergies renouvelables, trois évènements ont lieu en octobre dont deux à Alger et un autre dans la capitale du Hoggar, Tamanrasset, montre toute la volonté des responsables du secteur, notamment des organisateurs des salons, de vulgariser ces énergies propres et moins coûteuses. L'Algérie entend réaliser 3 mille logements écologiques et la rénovation thermique de 4 mille autres logements existants ainsi que 20 pour le tertiaire (audit énergétique) dans le cadre du programme quinquennal 2010/2014, selon Abdelkrim Chenak, directeur des projets auprès de l'Agence de la promotion de la rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE) qui a présenté jeudi dernier une communication dans ce sens, lors des journées techniques sur les énergies renouvelables, organisées parallèlement au premier Salon international sur les énergies renouvelables qui vient de fermer ses portes au Palais des expositions d'Alger. Avec son potentiel solaire évalué à plus de 3 mille heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est l'un des pays les plus aptes à promouvoir l'énergie solaire, cependant, la politique nationale de mise en valeur des technologies des énergies renouvelables doit s'articuler autour d'une stratégie financière en mesure d'allouer des ressources adéquates à ce secteur d'activité d'avenir. Le directeur général de l'Agence de promotion et de rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE), Mohamed Salah Bouzeriba, a réaffirmé que les entreprises spécialisées dans le développement des énergies renouvelables, parmi lesquelles on peut, notamment, citer les centres de recherche et de développement, doivent jouer pleinement leur rôle afin de contribuer à l'émergence d'une tradition de généralisation de l'énergie solaire. Les chauffe-eau solaires qui sont, d'ailleurs, massivement utilisés en Tunisie voisine, pourront bien connaître un essor en Algérie sachant que dans le sud du pays, les populations nomades sont dotées d'équipements et de technologies leur permettant d'avoir de l'électricité à partir de l'énergie solaire. Ils utilisent justement cette source d'énergie propre pour l'éclairage nocturne et d'autres usages domestiques. La demande énergétique dans le secteur du bâtiment est estimée par l'orateur à 36 % en 2005, alors que le taux moyen est de 35 % dans les pays développés. Ce qui est important comme consommation de l'énergie non renouvelable. Et d'où, dit-il, le recours à des constructions écologiques qui puissent, avec l'introduction de nouveaux types de matériaux de construction imperméables à la chaleur et le froid, réduire le volume de la consommation énergétique. « Il s'agit d'un programme ambitieux qui sera réalisé durant les cinq prochaines années » a-t-il ajouté, mettant en évidence les grands projets qui sont aussi inscrits dans le programme national de la maîtrise d'énergie (PNME) comme la mise en place de 10 mille chauffe-eau qui fonctionneront avec l'énergie solaire. L'Algérie s'investit aussi dans un autre programme de la lutte contre l'émission de CO2 et les effets des changements climatiques. Concernant le projet de la réalisation des 600 logements, la convention de partenariat a été signée entre l'APRUE les OPGI concernés le 14 mai 2009. Toutes les opérations d'élaboration sont achevées, y compris, dit-il, la sélection des bureaux d'études, la rédaction des cahiers des charges et le lancement de l'appel à manifestation d'intérêt général ainsi que la sélection des experts thermiciens. « Même les assiettes de terrain sont déjà réservées pour ce programme au niveau des 11 wilayas concernées » a-t-il ajouté. Il reste, seulement, selon Chenak, le lancement sur le terrain de l'opération qui ne risque pas de dépasser la fin de l'année. Avec la mise en place des 400 chauffe-eau solaires en 2011, l'Algérie aura entré de plain-pied dans la maîtrise des énergies renouvelables et le développement durable. La prolifération des rencontres internationales et des salons sur le thème des énergies renouvelables, trois évènements ont lieu en octobre dont deux à Alger et un autre dans la capitale du Hoggar, Tamanrasset, montre toute la volonté des responsables du secteur, notamment des organisateurs des salons, de vulgariser ces énergies propres et moins coûteuses.