L'Algérie abritera le siège de la Capacité de la région Afrique du Nord (NARC) relevant de la Force africaine en attente (FAA), à la faveur d'un accord signé hier à Alger. L'Algérie est le premier pays d'Afrique du Nord à avoir accompli cette étape importante. Le siège sera implanté dans la wilaya de Jijel, située à 350 km à l'est d'Alger et sera l'unité logistique de la Capacité de l'Afrique du Nord. L'objectif de la mise en place d'une Force africaine en attente (FAA), rappelle-t-on, vise à permettre aux Africains de ne plus dépendre de la communauté internationale pour la résolution des crises survenant sur leur continent. Les multiples situations de crise que connaît le continent africain, aggravées par l'incapacité de certains Etats à assurer leur sécurité, ont amené les dirigeants africains à envisager de remédier à cette situation. Le protocole relatif à la création, par l'Union africaine, du Conseil de paix et sécurité (CPS) prévoit la mise en place de la FAA, comme un système de sécurité collective et d'alerte rapide, pour une réaction "rapide" et "efficace" aux situations de conflit et de crise en Afrique. La FAA est conçue comme une structure multidisciplinaire composée de personnels civils, de policiers ainsi que de contingents militaires stationnés dans leur pays d'origine et prêts à être déployés rapidement dans les délais les plus courts. Selon le schéma général adopté par les chefs d'Etat africains, la mise en place progressive de cette force devait intervenir à la fin de l'année 2010. La FAA est conçue pour répondre à six types de mission, dont notamment l'aide militaire pour une mission politique, observation déployée conjointement avec une mission des Nations unies, déploiement d'une force de maintien de la paix et déploiement de forces de maintien de la paix pour des missions complexes et multidimensionnelles (humanitaire, désarmement, administration, etc.). La FAA est également appelée à effectuer des interventions d'urgence dans des situations d'un génocide ou lorsque la communauté internationale ne réagit pas suffisamment rapidement. L'Algérie abritera le siège de la Capacité de la région Afrique du Nord (NARC) relevant de la Force africaine en attente (FAA), à la faveur d'un accord signé hier à Alger. L'Algérie est le premier pays d'Afrique du Nord à avoir accompli cette étape importante. Le siège sera implanté dans la wilaya de Jijel, située à 350 km à l'est d'Alger et sera l'unité logistique de la Capacité de l'Afrique du Nord. L'objectif de la mise en place d'une Force africaine en attente (FAA), rappelle-t-on, vise à permettre aux Africains de ne plus dépendre de la communauté internationale pour la résolution des crises survenant sur leur continent. Les multiples situations de crise que connaît le continent africain, aggravées par l'incapacité de certains Etats à assurer leur sécurité, ont amené les dirigeants africains à envisager de remédier à cette situation. Le protocole relatif à la création, par l'Union africaine, du Conseil de paix et sécurité (CPS) prévoit la mise en place de la FAA, comme un système de sécurité collective et d'alerte rapide, pour une réaction "rapide" et "efficace" aux situations de conflit et de crise en Afrique. La FAA est conçue comme une structure multidisciplinaire composée de personnels civils, de policiers ainsi que de contingents militaires stationnés dans leur pays d'origine et prêts à être déployés rapidement dans les délais les plus courts. Selon le schéma général adopté par les chefs d'Etat africains, la mise en place progressive de cette force devait intervenir à la fin de l'année 2010. La FAA est conçue pour répondre à six types de mission, dont notamment l'aide militaire pour une mission politique, observation déployée conjointement avec une mission des Nations unies, déploiement d'une force de maintien de la paix et déploiement de forces de maintien de la paix pour des missions complexes et multidimensionnelles (humanitaire, désarmement, administration, etc.). La FAA est également appelée à effectuer des interventions d'urgence dans des situations d'un génocide ou lorsque la communauté internationale ne réagit pas suffisamment rapidement.