Certaines devantures continuent, de nos jours, à présenter un bric-à-brac sans aucune harmonie et qui n'incite aucunement à y faire une halte. Certaines devantures continuent, de nos jours, à présenter un bric-à-brac sans aucune harmonie et qui n'incite aucunement à y faire une halte. La réorganisation de L'urbanisme commercial dans la capitale se classe parmi les priorités des responsables de la wilaya et des directions de l'urbanisme et du commerce. En effet selon des sources de la wilaya d'Alger il sera "r" envoyer des notes à l'ensemble des APC de la capitale pour faire respecter les régles édictées en la matière. Il faut dire, qu'aujourd'hui, la problématique actuelle consiste en la mutation des espaces et des rues commerçantes dans la perspective de créer de nouvelles centralités urbaines et pôles d'activité, à savoir développer l'activité du tertiaire supérieur dans les grandes communes algéroises, notamment celles du centre de la capitale. Il faut noter que seule la commune d'Alger-Centre a commencé, depuis l'an dernier, ce projet de restructuration urbaine avec en priorité l'aménagement des façades commerciales. Une large opération de réhabilitation a été donc lancé dans les grandes rues d'Alger-Centre notamment sur les axes structurants - Larbi Ben m'Hidi, Didouche Mourad -. Les responsables locaux ont commencé par étudier les possibilités de « centraliser le commerce de proximité dans les zones périphériques ». Selon un responsable au sein de l'APC d'Alher-Centre « l'exécution du cahier des charges concernant l'aménagement des façades commerciales a été concrétisé à hauteur de 45% ». Cependant, l'opération s'est trouvée confronté aux faux problèmes de centaines de locaux fermés qui représentent un pourcentage de 11% sur l'axe Didouche-Larbi Ben M'hidi. Selon la même source, « la perturbation du programme de suivi est due essentiellement à un turn-over important dans les activités commerciales. Un manque de concertation entre les organes de gestion de l'activité qui empêche la mise en place des cahiers des charges liés à la zone ». A cet effet la collectivité interpelle toutes les parties en vue d'une réflexion pour une solution durable. Il faut rappeler que dans le cadre de l'amélioration des devantures des commerces, la collectivité d'Alger-Centre, entre 2002 et 2010, a délivré des autorisations de travaux suivant les cahiers des charges élaborés par la commune au nombre de 415 réparties sur les plus grands axes à savoir la rue Didouche- Mourad, la rue Larbi Ben M'hidi, le boulevard Abdelkrim El-Khettabi, le boulevard Krim Belkacem, le boulevard Mohamed V, la rue Charras et la rue Ali Boumendjel. Par ailleurs très nombreuses sont les communes qui n'ont jusqu'à aujourd'hui pas encore procédé à l'application de cette mesure qui pourtant existe dans la loi algérienne. Pour cela il faut avouer que l'espace urbanistique est aujourd'hui encore loin d'avoir gagné ses lettres de noblesse. Certaines devantures continuent à présenter un bric-à-brac sans aucune harmonie et qui n'incite aucunement à y faire une halte. Il faut rappeler que l'arrêté du wali, qui devait entrer en application au début de l'année 2009, concernant l'aménagement des devantures commerciales, précisait que les vitrines des magasins et boutiques de la capitale, notamment celles situées au centre, devraient être découvertes à la vue et que même la fermeture des grillages, pour la nuit, devraient permettre aux clients de voir l'intérieur des vitrines. Les magasins devraient, en outre, laisser les lumières à l'intérieur de leurs vitrines. Ainsi la note de la wilaya d'Alger va faire rappeler aux collectivités locales l'obligation de la remise en valeur du tissu urbain et la cohérence des façades commerciale avec le plan urbain de la ville. Plusieurs communes avouent les difficulté rencontrées pour l'application de cet arrêté, vu que les propriétaires des commerces ne veulent pas, dans la plupart des cas, prendre en charge le réaménagement de leurs façades. Ces derniers évoquant le problème de l'insécurité. « Il faudrait d'abord penser à sécuriser les rues pour éviter tout risque de braquage ou cambriolage pour exiger des lois pareilles », nous a indiqué un bijoutier à Didouche