Les chiffres avancés, le 30 septembre dernier, par le laboratoire national de référence l'Institut Pasteur notifient 4.500 cas de séropositifs en Algérie et 1.118 cas de malades atteints de sida. Les chiffres avancés, le 30 septembre dernier, par le laboratoire national de référence l'Institut Pasteur notifient 4.500 cas de séropositifs en Algérie et 1.118 cas de malades atteints de sida. Même si la majorité de la population est consciente de cette pandémie qui ne cesse de prendre de l'ampleur, en Algérie, le sujet reste toujours tabou. Malgré les campagnes de sensibilisation qui se multiplient à travers le territoire, on ne prend pas assez de précaution pour se mettre à l'abris de ce virus. Et pourtant, «ça n'arrive pas qu'aux autres». Aujourd'hui, le meilleur moyen de lutter contre la propagation de cette maladie, souvent mortelle, demeure la prévention. Sachant que Le VIH se transmet par les liquides corporels, principalement le sang, mais aussi par le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel. La prévention relève, donc, de ces principaux sources de contamination, à savoir faire des dépistages afin de connaître son bilan sérologique. Ainsi, la personne séropositive ou sidéenne prendra des précautions afin de ne pas répandre ce virus autour d'elle. Eviter la contamination mère-enfant en soumettant la future maman à des tests. Même si l'Algérie dispose de plusieurs centres de prise en charge à travers le territoire, la trithérapie, seul médicament efficace actuellement contre cette pathologie, est disponible depuis 1990. Entretenir dans de bonnes conditions (puisque aucun traitement ne permet d'éliminer complètement le VIH du corps) un séropositif ou un malade de sida revient particulièrement cher. Le docteur Madjid Ben Makhlouf appelle à la prévention, comme introduire l'éducation dans l'école pour informer les jeunes enfants des risques liés à cette maladie. Un dépistage universel est également envisageable dans notre pays, tel que le préconise l'OMS. Même si la majorité de la population est consciente de cette pandémie qui ne cesse de prendre de l'ampleur, en Algérie, le sujet reste toujours tabou. Malgré les campagnes de sensibilisation qui se multiplient à travers le territoire, on ne prend pas assez de précaution pour se mettre à l'abris de ce virus. Et pourtant, «ça n'arrive pas qu'aux autres». Aujourd'hui, le meilleur moyen de lutter contre la propagation de cette maladie, souvent mortelle, demeure la prévention. Sachant que Le VIH se transmet par les liquides corporels, principalement le sang, mais aussi par le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel. La prévention relève, donc, de ces principaux sources de contamination, à savoir faire des dépistages afin de connaître son bilan sérologique. Ainsi, la personne séropositive ou sidéenne prendra des précautions afin de ne pas répandre ce virus autour d'elle. Eviter la contamination mère-enfant en soumettant la future maman à des tests. Même si l'Algérie dispose de plusieurs centres de prise en charge à travers le territoire, la trithérapie, seul médicament efficace actuellement contre cette pathologie, est disponible depuis 1990. Entretenir dans de bonnes conditions (puisque aucun traitement ne permet d'éliminer complètement le VIH du corps) un séropositif ou un malade de sida revient particulièrement cher. Le docteur Madjid Ben Makhlouf appelle à la prévention, comme introduire l'éducation dans l'école pour informer les jeunes enfants des risques liés à cette maladie. Un dépistage universel est également envisageable dans notre pays, tel que le préconise l'OMS.