Après le retour de la sécurité dans la localité de Beni Ferguene, distante de 28 km du chef lieu de commune d'El Milia, les familles qui habitaient ce petit village au début des années 90 sont pressées de rentrer chez elles travailler la terre. Elles veulent tourner définitivement la page de la peur et de l'angoisse d'une décennie noire. Un souhait combien de fois formulé par le passé par des dizaines d'habitants, mais la situation sécuritaire prévalant dans cette région, à la limite des frontières géographiques avec la wilaya de Jijel et de Skikda a retardé ce retour. L'implantation de postes de la garde communale ces dernières années dans la localité de Beni Ferguene n'a pas été accompagnée de certaines mesures incitatives tant demandées et attendues par tous. La population de ce bourg, où vivaient par le passé trois mille âmes, conditionnait sa réinstallation à Beni Ferguene par la réfection d'un certain nombre d'infrastructures publiques, à l'instar du centre de santé, de l'agence postale et de la réouverture de l'école primaire. La réparation des réseaux d'électrification rurale et d'AEP et le lancement d'un programme d'habitat rural favorisera, à n'en point douter, un retour progressif des familles.Toutes ces revendications ont été une nouvelle fois formulées récemment à l'adresse du chef de l'exécutif lequel s'est montré disponible à étudier tous ces dossiers dans le sens de permettre aux familles intéressées de retourner à leur terre natale. Les travaux en cours de réfection du tronçon de la route entre Beni Ferguene et El Milia ne peuvent être que bénéfiques et un catalyseur pour exhausser les vœux de cette population qui, rappelons-le, a déjà demandé une première fois des aides de l'Etat en mai 2002, lors d'une visite dans la région du wali de l'époque. Après le retour de la sécurité dans la localité de Beni Ferguene, distante de 28 km du chef lieu de commune d'El Milia, les familles qui habitaient ce petit village au début des années 90 sont pressées de rentrer chez elles travailler la terre. Elles veulent tourner définitivement la page de la peur et de l'angoisse d'une décennie noire. Un souhait combien de fois formulé par le passé par des dizaines d'habitants, mais la situation sécuritaire prévalant dans cette région, à la limite des frontières géographiques avec la wilaya de Jijel et de Skikda a retardé ce retour. L'implantation de postes de la garde communale ces dernières années dans la localité de Beni Ferguene n'a pas été accompagnée de certaines mesures incitatives tant demandées et attendues par tous. La population de ce bourg, où vivaient par le passé trois mille âmes, conditionnait sa réinstallation à Beni Ferguene par la réfection d'un certain nombre d'infrastructures publiques, à l'instar du centre de santé, de l'agence postale et de la réouverture de l'école primaire. La réparation des réseaux d'électrification rurale et d'AEP et le lancement d'un programme d'habitat rural favorisera, à n'en point douter, un retour progressif des familles.Toutes ces revendications ont été une nouvelle fois formulées récemment à l'adresse du chef de l'exécutif lequel s'est montré disponible à étudier tous ces dossiers dans le sens de permettre aux familles intéressées de retourner à leur terre natale. Les travaux en cours de réfection du tronçon de la route entre Beni Ferguene et El Milia ne peuvent être que bénéfiques et un catalyseur pour exhausser les vœux de cette population qui, rappelons-le, a déjà demandé une première fois des aides de l'Etat en mai 2002, lors d'une visite dans la région du wali de l'époque.