Mourad. Cet arrêté pourrait pourtant être un précieux acquis pour la capitale et ce sur les plans économique et social pour son développement local. La réorganisation de L'urbanisme commercial dans la capitale se classe parmi les priorités des responsables de la wilaya et des directions de l'urbanisme et du commerce. En effet selon des sources de la wilaya d'Alger il sera "r" envoyer des notes à l'ensemble des APC de la capitale pour faire respecter les régles édictées en la matière. Il faut dire, qu'aujourd'hui, la problématique actuelle consiste en la mutation des espaces et des rues commerçantes dans la perspective de créer de nouvelles centralités urbaines et pôles d'activité, à savoir développer l'activité du tertiaire supérieur dans les grandes communes algéroises, notamment celles du centre de la capitale. Il faut noter que seule la commune d'Alger-Centre a commencé, depuis l'an dernier, ce projet de restructuration urbaine avec en priorité l'aménagement des façades commerciales. Une large opération de réhabilitation a été donc lancé dans les grandes rues d'Alger-Centre notamment sur les axes structurants - Larbi Ben m'Hidi, Didouche Mourad -. Les responsables locaux ont commencé par étudier les possibilités de « centraliser le commerce de proximité dans les zones périphériques ». Selon un responsable au sein de l'APC d'Alher-Centre « l'exécution du cahier des charges concernant l'aménagement des façades commerciales a été concrétisé à hauteur de 45% ». Cependant, l'opération s'est trouvée confronté aux faux problèmes de centaines de locaux fermés qui représentent un pourcentage de 11% sur l'axe Didouche-Larbi Ben M'hidi. Selon la même source, « la perturbation du programme de suivi est due essentiellement à un turn-over important dans les activités commerciales. Un manque de concertation entre les organes de gestion de l'activité qui empêche la mise en place des cahiers des charges liés à la zone ». A cet effet la collectivité interpelle toutes les parties en vue d'une réflexion pour une solution durable. Il faut rappeler que dans le cadre de l'amélioration des devantures des commerces, la collectivité d'Alger-Centre, entre 2002 et 2010, a délivré des autorisations de travaux suivant les cahiers des charges élaborés par la commune au nombre de 415 réparties sur les plus grands axes à savoir la rue Didouche- Mourad, la rue Larbi Ben M'hidi, le boulevard Abdelkrim El-Khettabi, le boulevard Krim Belkacem, le boulevard Mohamed V, la rue Charras et la rue Ali Boumendjel. Par ailleurs très nombreuses sont les communes qui n'ont jusqu'à aujourd'hui pas encore procédé à l'application de cette mesure qui pourtant existe dans la loi algérienne. Pour cela il faut avouer que l'espace urbanistique est aujourd'hui encore loin d'avoir gagné ses lettres de noblesse. Certaines devantures continuent à présenter un bric-à-brac sans aucune harmonie et qui n'incite aucunement à y faire une halte. Il faut rappeler que l'arrêté du wali, qui devait entrer en application au début de l'année 2009, concernant l'aménagement des devantures commerciales, précisait que les vitrines des magasins et boutiques de la capitale, notamment celles situées au centre, devraient être découvertes à la vue et que même la fermeture des grillages, pour la nuit, devraient permettre aux clients de voir l'intérieur des vitrines. Les magasins devraient, en outre, laisser les lumières à l'intérieur de leurs vitrines. Ainsi la note de la wilaya d'Alger va faire rappeler aux collectivités locales l'obligation de la remise en valeur du tissu urbain et la cohérence des façades commerciale avec le plan urbain de la ville. Plusieurs communes avouent les difficulté rencontrées pour l'application de cet arrêté, vu que les propriétaires des commerces ne veulent pas, dans la plupart des cas, prendre en charge le réaménagement de leurs façades. Ces derniers évoquant le problème de l'insécurité. « Il faudrait d'abord penser à sécuriser les rues pour éviter tout risque de braquage ou cambriolage pour exiger des lois pareilles », nous a indiqué un bijoutier à Didouche Mourad. Cet arrêté pourrait pourtant être un précieux acquis pour la capitale et ce sur les plans économique et social pour son développement local.