Les causes de ce retard sont multiples et complexes. À entendre les deux parties concernées, l'administration et les promoteurs, ce feuilleton risque de ne pas connaître d'épilogue, et pour cause, chacune des deux parties campe sur ses positions sans se soucier de l'intérêt du citoyen. Les causes de ce retard sont multiples et complexes. À entendre les deux parties concernées, l'administration et les promoteurs, ce feuilleton risque de ne pas connaître d'épilogue, et pour cause, chacune des deux parties campe sur ses positions sans se soucier de l'intérêt du citoyen. Avec seulement 654 logements réalisés sur les 3 mille programmés dans le cadre de la formule LSP, soit moins de 22 %, le participatif accuse un retard flagrant en comparaison avec d'autres wilayas qui ont atteint durant les 5 dernières années des taux appréciables. Les causes de ce retard sont multiples et complexes. À entendre les deux parties concernées, l'administration et les promoteurs, ce feuilleton risque de ne pas connaître d'épilogue, et pour cause, chacune des deux parties campe sur ses positions sans se soucier de l'intérêt du citoyen. Pour les promoteurs représentés par M. Boughanem Mohamed, président de la confédération du patronat, l'administration avait freiné l'avancement du programme durant le mandat de l'ex-wali, M. Tahri Miloud, lorsque ce dernier leursavait signifié que la première tranche ne sera versée que si les travaux atteignent 20% au lieu de 10 % comme stipule la loi en vigueur. De son côté, l'administration représentée par Mme Amireche Ouahiba, directrice du logement et des équipements publics (DLEP), considère que cette décision avait été prise localement et exceptionnellement afin de préserver l'intérêt du citoyen et de l'Etat après avoir remarqué que certains pseudo-promoteurs ne respectaient pas leurs engagements en volant le pauvre citoyen qui est prêt à tout pour acquérir un logement, ou en utilisant la parcelle de terrain à d'autres fins après avoir réglé sa situation administrative. La directrice considère qu'un promoteur qui ne possède pas les moyens financiers et matériels qui lui permettent de réaliser au moins 20 % du projet ne peut pas honorer ses engagements envers le citoyen et par conséquent l'Etat est là pour protéger ce dernier tout en barrant la route à la mafia du foncier, surtout que le rez-de-chaussé est généralement conçu sous forme de locaux à usage commercial et donc ne devraient pas être au dépens des postulants. A titre d'exemple, la situation des 60 logements (encore au rez-de-chaussée depuis des années) a été bloquée puisque le promoteur n'a toujours pas honoré ses engagements pour ce qui est des 40 autres logements qui accusent un retard considérable malgré l'engagement qu'il avait signé quelques mois auparavant. Pour faire face à cette situation, Mme Amireche a souligné que de nouvelles lois en mesure de bien filtrer les promoteurs seront d'ici peu appliquées. Désormais, plus de place aux gens qui ne possèdent ni approvisionnement ni expérience. En attendant que les concernés (administration et promoteurs) finissent de se rejeter la balle, le pauvre postulant risque de mourir sans pouvoir mettre les pieds dans le logement qu'il attendait avec impatience. Il rencontre la société civile Le nouveau wali affiche ses ambitions A peine installé à la tête de la wilaya de Souk-Ahras que le nouveau wali, M. Agoudjil, a commencé à tâter le terrain et afficher ses ambitions en organisant dès le deuxième jour de son mandat ( mercredi dernier) une rencontre avec la société civile pour expliquer les grandes lignes de sa politique en matière de développement. A ce titre, le nouveau patron de la wilaya a signifié aux présents qu'il se considère homme de terrain, prêt à aider tous ceux qui retroussent les manches pour mettre une pierre dans la construction de cette wilaya qui mérite plus d'attention vu son passé