Les documents fournis par WikiLeaks révèlent, entre autres, que la secrétaire d'Etat Hillary Clinton a demandé aux Américains en poste à l'ONU de réunir le maximum d'informations confidentielles sur les diplomates des autres pays. Les documents fournis par WikiLeaks révèlent, entre autres, que la secrétaire d'Etat Hillary Clinton a demandé aux Américains en poste à l'ONU de réunir le maximum d'informations confidentielles sur les diplomates des autres pays. Quelque 250 mille rapports diplomatiques américains balancés sur le site Wikileaks ont été communiqués à cerains médias occidentaux. Ces câbles pourraint s'avérer gênants pour de futures rencontres entre les Etas-Unis et d'autres pays partenaires. Certains médias comme The New York Times, Le Monde (France), The Guardian (Grande-Bretagne), El Pais (Espagne) et Der Spiegel (Allemagne) ont publié des document informatiques fournis par le site en question. Autant dire que les gouvernements s'indignent car peu épargnés d'abord et se tiennent le ventre ensuite sur les révélations faites sur certains comportement de hauts dignitaires du régime des Etats-Unis et leurs partenaires. La Maison Blanche a condamné dimanche «dans les termes les plus forts» la publication «irresponsable et dangereuse» de ces documents, affirmant que l'initiative de WikiLeaks pourrait faire courir des risques mortels à des individus. Le site créé par Julien Assange a justifié, de son côté, sa démarche en expliquant avoir voulu souligner la contradiction entre la position officielle américaine et «ce qui se dit derrière les portes closes». C'est le journal Le Figaro qui ouvre le bal en publiant un florilège des révélations les plus importantes. Les dirigeants du monde vus par Washington : Nicolas Sarkozy est jugé «susceptible et autoritaire» par l'ambassade des Etats-Unis qui souligne les manières abruptes qu'adopte, selon elle, le dirigeant français avec ses collaborateurs. Silvio Berlusconi est décrit par un diplomate américain de haut rang comme «irresponsable, imbu de lui-même et inefficace en tant que dirigeant européen moderne». Un autre câble le décrit comme «faible physiquement et politiquement» et affirme que ses habitudes de faire la fête jusqu'au bout de la nuit l'empêchent de récupérer. Angela Merkel aurait pour sa part «peur du risque» et manquerait «d'imagination». Hamid Karzaï est qualifié «d'extrêmement faible» et enclin à se laisser convaincre par des théories du complot. Mouammar Kadhafi «dépend presque obsessivement d'un petit noyau dur d'hommes de confiance», selon un câble, et ne saurait voyager sans une infirmière ukrainienne à la poitrine avantageuse. Le dirigeant a aussi peur de survoler l'eau et de se rendre dans les étages d'un immeuble. Dmitri Medvedev est «le Robin du Batman joué par Poutine», selon l'ambassade des Etats-Unis à Moscou, faisant allusion au jeune comparse du héros de bande dessinée, pour souligner que c'est en fait le Premier ministre, Vladimir Poutine, qui détient le pouvoir en Russie. Quelque 250 mille rapports diplomatiques américains balancés sur le site Wikileaks ont été communiqués à cerains médias occidentaux. Ces câbles pourraint s'avérer gênants pour de futures rencontres entre les Etas-Unis et d'autres pays partenaires. Certains médias comme The New York Times, Le Monde (France), The Guardian (Grande-Bretagne), El Pais (Espagne) et Der Spiegel (Allemagne) ont publié des document informatiques fournis par le site en question. Autant dire que les gouvernements s'indignent car peu épargnés d'abord et se tiennent le ventre ensuite sur les révélations faites sur certains comportement de hauts dignitaires du régime des Etats-Unis et leurs partenaires. La Maison Blanche a condamné dimanche «dans les termes les plus forts» la publication «irresponsable et dangereuse» de ces documents, affirmant que l'initiative de WikiLeaks pourrait faire courir des risques mortels à des individus. Le site créé par Julien Assange a justifié, de son côté, sa démarche en expliquant avoir voulu souligner la contradiction entre la position officielle américaine et «ce qui se dit derrière les portes closes». C'est le journal Le Figaro qui ouvre le bal en publiant un florilège des révélations les plus importantes. Les dirigeants du monde vus par Washington : Nicolas Sarkozy est jugé «susceptible et autoritaire» par l'ambassade des Etats-Unis qui souligne les manières abruptes qu'adopte, selon elle, le dirigeant français avec ses collaborateurs. Silvio Berlusconi est décrit par un diplomate américain de haut rang comme «irresponsable, imbu de lui-même et inefficace en tant que dirigeant européen moderne». Un autre câble le décrit comme «faible physiquement et politiquement» et affirme que ses habitudes de faire la fête jusqu'au bout de la nuit l'empêchent de récupérer. Angela Merkel aurait pour sa part «peur du risque» et manquerait «d'imagination». Hamid Karzaï est qualifié «d'extrêmement faible» et enclin à se laisser convaincre par des théories du complot. Mouammar Kadhafi «dépend presque obsessivement d'un petit noyau dur d'hommes de confiance», selon un câble, et ne saurait voyager sans une infirmière ukrainienne à la poitrine avantageuse. Le dirigeant a aussi peur de survoler l'eau et de se rendre dans les étages d'un immeuble. Dmitri Medvedev est «le Robin du Batman joué par Poutine», selon l'ambassade des Etats-Unis à Moscou, faisant allusion au jeune comparse du héros de bande dessinée, pour souligner que c'est en fait le Premier ministre, Vladimir Poutine, qui détient le pouvoir en Russie.