La campagne électorale pour le second tour de la présidentielle historique du 28 novembre en Côte d'Ivoire a débuté hier samedi, ont indiqué les agences de presse. La campagne s'ouvre alors que, pour la première fois au cours de ces semaines de joute électorale, des échauffourées sérieuses ont opposé vendredi pendant plusieurs heures à Abidjan des partisans des deux rivaux, le chef de l'Etat Laurent Gbagbo et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara. La police a fait état d'une "vingtaine de blessés" et appelé au calme. Le président sortant (38% au premier tour le 31 octobre) et son opposant (32%) devaient entamer cette dernière ligne droite par des meetings. Avant l'ouverture de la bataille du second tour, le médiateur, le président burkinabè Blaise Compaoré, a appelé à une campagne "sans violence". Le président de la Commission électorale indépendante (CEI) Youssouf Bakayoko a souhaité lui aussi qu'elle soit "pacifique". La campagne électorale pour le second tour de la présidentielle historique du 28 novembre en Côte d'Ivoire a débuté hier samedi, ont indiqué les agences de presse. La campagne s'ouvre alors que, pour la première fois au cours de ces semaines de joute électorale, des échauffourées sérieuses ont opposé vendredi pendant plusieurs heures à Abidjan des partisans des deux rivaux, le chef de l'Etat Laurent Gbagbo et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara. La police a fait état d'une "vingtaine de blessés" et appelé au calme. Le président sortant (38% au premier tour le 31 octobre) et son opposant (32%) devaient entamer cette dernière ligne droite par des meetings. Avant l'ouverture de la bataille du second tour, le médiateur, le président burkinabè Blaise Compaoré, a appelé à une campagne "sans violence". Le président de la Commission électorale indépendante (CEI) Youssouf Bakayoko a souhaité lui aussi qu'elle soit "pacifique".