historique glorieux comme étant la base de l'Est pendant la guerre de Libération. Et pour signifier son sérieux, il se déclare prêt à récompenser tous ceux qui redoublent d'efforts dans l'intérêt de la wilaya et de la nation tout en demandant des comptes à tous ceux qui n'honorent pas leurs engagements envers le citoyen. Et c'était chose dite chose faite puisque l'après midi, le wali s'est lancé dans l'installation des nouveaux chefs de daïra pour entamer à partir à partir d'hier une série de visites de travail à travers les 10 daïras et les 26 communes afin d'accélérer la cadence des projets en cours de réalisation ou en instance surtout si on sait que l'enveloppe dont la wilaya à bénéficié durant le présent quinquennal s'élève à 97,828 milliards DA auxquels s'ajoutent les 33,424 milliards DA restant du programme écoulé. L'eau du robinet dégage une odeur nauséabonde La baisse du niveau du barrage Ain Dalia qui alimente les wilayas de Souk-Ahras, Tébessa et Oum el Bouagui à 18 millions de mètres cubes a eu un impact négatif sur la qualité de l'eau des robinets qui commençait depuis quelque temps à dégager une odeur nauséabonde non tolérée par les citoyens qui ont préféré boire de l'eau minérale, malgré les dépenses supplémentaires, par peur d'attraper des maladies à transmission hydrique. A ce sujet, une source de la direction du barrage a déclaré au Midi libre que 3 produits ont été récemment achetés et seront utilisés pour éliminer cette odeur, il s'agit du bristol, de l'alginate et du charbon actif. Cependant cette même source avance que si le niveau du barrage continue à baisser, ils seront obligés de pomper du fond, ce qui est en mesure de produire une eau moins limpide. Cette situation a poussé les citoyens véhiculés à se ruer vers les sources et les fontaines publiques tels Ain Ben Daoud, Ain Ghrab, Ain Harireche…pour se ravitailler en eau. Secteur de l'habitat 32 milliards DA pour 20 mille logements à l'horizon 2014 Le secteur de l'habitat ne cesse de se tailler la part du lion dans tous les programmes qui se sont succedé depuis l'indépendance. L'envellope dégagée pour ce secteur lors du présent quinquennal s'élève à plus de 32 milliards DA destinés à la construction de 20 mille logements dont 7 mille sociaux, 5 mille promotionnels et 8 mille ruraux. Déjà le quinquennal écoulé à connu l'inscription de quelque 22.400 logements pour la wilaya de Souk-Ahras dont 2.700 sociaux locatifs, 3 mille participatifs, 3.560 dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire et 13.112 ruraux. Un quota que les élus locaux considèrent minime compte tenu de l'essor démographique que connaît la wilaya ainsi que la situation sociale qui place Souk-Ahras parmi les wilayas les plus pauvres. D'ailleurs, sur les 13 mille demandes de logement LSL au chef lieu de wilaya, 418 seulement seront les heureux bénéficiaires. Les élus de l'APW ont aussi soulevé des anomalies telles l'absence des espaces verts et des lieux de distraction et de loisirs, la mauvaise qualité des travaux, le manque d'aménagement extérieur, ce qui est sans commune mesure avec ce qu'on voit dans d'autres wilayas à la télévision. De son côté, la directrice de la Caisse nationale du logement (CNL), Mme Henia Fadleddine, déplore la lenteur des APC dans le traitement des dossiers des postulants aux logements ruraux. Elle déclare que depuis mars elle n'a reçu que 300 dossiers, ce qui risque de causer la perte de l'aide de l'Etat. Cirque Amar Un évènement majeur pour les enfants Pour la seconde fois dans l'histoire de l'Algérie indépendante le célèbre cirque italien "il florilegio", connu sous le nom de cirque Amar, atterrit à la place de la détente Badji Mokhtar à Souk-Ahras (la première fut au début des années 70). Ainsi, le public souk-ahrassien et surtout les enfants découvriront, pendant une dizaine de jours, des fauves apprivoisés tels les lions et les tigres, et passeront des heures agréables en compagnie des acrobates, des jongleurs et des clowns de renommée mondiale. Et comme le public est avide de ce genre d'évènements, les guichets afficheront certainement complet quotidiennement, à moins que le prix du billet ne soit à la portée des citoyens. Avec seulement 654 logements réalisés sur les 3 mille programmés dans le cadre de la formule LSP, soit moins de 22 %, le participatif accuse un retard flagrant en comparaison avec d'autres wilayas qui ont atteint durant les 5 dernières années des taux appréciables. Les causes de ce retard sont multiples et complexes. À entendre les deux parties concernées, l'administration et les promoteurs, ce feuilleton risque de ne pas connaître d'épilogue, et pour cause, chacune des deux parties campe sur ses positions sans se soucier de l'intérêt du citoyen. Pour les promoteurs représentés par M. Boughanem Mohamed, président de la confédération du patronat, l'administration avait freiné l'avancement du programme durant le mandat de l'ex-wali, M. Tahri Miloud, lorsque ce dernier leursavait signifié que la première tranche ne sera versée que si les travaux atteignent 20% au lieu de 10 % comme stipule la loi en vigueur. De son côté, l'administration représentée par Mme Amireche Ouahiba, directrice du logement et des équipements publics (DLEP), considère que cette décision avait été prise localement et exceptionnellement afin de préserver l'intérêt du citoyen et de l'Etat après avoir remarqué que certains pseudo-promoteurs ne respectaient pas leurs engagements en volant le pauvre citoyen qui est prêt à tout pour acquérir un logement, ou en utilisant la parcelle de terrain à d'autres fins après avoir réglé sa situation administrative. La directrice considère qu'un promoteur qui ne possède pas les moyens financiers et matériels qui lui permettent de réaliser au moins 20 % du projet ne peut pas honorer ses engagements envers le citoyen et par conséquent l'Etat est là pour protéger ce dernier tout en barrant la route à la mafia du foncier, surtout que le rez-de-chaussé est généralement conçu sous forme de locaux à usage commercial et donc ne devraient pas être au dépens des postulants. A titre d'exemple, la situation des 60 logements (encore au rez-de-chaussée depuis des années) a été bloquée puisque le promoteur n'a toujours pas honoré ses engagements pour ce qui est des 40 autres logements qui accusent un retard considérable malgré l'engagement qu'il avait signé quelques mois auparavant. Pour faire face à cette situation, Mme Amireche a souligné que de nouvelles lois en mesure de bien filtrer les promoteurs seront d'ici peu appliquées. Désormais, plus de place aux gens qui ne possèdent ni approvisionnement ni expérience. En attendant que les concernés (administration et promoteurs) finissent de se rejeter la balle, le pauvre postulant risque de mourir sans pouvoir mettre les pieds dans le logement qu'il attendait avec impatience. Il rencontre la société civile Le nouveau wali affiche ses ambitions A peine installé à la tête de la wilaya de Souk-Ahras que le nouveau wali, M. Agoudjil, a commencé à tâter le terrain et afficher ses ambitions en organisant dès le deuxième jour de son mandat ( mercredi dernier) une rencontre avec la société civile pour expliquer les grandes lignes de sa politique en matière de développement. A ce titre, le nouveau patron de la wilaya a signifié aux présents qu'il se considère homme de terrain, prêt à aider tous ceux qui retroussent les manches pour mettre une pierre dans la construction de cette wilaya qui mérite plus d'attention vu son passé historique glorieux comme étant la base de l'Est pendant la guerre de Libération. Et pour signifier son sérieux, il se déclare prêt à récompenser tous ceux qui redoublent d'efforts dans l'intérêt de la wilaya et de la nation tout en demandant des comptes à tous ceux qui n'honorent pas leurs engagements envers le citoyen. Et c'était chose dite chose faite puisque l'après midi, le wali s'est lancé dans l'installation des nouveaux chefs de daïra pour entamer à partir à partir d'hier une série de visites de travail à travers les 10 daïras et les 26 communes afin d'accélérer la cadence des projets en cours de réalisation ou en instance surtout si on sait que l'enveloppe dont la wilaya à bénéficié durant le présent quinquennal s'élève à 97,828 milliards DA auxquels s'ajoutent les 33,424 milliards DA restant du programme écoulé. L'eau du robinet dégage une odeur nauséabonde La baisse du niveau du barrage Ain Dalia qui alimente les wilayas de Souk-Ahras, Tébessa et Oum el Bouagui à 18 millions de mètres cubes a eu un impact négatif sur la qualité de l'eau des robinets qui commençait depuis quelque temps à dégager une odeur nauséabonde non tolérée par les citoyens qui ont préféré boire de l'eau minérale, malgré les dépenses supplémentaires, par peur d'attraper des maladies à transmission hydrique. A ce sujet, une source de la direction du barrage a déclaré au Midi libre que 3 produits ont été récemment achetés et seront utilisés pour éliminer cette odeur, il s'agit du bristol, de l'alginate et du charbon actif. Cependant cette même source avance que si le niveau du barrage continue à baisser, ils seront obligés de pomper du fond, ce qui est en mesure de produire une eau moins limpide. Cette situation a poussé les citoyens véhiculés à se ruer vers les sources et les fontaines publiques tels Ain Ben Daoud, Ain Ghrab, Ain Harireche…pour se ravitailler en eau. Secteur de l'habitat 32 milliards DA pour 20 mille logements à l'horizon 2014 Le secteur de l'habitat ne cesse de se tailler la part du lion dans tous les programmes qui se sont succedé depuis l'indépendance. L'envellope dégagée pour ce secteur lors du présent quinquennal s'élève à plus de 32 milliards DA destinés à la construction de 20 mille logements dont 7 mille sociaux, 5 mille promotionnels et 8 mille ruraux. Déjà le quinquennal écoulé à connu l'inscription de quelque 22.400 logements pour la wilaya de Souk-Ahras dont 2.700 sociaux locatifs, 3 mille participatifs, 3.560 dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire et 13.112 ruraux. Un quota que les élus locaux considèrent minime compte tenu de l'essor démographique que connaît la wilaya ainsi que la situation sociale qui place Souk-Ahras parmi les wilayas les plus pauvres. D'ailleurs, sur les 13 mille demandes de logement LSL au chef lieu de wilaya, 418 seulement seront les heureux bénéficiaires. Les élus de l'APW ont aussi soulevé des anomalies telles l'absence des espaces verts et des lieux de distraction et de loisirs, la mauvaise qualité des travaux, le manque d'aménagement extérieur, ce qui est sans commune mesure avec ce qu'on voit dans d'autres wilayas à la télévision. De son côté, la directrice de la Caisse nationale du logement (CNL), Mme Henia Fadleddine, déplore la lenteur des APC dans le traitement des dossiers des postulants aux logements ruraux. Elle déclare que depuis mars elle n'a reçu que 300 dossiers, ce qui risque de causer la perte de l'aide de l'Etat. Cirque Amar Un évènement majeur pour les enfants Pour la seconde fois dans l'histoire de l'Algérie indépendante le célèbre cirque italien "il florilegio", connu sous le nom de cirque Amar, atterrit à la place de la détente Badji Mokhtar à Souk-Ahras (la première fut au début des années 70). Ainsi, le public souk-ahrassien et surtout les enfants découvriront, pendant une dizaine de jours, des fauves apprivoisés tels les lions et les tigres, et passeront des heures agréables en compagnie des acrobates, des jongleurs et des clowns de renommée mondiale. Et comme le public est avide de ce genre d'évènements, les guichets afficheront certainement complet quotidiennement, à moins que le prix du billet ne soit à la portée des citoyens.